Convention nationale

(avril 1792). La République française est entraînée dans une série de conflits avec le reste de l'Europe. Robespierre anime à la Convention nationale un régime coercitif et répressif, la Terreur, qui vise à mobiliser les énergies dans la lutte contre les ennemis intérieurs et extérieurs de la Révolution. C'est dans ces circonstances qu'est adopté l'hymne national : La Marseillaise. L'armée est d’abord vouée à la (re)conquête qui conduit à l'annexion de la rive gauche du Rhin (1797) et la création

Article de la série Révolution française Causes Préludes L'Assemblée constituante et ses suites (1789-1791) L'Assemblée législative et la chute de la monarchie (1791-1792) Commune de Paris (1792) Convention nationale Guerre de Vendée Terreur Directoire Chronologie La Révolution française est la période de l'histoire de France comprise entre la convocation des États généraux en 1789 et le coup d'État du 18 brumaire (9-10 novembre 1799) de Napoléon Bonaparte. C'est un

propriétaire » sur son esclave. A l’origine, il était destiné aux colonies françaises : les Antilles, la Guyane et l’île Bourbon. Puis, d'autres pays ont adopté un code du même genre. En France, l'esclavage a été aboli une première fois par la "Convention nationale" en 1794, à l'initiative de l'Abbé Henri Grégoire, avant d'être rétabli par Napoléon Bonaparte en 1802. Il sera définitivement aboli en 1848, sous la seconde République, grâce à l'homme politique  Victor Schoelcher (1804-1893).

Après la journée du 10 août 1792, qui voit la chute de la monarchie à la suite de l'attaque des Tuileries par le peuple parisien, son arrestation, son internement à la prison du Temple avec sa famille, son procès pour haute trahison devant la Convention nationale, Louis XVI est condamné à mort à une courte majorité et guillotiné le 21 janvier 1793 à Paris, sur la place de la révolution, ancienne place Louis XV, devenue en 1795 la place de la Concorde. Il devient ainsi la première victime de la Terreur

Fiche de Révisions d'Histoire : Les dates de la Révolution Française Mai 1789 : Réunion des Etats Généraux à Versailles. Juin-Juillet 1789 : Proclamation de première « Assemblée Nationale » en France et prise de la Bastille. Août 1789 : Grande Peur dans les campagnes. Abolition des privilèges, de la dîme et des droits seigneuriaux. Puis, quelques jours plus tard, Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. 20 Juin 1791 : Tentative de fuite de la famille royale, arrêtée à Varennes. Septembre

commandement des places et des armées, entretenu des intelligences avec les ennemis de la République"- les anciens hauts fonctionnaires de la royauté-. - "Ceux qui auront provoqué le rétablissement de la royauté, ou cherché à dissoudre la Convention nationale et le gouvernement révolutionnaire et républicain dont elle est le centre." 3. Ce décret est contraire à la déclaration des droits de l’homme et du citoyen car ce décret ne donne pas la possibilité d’avoir une opinion différentes des dirigeants

l’autorité) Art 1 « les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit » : égalité face à l’impôt, aux ressources, égalité en droit et non une égalité sociale. Les droits des citoyens: Ils sont de deux types: -droit de vote, souveraineté nationale. Personne ne peut confisquer la souveraineté. Le peuple français est indivisible. -la séparation des pouvoirs: exécutif, législatif et judiciaire. On décide en 1789 que la constitution doit être écrite. MANQUE UNE PARTIE DU COURS MATINEE

politiques de David se radicalisent. Le 20 septembre 1792, il devient le 20 ème député de Paris à la convention nationale. Le 13 octobre il est nommé au comité d’instruction publique et est, à ce titre, chargé d’organiser les fêtes civiques et révolutionnaires ainsi que la propagande. Il occupe encore ces fonctions lors de l’assassinat de Marat. A l’annonce de l’assassinat de Marat, c’est la convention, par la voix de l’orateur, François Elie Guirault, qui porte commande à David de ce tableau. De novembre

parti des témoins du mariage. - 1792 : *Il est partisan de la paix. * Suite à la tombé de la monarchie il devient secrétaire du ministre de la Justice. * Elu à la Convention nationale où il siége avec les Montagnards mais n’a pas de rôle important dans la politique. -1793 : *Lors du procès du roi,  il vote contre l'appel au peuple, pour la mort et contre le sursis et va défendre

différents modes de scrutin possibles et du « paradoxe de Condorcet », et son action politique, tant avant la Révolution que sous celle-ci. Siégeant parmi les Girondins, il propose ainsi des réformes du système éducatif ainsi que pénal. La Convention nationale ordonne son arrestation en 1793, et on le trouve mort dans sa cellule peu après son incarcération.Né à Ribemont (Aisne) en 1743, il est l’un des descendants de la famille Caritat. Les Caritat tiennent leur titre de la ville de Condorcet (Dauphiné)