Copeau

tout emballage de n’importe quelle mesure comporte deux têtes, deux cotés, et un seul fond chacun de ces composants à ses étapes particulières. En premier lieu, il y a la fabrication des fonds de caisses. Celle-ci subi un déroulage, c'est-à-dire le copeau détaché de la masse d’un billion de bois qui constitue le produit appelé le placage déroulé, d’une épaisseur et d’une largeur choisie en fonction des composants désirés. L’agrafage vient après le déroulage. Il consiste à assembler les composants d’un

contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale ». Arp, Dali, Miro, Tanguy, Magritte, Picabia, Ray, Buñuel, Artaud, Desnos, Leiris, Queneau et Prévert rejoignirent ce mouvement (qui se déchire an 1929). Jacques Copeau (fondateur du Vieux-Colombier) révolutionna le théâtre en recherchant la vérité profonde des grands textes (à l’aide de décors symboliques et d’une direction dépouillée du jeu d’acteurs). La mutation de l’architecture fut menée par le provocateur

un certain nombre de débats. Ainsi La NRF est en ébullition et on y parle beaucoup de la fièvre religieuse qui s’est emparée des plus fidèles rédacteurs de la revue :Jacques Rivière entame une démarche religieuse en 1913, Jean Schlumberger, Jacques Copeau, Valery Larbaud, Charles du Bos vivent chacun, pendant les années vingt, une « conversion ». L’expérience de la guerre a changé la vision des écrivains : ils ont saisi au front que la guerre est une sorte de manifestation extraordinaire de la puissance

qui résiste aux ciseaux. Hauteur de coupe d’une tondeuse à gazon. loc.adv. À LA COUPE. Fromage, beurre, terrine vendus à la coupe, coupés à la demande du client lors de l’achat. TECHN. Opération par laquelle un outil tranchant enlève des morceaux ( copeau) d’une pièce à usiner. Angle de coupe. Outil de coupe. SYLV. Action d’abattre des arbres, dans une forêt. Ètendue de forêt à abattre. Coupe dans une forêt communale. affouage. Choix des arbres à conserver dans une coupe. balivage, réserve. – COUPE

par la double tradition du théâtre : d’une part, cette historicité spécifique dont parle Merleau-Ponty, constituée par l’his- toire des questions que l’art du théâtre se pose à lui-même ; c’est elle qui lie Brecht à Aristote, Heiner Müller à Brecht, Copeau à Molière, et tout artiste de théâtre reçoit cet héritage. D’autre part, le « répertoire», qui marque une des grandes différences entre le cinéma et le théâtre : on va au théâtre voir une nouvelle mise en scène de La Cerisaie, alors qu’au cinéma on

PIERRE PONTVIANNE ET EMILIE TOURNAIRE, TRÈS VITE REJOINTS PAR PIERRE TREILLE ET SYLVAIN VIGNÉ, SOUFFLE SUR LA VILLE, CELA DONNE «SOUFFLE», SPECTACLE PRÉSENTÉ AU THÉÂTRE VERSO ET «STÜCK», UN SPECTACLE MENÉ TAMBOUR BATTANT SUR LA SCÈNE DU THÉÂTRE COPEAU. MONIQUE BONNEFOND LA COMÉDIE DE SAINT-ETIENNE Le mot, pour Pierre Pontvianne semblait en lien avec la Création, avec l’inspiration. La création Souffle travaille sur les possibilités et les limites du corps. Pierre Pontvianne a cherché à

s'attaquer à Racine. Certains des "monstres sacrés" de la deuxième moitié du XIXme siècle sont encore en activité -Mounet-Sully jouait encore Oreste en 1907; Julia Bartet, Bérénice en 1919; Sarah Bernhardt, Phèdre en 1920-, et les "rénovateurs", de Copeau à Jouvet, se sentent inhibés devant une oeuvre qui a été réduite à un art de l'interprétation confié à de "grands tragédiens". C'est seulement avec Gaston Baty en 1939-1940 qu'apparaît la première mise en scène de Racine qui se présente comme une

savoir ? « Ce n’est rien », vient me dire ma cousine, en pliant une bande de linge tachée de rouge. Je sanglote, j’étouffe : ma mère reparaît et me pousse dans ma chambre. J’ai cinq ans et je me crois un parricide. Jules VALLES, L’enfant. *Copeau : Un petit morceau de bois détaché par un instrument tranchant. *L’écume : une mousse blanche qui se forme sur les coins des lèvres. *Un parricide : Le meurtrier de son propre père. Questions I / Compréhension : (13 pts) 1-Quels sont

cela de la description de l’intériorité que pourrait réaliser un poète lyrique sous la forme de ces « tableaux ». Il s’agit peut-être d’un théâtre lyrique « singulièrement en rupture non seulement avec le théâtre de son temps qui, de Stanislavski à Copeau, redécouvre les valeurs dramatiques pures, mais aussi avec le théâtre symboliste, auquel on essaie souvent de le rattacher » (op. cit., p. 182-183). Y.-A. Favre a présenté la publication, en tant qu’inédit, d’une pièce comique de Milosz, un vaudeville

métathéâtraux tout au long de sa carrière théâtrale, sous diverses formes2, mais La Grotte est une des pièces où apparaît le mieux sa vision du 1 L’intérêt grandissait parmi les dramaturges comme Jacques Copeau, Firmin Gemier, ou Jean Vilar, qui se sont mises à se soucier sur le plaisir du public au début du 20e siècle. 2 Par exemple, sous la forme du théâtre dans le théâtre comme dans les pièces comme La répétition ou l’Amour puni (1950), L’Alouette