Corniche Kennedy

Corniche Kennedy - Maylis de Kerangal C'est l'histoire d'une bande de jeunes, "les petits cons de la corniche". Ils ont entre treize et seize ans, ils viennent tous les jours braver l'interdit, se réunissent sur la Plate (une portion de territoire, un amalgame de grosses pierres concassées au bulldozer, un territoire ingrat et nu). C'est leur quartier général, ils viennent frimer et se lancer des défis, notamment des plongées vertigineuses auxquelles ils donnent des noms torrides, comme le Just

Corniche KennedyI- Deux temps de lecture1) Ce que j’aime et pourquoi : Pour ma part j’ai aimé ce livre pour ses descriptions fortes et détaillées mais aussi son réalisme. D’un côté nous avons les adolescents qui bravent les interdits et d’un autre le commissaire et ses hommes près à intervenir à chaque seconde. Lorsque l’on lit cette œuvre, on voit l’histoire à travers les yeux du narrateur ce qui permet de mieux se plonger dans l’histoire, de se sentir concerné. Maylis de Kerangal écrit à la fois

Critique sur Corniche Kennedy Maylis de Kerangal est né le 16 juin 1967 au Havre. Elle passe son enfance au Havre, elle étudie en classe PREPA à Rouen au lycée Jeanne-d’Arc puis elle part ensuite à Paris pour étudier l’histoire, la philosophie et l’ethnologie. Elle publie Corniche Kennedy en 2008 et gagne avec la Naissance d’un pont le Prix de Médicis et le Prix de Franz Hessel, tous deux en 2010. Plus récemment, en 2013, elle publie Réparer les vivants avec lequel elle a reçu le Grand Prix RTL-Lire

Le nouveau roman de Maylis de Kerangal se déroule dans un sous-quartier de Marseille, plus exactement le long de cette "Corniche Kennedy" qui donne son nom au livre. Une voie rapide séparant des villas huppées d'un bord de mer sans plage aménagée, juste un dénivelé vertigineux de rochers où quelques adolescents désoeuvrés trouvent quotidiennement refuge et rejouent leur "fureur de vivre" l'espace d'un été azuréen. Jour après jour, des bandes informelles occupent les rares plateformes naturelles de

ÉTUDE d’une œuvre LITTÉRAIRE : Corniche Kennedy, Maylis de Kerangal Ressources LETTRES LP Julien GELLY ÉTUDE D’UNE ŒUVRE LITTÉRAIRE : CORNICHE KENNEDY, MAYLIS DE KERANGAL Dans un quartier de Marseille, le long de la Corniche Kennedy qui donne son nom au livre, des jeunes se regroupent et s’amusent à sauter de celle-ci. Ces sauts périlleux, qui se déroulent sur trois « promontoires » dont le Just Do It, haut de sept mètres et le Face-to-face, de douze mètres, constituent

Fiche de lecture : Corniche Kennedy 1. Biographie Maylis de Kerangal Elle passe son enfance au Havre, fille et petite-fille de capitaine au long cours. Elle étudie en classe préparatoire au lycée Jeanne-d'Arc de Rouen et ensuite à Paris de 1985 à 1990 l'histoire, la philosophie et l'ethnologie. Elle commence à travailler chez Gallimard jeunesse une première fois de 1991 à 1996, avant de faire deux séjours aux États-Unis, à Golden dans le Colorado en 1997. Elle reprend sa formation en passant une

prédilection de cette époque, avec sa fibre très fine, il est plus facile à travailler que le chêne et facilite donc les gravures et sculptures sur les meubles, ce qui est très en vogue à cette période. Nous retrouvons beaucoup de colonnes, de corniches saillantes supportées par des modillons, des pilastres qui soutiennent des frontons la plupart du temps triangulaires avec des ornementations à l’intérieur, des pilastres ornées de grotesques, d’arabesques ou de rinceaux. C’est une époque très

L’intérieur peut aussi se composer de parties. Schéma de l’architecture dorique (les colonnes n’avaient pas de bases, elles possédaient de 16 à 20 cannelures, des arêtes vives et se divisaient en 16 rayons horizontaux) : fronton corniche Entablement frise architrave abaque Colonne chapiteau fût stylobate Degrés stereobate II- Architecture

frise, corniche.) Architrave : Partie de l’entablement qui sert de socle à la frise. Il est composé d’un bandeau (taenia) qui couronne l’architrave. Triglyphe : élément qui sert à identifier la frise dorique (glyphe : rainure) Métope : petite plaque composée d’une histoire séparée par des triglyphes. Régula : Petites plaquettes (ordre dorique) composées de gouttes. Corniche : composé de geison horizontal et rampants avec fronton et tympan. Sima : Au-dessus du geison, couronne la corniche et permet

ornementé (il représente la femme), le chapiteau dessine des volutes, la base est moulurée, la frise est ornée d'une série continue de sculptures, la colonne est plus élancée, plus fine et presque toujours monolithe. L'architrave + la frise + la corniche = l'entablement. Le fût + le chapiteau = la colonne. Les acrotères sont des éléments décoratifs en terre cuite et peints placés sur le toit du fronton. L'ordre corinthien : est le dernier des trois ordres architecturaux grecs, dont le caractère