Corneille Et Phèdre

- les dieux décident pour les personnages dans Phèdre - aristocratie toujours représentée, présence de confidents et thèmes nobles (politique, religion, passion) - contient souvent la folie d’un personnage à cause de la passion extrême (passior en latin, souffrir). ● Définir un personnage tragique : Se trouve toujours face à un dilemme - fin tragique - victime du fatum - se dit héros tragique, car a entrepris des actions ou des valeurs (Ex : Phèdre est fidèle, accepte le destin / Hippolyte est courageux

(1670), Bajazet (1672), Mithridate (1673), Iphigénie (1674). En 1673, il était entré à l'Académie française. Trois années s'écoulent entre Iphigénie et Phèdre jouée au mois de janvier 1677; on sait qu’une violente cabale fut montée contre la Phèdre de Racine par la duchesse de Nevers et la princesse de Bouillon qui voulaient faire triompher la Phèdre de Pradon. D'ailleurs, la pièce de Racine se releva après la troisième représentation, et il est inexact de parler ici d'une chute. Mais Racine, précisément

est, en principe, le ressort et la finalité de la Tragédie. Si la mort est une « obligation » dans ce genre dramatique, le « pathétique » n’est pas forcement utilisé par les dramaturges. Le mouvement classique, représenté, essentiellement, par Corneille et Racine n’utilise que très parcimonieusement le ressort de la mort « pathétique ». Par contre le mouvement romantique, auquel appartient Victor Hugo utilise largement, le ressort de la mort « pathétique », comme Albert Camus, l’utilise dans Caligula

le 22 décembre 1639 à La Ferté-Milon. Il est décédé le 21 avril 1699 à Paris. Il fut un très grand dramaturge et poète français. Il écrivit durant la période Classique en France sous Louis XIV un grand nombre de chefs-d’œuvre tels que La Thébaïde, Phèdre, Andromaque. Malgré une enfance difficile (il fut orphelin à l’âge de 3 ans), il connut rapidement son premier succès en 1664. Auguste Émile Faguet, né le 17 décembre 1847 à La Roche-sur-Yon et décédé le 7 juin 1916 à Paris, fut un écrivain et un

parfois religieux. 2. Romantique -L’amour peut être arrêtée par peu de choses dont l’honneur. Exemple : Dans Le Cid de Corneille, l’auteur représente la fureur passionnelle. Rodrigue est déchiré entre son amour et son devoir, et finit par écouter la voix du sang et tue le père de Chimène en duel. Ainsi, l’amour a été moins fort que l’honneur. -Dans la tragédie de Phèdre de Racine, Phèdre tombe amoureuse de son fils Hippolyte, ainsi on voit les relations entre les personnes qui aiment celles de leur famille

scène proposée par les deux plus grands auteurs tragiques du XVIIe siècle. Il s’agit de comprendre ce qui les différencie, et d’analyser l’évolution du genre (et du goût du public) entre le milieu du siècle et la fin. 1 et 2. Le tragique, pour Corneille, repose sur des scènes violentes, des conflits puissants, des passions (« de grands déplaisirs, des blessures et des morts en spectacle », l. 3). Il se réfère à Aristote et Horace pour interdire une violence inhumaine (comme le meurtre de Médée)

toile sont accrochés au fond de la scène pour donné une impression de profondeur. On a de ce fait un trompe l'oeil et cela donne une impression de réel. Molière et Corneille ont fait appelle a ce type de décor, dans Don Juan de Molière, un jardin et la facade d'un somptueux palais peint en arriere plan et dans Andromède de Corneille qui est une pièce a machine. L'illusion donné a une pièce contribue ainsi au divertissement des spectateurs, grâce aux décors , aux costumes, aux éclairages, aux

Tragiques, Comiques, dramatiques … Le théâtre est le fruit de grands écrivains, en effet, il n’est que la représentation d’une œuvre écrite. C’est ainsi que les noms de grands écrivains se font connaître, par exemple : « Victor Hugo », « Molière », « Corneille » Ou encore « Racine ». Ces grands écrivains ont réussis à émouvoir leur publique par leurs pièces, dramatiques, tragique, ou comique. En Effet, le théâtre a pour grande caractéristique de faire passer des émotions aux spectateurs/lecteurs. Mais

PHEDRE de J. Racine Séquence prof Objet d’étude : La tragédie et la comédie au XVIIe : le classicisme Magnard p 127, 136, 138 Perspectives : - faire connaître les caractéristiques du genre théâtral et les effets propres au tragique ou au comique.  - faire percevoir les grands traits de l'esthétique classique  - donner des repères dans l'histoire du genre. Textes étudiés : Phèdre OI : -ActeI, sc1 - ActeI, sc3 - II, 5 «PHÈDRE, à Œnone, dans le fond du théâtre. - Etude comparative ACTEIII, sc2 et 6 -

souvent sa lassitude, sa résignation ou sa volonté de mourir. C’est Phèdre qui déclare, dès sa première apparition sur scène : Soleil, je te viens voir pour la dernière fois. (Phèdre, 1,3, v. 172.) Le héros racinien se sait voué au malheur. Sa mort est inéluctable. Soit qu’il périsse assassiné : Pyrrhus par Oreste (Andromaque), Britannicus par Néron, Bajazet par Roxane, Athalie par le peuple juif; soit qu’il se suicide comme Phèdre. C’est en définitive l’histoire d’une chute et d’une déchéance.