Convention nationale

Chants révolutionnaires – La Carmagnole La Carmagnole, 1792 C’est une chanson révolutionnaire anonyme et très populaire créée en 1792 quand l’Assemblée nationale vote la Convention et décrète l’arrestation du Roi. Originaire du Piémont en Italie, ce chant gagne d’abord la région de Marseille, avant d’atteindre Paris. Elle se popularise ensuite dans toute la France après la chute du trône pour devenir un hymne des sans-culottes. Lors de ces épisodes révolutionnaires qui secouèrent le XIXe siècle

Révolution et entame en parallèle à sa carrière artistique une activité politique en devenant député à la Convention et ordonnateur des fêtes révolutionnaires. Son engagement l'amène à voter la mort du roi Louis XVI, et son amitié pour Maximilien de Robespierre lui vaudra, à la chute de celui-ci, d'être emprisonné lors de la réaction thermidorienne : (il est élu député à la convention nationale en 1792). Il fait supprimer l’Académie Royale et créé un nouveau système d’enseignement artistique dispensé

cérémonial festif. -> Convention nationale en 1793. La première grande fête à lieux le 14 juillet 1790. Robespierre veut rompre avec la religion et prône un système de fête comme un puissant moyen de régénération. On voit par exemple la fête de la jeunesse ou des époux. Ceci permet de fixer l’amour de la république et rompre avec l’Ancien régime. Cependant le religieux est présent partout. b) La fête de la fédération. Charles Villet fit le souhait d’une fête nationale neuve, pour quelque

INTRODUCTION ELEMENT A METTRE : Ministre de la justice au sein du Conseil exécutif de six ministres, élu par l'Assemblée au lendemain du 10 août, Danton, qu'on accuse d'avoir laissé faire les massacres de septembre donne une impulsion décisive à la défense nationale. La France est en guerre contre l'Autriche depuis le 20 avril 1792. Le manifeste de Brunswick, par lequel les forces contre-révolutionnaires menacent d'une « exécution militaire et une subversion totale » s'il était fait « la moindre violence, le

définitif de salle des étatsgénéraux. Pierre-Adrien Pâris, Salle de l’Assemblée Nationale à Versailles (état en juillet 1789) Pierre-Adrien Pâris, aménagement du magasin des menus-plaisirs à Versailles pour servir de Salle de l’Assemblée Nationale . « Assemblée nationale, Abandon de tous les privilèges dans la séance de la nuit du 4 au 5 août 1789 » Jacques-Guillaume Legrand, Jacques Molinos. Projet de Palais National, 1792. JL David, Le Serment du Jeu de Paume (esquisse) « Vue générale

l’armée se relève. Ceci renforce la République Au niveau économique, le but de la Terreur était de ravitailler les troupes. Comme les pillages se multipliaient la Convention décide de baisser les prix des produits considérés comme nécessaires et interdit l’exportation. Extrait de la Constitution : « Les objets que la Convention nationale a jugés de première nécessité et dont elle a cru devoir fixer le maximum sont : le pain, la viande, le vin, les grains, les farines, les légumes, les fruits […] la

montagnard à la Convention à l’époque de la Révolution. Il a longtemps été considéré comme le principal responsable des massacres de Septembre, ce qui a noirci son image, même si les historiens sont revenus assez largement sur son rôle. SAINT-JUST Louis Antoine Léon de Saint-Just, né le 25 août 1767 à Decize, mort guillotiné le 10 thermidor an II (28 juillet 1794) à Paris, est un homme politique français de la Révolution française, un des plus jeunes élus à la Convention nationale, membre du groupe

Marguerite Carnot, né à Nolay (province de Bourgogne, actuelle Côte-d'Or) le 13 mai 1753 et mort en exil à Magdebourg (actuelle Allemagne) le 2 août 1823, est un mathématicien, un physicien, un général et un homme politique français. Membre de la Convention nationale et du Comité de salut public, il est surnommé l'organisateur de la victoire ou Le grand Carnot. Il entra au service dans l'arme du génie en 1771, à l'âge de 18 ans ; il n'avait encore que le grade de capitaine au corps royal du génie en 1783

le roi y voit un moyen poss de restaurer son pvravril 1792 : la guerre est déclarée, l'ass legis chute en même temps que le roi. L'ass laisse place à une convention nationale constituante qui va instaurer la 1ère République Section II : La République à l’essai (1792-1799) §1) La Convention (oct. 1792-sept. 1795) A- Les débuts de la Convention 1) La mise en place de la nouvelle assemblée → prévue dés août 92 (revanche des citoyens passifs)On demande le SuffU ce qui est contraire à la C° (certains

le sentiment de la nature, devenant ainsi une figure d’inspiration pour la génération romantique. Après la Révolution, elle devint une fervente républicaine, et fut l’instrument de la promotion de son mari Jean-Marie Roland de La Platière dans la Convention girondine grâce à son salon politique. Elle fit de lui le ministre de l’intérieur des premiers gouvernements révolutionnaires mais il se rendit vite impopulaire pour sa trop grande mollesse. Manon devint la maîtresse de Buzot et resta avec ce dernier