Convergence simple

I) présentation Un aller simple de Didier Van CAUWELAERT de l'édition Albin Michel de 119 pages. II) courte biographie Didier van Cauwelaert est un écrivain francais, né le 29 juillet 1960 à nice, issu d'une famille ayant des origines Belge Didier van Cauwelaert commence à écrire à huit ans Dès son jeune âge, il envoie ses ouvrages à des maisons d'éditions et essuie de nombreux refus En 1982, alors

témoin objectif : qui observe juste et constate ce qu’il voit « une petite vielle femme de maintien craintif […] dans ses pauvres vêtements […] son visage maigre […] plissé de rides ». 2/ L’auteur emploi dans ce texte les temps du passé comme le passé simple « on vit » ou l’imparfait « Elle avait » mais également le plus que parfait « les avaient si bien encroûtées…». Il a choisi d’utiliser ces temps car il s’agit ici d’une description et également du retour dans la vie d’un personnage. 3/ Le portrait

lecteur au cœur de l’action sans qu’il y soit préparé. Il s’agit d’un incipit in medias res (du latin « au milieu de la chose », « dans le vif du sujet »). L’action et les personnages en paraissent plus vivants. Le plus souvent est utilisé le passé simple.

Didier van Cauwelaert – Un aller simple Genre Roman Résumé L’histoire est raconté par le perspectif de l’Aziz, le personnage principal, il s’adresse avec « je ». Aziz est un jeune homme d’environ 20 ans qui vient de Marseille. Il ne sait pas qui sont ses parents, parce qu’il est volé avec un Citroën Ami 6 quand il était petit. Les Tsiganes (Roms) qui l’ont volé n’ont pas su qu’il y avait un enfant dans la voiture. Il est nommé Aziz grâce à la voiture. Il est éduqué par les Tsiganes et il devient

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étudier la mise en place du plan de Joséphine et ses sentiments à travers les procédés utilisés par Balzac. Dans le seconde partie de l’extrait intervient l’action nous remarquons donc que l’imparfait disparaît pour être remplacé par le passé simple et des verbes de mouvement. Ligne 21 « Joséphine vint tremblante et presque heureuse », il y a une opposition entre ses deux états, elle est à la fois heureuse et excitée mais elle tremble peut être de peur. A peine ces deux états se succèdent que

décembre 1990, a aujourd’hui plus de 18 ans. Il est majeur, c’est à lui de prendre la décision du changement et d’en faire la demande s’il le consent auprès du Garde des Sceaux selon l‘article 61 du code civil. Il peut également demander une adoption simple par le Comte. Elle permet de donner des droits à succession à un enfant mais aussi des devoirs à celui-ci pour subvenir aux besoins du parent adoptant. Par extension, il est donc possible à l’enfant de changer de nom et donc d’état civil sans enlever

: « Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierre / Où tu la vis s’assoir » (vers 7-8). Le locuteur interpelle le lac (« Regarde!). Du même coup, il le personnifie. Le pronom « la » se rapporte à une femme aimée. Le passé simple (« tu la vis ») nous indique bien qu’il est question du temps passé. 1er vers de la 4e strophe (« Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence / On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux, / Que le bruit des rameurs

chico---------muy inteligenteestabaerafue José-----al cine los juevesibaerafue Nosotras------------la tele por la tardeveíasveamosveíamos No me ------las matemáticasgustagustabagustaban Isabel---del solaprovechabaaprovechóaprovecha /2.5 20 – Le passé simple : Serfuieraestuve Tenertuvefuetenía Haberhehabíahube EscribirEscribisteescriboescribía Sentirsentísentíasienta /2.5 Verbes réguliers verbes irréguliers Sentir Estar Andar Vivir Comer Pensar Tener Ir Hacer Distribuir Dar Ser

l’élément perturbateur. d) Elément de résolution. Il vient mettre fin aux péripéties. e) Situation final. Marque le retour à une nouvelle situation stable. 3. Les temps du récit. a) Passé simple. Le passé simple, temps du récit par excellence, est employé pour les actions de premier plan : celles qui font progresser le récit par leur enchaînement. b) Imparfait. L’imparfait est employé pour évoquer l’arrière-plan d’un récit