Convention de Vienne sur les relations diplomatiques

INTRODUCTION Section I - Impression immédiate. 1 .Impression d’une présence directe des RI dans la vie individuelle et collective Relations pacifiques plan des conflits et des catastrophes, prise de conscience de l’interdépendance appelée village international. 2 .Différence de nature et deux types de groupes Société interne (homogène) et internationale (plus hétérogène malgré la mondialisation, société segmentée).La fusion est une illusion car on y exerce des activités o ù l’on résonne

Relations internationales. Introduction. §1 – les RI sont au centre d'une multitude de notion. Les termes RI = phénomène mais aussi qui étudie ce phénomène. Elles font appelle à de nombreuses définition comme par exemple les organisations internationales, les ONG ou le Droit international public. A – définition des RI. 1 – une définition sémantique des RI. Le mot relation signifie notamment : lien entre les groupe. Le mot international suggère : une dimension dépassant le cadre

sur une différence d’objet. Le DIP règle les rapports entre des entités publiques, c’est-à-dire entre Etats ou entre Etats et organisations internationales. Les relations sont dites publiques. Le Droit International privé règle les rapports entre les entités privées, que ce soit des individus ou des personnes morales. Les relations sont tissées entre entités privées. De plus, il y a un élément d’extranéité, c’est-à-dire que le rapport juridique doit s’établir entre des personnes soit qui sont

internationale, Paris, Presse de la fondation nationale de science politique, Dalloz, 1972  Darios Battistela, Théorie des relations internationales, Paris, Presse de la fondation nationale des sciences politiques, Dalloz, 2003  Philipe Briard et Mohammad-reza Djagali, Les Relations Internationales, Paris, PUF, collection Que sais-je  Philipe Cahier, Le droit diplomatique, Genève, Proz, 1962  Sous la direction de Charles Charillon, Les politiques étrangères, rupture et continuité, Paris, La

ainsi un patrimoine de l’humanité, le développement durable, l’autolimitation des économies les plus industrielles au profit d’économie plus agricoles et plus respectueuses de l’écologie. Voir discussions pour Kyoto : but commun : maîtriser les relations économiques plutôt que les développer pour préserver l’économie mais certains pays, Chine, Inde pensent qu’il n’en est pas question et que c’est une tentative des pays riches pour empêcher le développement des pays émergents. De là sans doute

traités de Westphalie (24.10.1648). Il y a aussi les principes contenus ds ces traités qui apportent une nouveauté. On trouve 3 principes importants : * Principe du recours aux traités internationaux pour régler les conflits politiques et diplomatiques. Ce principe permet aux monarchies européennes de prendre conscience qu'elles ont des intérêts communs même si elles sont différentes. Elles peuvent codifier ces intérêts communs. Inscrire dans un texte juridique un nouveau principe. * Principe

point de législation commerciale au sens moderne de l’expression. Les rares exemples que l’on peut évoquer dans le sens contraire concernent le commerce international et plus spécialement le commerce avec les pays occidentaux. Dans le cadre des relations avec les autres pays musulmans, le droit musulman et les coutumes régionales constituaient une législation universelle et cela resté jusqu'à l’établissement du protectorat en 1912. Chapitre 1: Droit musulman : Le système du droit musulman est

célèbre dans le domaine du Droit des gens, stipule que la haute mer doit être libre pour tous, bien que les États puissent y faire la loi, notamment pour punir les pirates. Le second, le plus important, fut celui qui définit l'ensemble des règles des relations internationales pendant les décennies à venir. Il y fait une distinction entre le Droit Naturel, Jus Naturale, qui est immuable, intemporel, et que l'on doit respecter à tout prix, et le Droit Positif, Jus Positum, qui est créé par les États. C'est

bénéfice du Conseil de Sécurité et 51 sur la légitime défense des Etats). A part ces deux exceptions, le CS dispose-t-il du monopole de la violence armée ? Et les Etats doivent-il y recourir pour prévenir le crime de génocide comme le stipule la Convention de 1948 ? - Jus In Bello : D dans la guerre. Droit humanitaire international qui protège les personnes (les civils et les combattants) et les biens (patrimoine et ressources naturelles) - Le droit humanitaire international, conventionnel et coutumier

cadre de la réglementation internationale. Au début, seul l’Etat était connu comme sujet de droit international. Avec l’évolution, d’autres ont bénéficié aussi du statut de sujet de droit international, en raison du développement des relations internationales, besoins de la paix et de la sécurité entre les peuples, les droits de l’Homme, et l’idéologie de la civilisation.[1] Bien que cela soit connu, il est difficile de déterminer de manière nominative tous les sujets de