Convergence simple

dans le cas d'énoncés performatifs surtout : Je vous déclare mari et femme). Valeurs aspectuelles : Les faits de premier plan : le présent exprime des actions ponctuelles : il est donc le temps des faits de premier plan (il est l'équivalent du passé simple dans les narrations au passé). Le lecteur a ainsi l'impression de participer à l'histoire. Des faits au présent peuvent intervenir dans un récit au passé. Ils prennent ainsi plus de relief. C'est le présent de narration ou présent historique. Les

voir grâce au jeu des temps verbaux les verbes d'action «vint», «se recula» montrent que le texte commence au passé simple. Mais l'arrivée de la description est marquée par les verbes qui ont tantôt pour sujet le vieillard, tantôt Nicolas poussin qui est désigné par l'expression «ce jeune homme».Dance ce passage, le temps dominant est le temps de la description car le passé simple fait place à l'imparfait. Les mots «l'escalier», «le palier» posent le cadre spatial de la rencontre au début du texte

éblouissante. - Rencontre placée sous le signe de la surprise : la phrase initiale « Ce fut comme une apparition « mime la violence du coup de foudre, par sa brièveté et son isolement typographique. Le passé simple met ici en évidence un événement brutal, qui vient rompre la monotonie du quotidien. Cette simple phrase nous fait entrer dans le temps du coup de foudre, dans un moment privilégié d’enchantement. - Caractère presque divin de la femme : le terme d’ « apparition » suggère une forme d’illumination

d'or ». Le champ lexical de la pureté avec « pur », « blanc », « blanches ». Une présence féminine avec « elle »,  « belle », « inquiète » et l’expression du délice avec « ô délice » et « joyeux ». Les temps verbaux les plus utilisés sont le passé simple avec « elle voulut », « nous nous prêtâmes », « elle se retourna », Ils apparaissent en début de vers pour marquer les principales étapes de la narration et l’imparfait avec « le soleil luisait », «  nous suivions », « nos pieds glissaient », ils

Révisions : L'imparfait et le passé simple dans le récit au passé. | | |Il y avait une fois un prince. Il voulait épouser une princesse, mais ce devait être une vraie princesse. Son voyage pour en trouver une de ce | |genre le menait par le monde entier, mais partout, il y avait quelque chose à redire. Des princesses, il n'en manquait pas, mais que ce

|« nuit profonde » mais qu’elle n’en a pas eu le temps ou la volonté de le faire.| |Emploi du passé composé « elle a passé » (v.1), « elle|Signale un fait certes récent (sinon il aurait employé le passé simple) mais | |a fui » (v.12 |achevé, terminé, dont l’espoir n’a été qu’un germe. | |La gradation entre les deux verbes employés aux deux |Met en évidence le fait que le poète a sombré

formées (terrorisme, liberté individuelle, droit de la personne…) sur lesquelles le présent médiatique se règle et cherche son confort de lecture, par-delà la complexité historique des situations. Le temps de la tragédie n’est pas le passé simple, ni le présent simple, mais le présent compliqué par un passé. La tragédie est embarrassante. 3. UNE TRAGEDIE EST UNE FORME CRITIQUE Les tragédies ressemblent à des bombes à retardement. Les personnages s’y attardent à dire, à déplier, à argumenter, à programmer

modéliser à l’aide de la théorie des graphes ou de la programmation linéaire en variables 0-1. Avant de donner ces modèles rappelons quelques définitions. 2 .1.Rappels de définitions de la théorie des graphes Définition 2 .1. (Graphe simple) Un graphe simple G = (V,E) est un couple formé de deux ensembles; un ensemble V = { v1,v2, ….. vn} dont les éléments sont appelés sommets, et un ensemble E = {e1, e2,…, em}, partie de l'ensemble P2(V) des parties à deux éléments de V, dont les éléments sont

Afin d’illuster ce propos, je prendrai l’exemple d’un personnage tiré d’une de mes lectures qui m’a amenée à me poser beaucoup de questions. Ainsi, cette citation d’Umberto d’Eco m’a fait penser au personnage d’Aziz, le héros du livre “Un aller simple” de Didier van Cauwelaert. Aziz est un marocain qui n’a jamais vécu qu’en France car ses parents sont morts quand il était petit. Depuis, il vit avec des Tziganes, de faux papiers et gagne sa vie en volant et revendant des autoradios. L’histoire commence

le portrait de l’individu monstrueux Utilisez tout ce que vous avez appris en classe (cf. séances 1 à 3) : - le vocabulaire (le haubert, la hampe, le fleuron, preux, courtois, armé de pied en cap, s'enhardir, seoir...) - l’imparfait et le passé simple - les groupes nominaux et leurs expansions (les adjectifs qualificatifs épithètes et les compléments du nom) - les comparaisons et les métaphores - le champ lexical de l’animalité Barème : - la copie est propre sans ratures ou taches (1 point)