Corps de logis

Thénardier grande, blonde, rouge, grasse, charnue, carrée, énorme et agile ; elle tenait, nous l’avons dit, de la race de ces sauvageresses colosses qui se cambrent dans les foires avec des pavés pendus à leur chevelure. Elle faisait tout dans le logis, les lits, les chambres, la lessive, la cuisine, la pluie, le beau temps, le diable. Elle avait pour tout domestique Cosette[1] ; une souris au service d’un éléphant. Tout tremblait au son de sa voix, les vitres, les meubles et les gens. Son large

commodités qui s’y trouvent, mais principalement aussi pour la conservation de la santé, laquelle est sans doute le premier bien et le fondement de tous les autres biens de cette vie […] et qu’on pourrait exempter d’une infinité de maladies, tant du corps que de l’esprit, et même aussi peut-être de l’affaiblissement de la vieillesse, si on avait assez de connaissance de leurs causes, et de tous les remèdes dont la nature nous a pourvus[2]. »On peut donc comprendre que Descartes est persuadé que le progrès

nord, surveillant le continent. » (Vigny) La personnification confère des caractères humains à ce qui ne l'est pas. Ex : « L'heure sombre ou l'Espagne agonisante pleure! » L'allégorie est la personnification d'une idée abstraite. Elle donne corps à une idée. Ex : « Allégorie de la justice représentée par une femme aux yeux bandés tenant d'une main, une épée et de l'autre une balance. » « Je vis cette Faucheuse. Elle était dans son champ. Elle allait à grands pas moissonnant et fauchant, Noir

quelqu'un que j'aime de faire ce qu'il veut avec son corps, '' ni vu, ni connu ''je pourrais par contre lui exprimer ce que je ressent . Je pense que c'est important de ne pas se fondre dans son couple et de conserver sa personnalité. Être trop fusionnel me semble malsain,et je crois donc que les deux doivent avoir leur espace personnel, même s'ils vivent ensemble , l'idéal serait pour chacun d'avoir un coin du logis où il pourrait avoir une totale intimité avec

ces bruits comme on ne croirait jamais qu'il existe ») que les explosions sont, là aussi incessantes, mais surtout terriblement bruyantes, le bruit est donc, encore une foi permanent. b. Le narrateur ressent la violence de la guerre de tout son corps De plus, cette description est rendu plus terrifiante car le narrateur, qui est Ferdinand Bardamu , nous délivre ses sentiments. A travers ces sentiments, ces sensations, on remarque que les cinq sens du narrateur sont touchés par les tirs et les

voir mes bras que de peur je ne tremble. Apollon3 et son fils4, deux grands maîtres ensemble, Ne me sauraient guérir, leur métier m’a trompé ; Adieu, plaisant Soleil, mon œil est étoupé5, Mon corps s’en va descendre où tout se désassemble. Quel ami me voyant en ce point dépouillé Ne remporte au logis un œil triste et mouillé, Me consolant au lit et me baisant6 la face, En essuyant mes yeux par la mort endormis ? Adieu, chers compagnons, adieu, mes chers amis, Je m’en vais le premier vous

pour la poste8. Et il les mettait tous à coucher à côté de lui. Un jour, le seigneur de Painensac vint rendre visite à son père en grand équipage d’apparat ; le duc de Francepas et le comte de Mouillevent étaient venus le même jour. Ma foi, le logis était un peu étroit pour tant de gens, et particulièrement les écu- 1. Entrepas : allure intermédiaire du cheval, entre le pas et l’amble. 2. Amble : allure du cheval qui avance en levant alternativement les deux jambes du même côté. 3. Traquenard :

jusqu’à « sa femme entra par la porte de l’étude »), puis répondez aux questions suivantes : 1. À quelle occasion a lieu la deuxième description du colonel ? Quelle est la fonction de cette description ? 2. Du début du texte jusqu’à « quatre corps de logis noir », relevez les adjectifs qualificatifs. Ont-ils une valeur méliorative ou péjorative ? Quel est l’effet produit ? 3. Qui décrit le colonel ? 4. Quel regard est porté sur le colonel Chabert ? 5. Comparez la description du colonel des pages

cette Thénardier grande, blonde, rouge, grasse, charnue, carrée, énorme et agile; elle tenait, nous l'avons dit, de la race de ces sauvagesses colosses qui se cambrent dans les foires avec des pavés pendus à leur chevelure. Elle faisait tout dans le logis, les lits, les chambres, la lessive, la cuisine, la pluie, le beau temps, le diable. Elle avait pour tout domestique Cosette; une souris au service d'un éléphant. Tout tremblait au son de sa voix, les vitres, les meubles et les gens. Son large visage

Elle rejoint le débat sur le rôle de l’imagination : l’auteur nous communique ici toute une réflexion sur la méditation. Qu’est-ce que l’imagination ? A quoi nous porte-t-elle ? C’est le pouvoir contradictoire de la raison (désigné par la folle du logis)[1]. La structure est assez close : la fable s’arrête au vers 29, puis une longue méditation s’étend des vers 30 à 43. I – Présentation de la jeune fille A – Portrait physique Dans les six premiers vers, Perrette est décrite comme une