Corpus Bonheur

avant tout celui qui a acquis la sérénité, qui mène une existence réfléchie capable de lui procurer le bonheur. Si la philosophie est « l’amour de la sagesse » elle est alors un désir de bien vivre. Elle se constitue comme une connaissance éthique, c’est-à-dire une réflexion sur la manière de mener une vie bonne. La philosophie possède alors ses objets propres: l’existence humaine, le bien, le bonheur, le désir, etc. Philosopher ne signifie pas « tout connaitre »: seul les connaissances ayant un impact

BOUNDAOUI Léonie 1ère1S QUESTION DE CORPUS N°2 Les conceptions de la vie qui s’expriment à travers un roman sont portées, non seulement par les personnages et le narrateur, mais également par tous les motifs entrecroisés dans une œuvre littéraire. La vie peut alors être perçue comme un cycle : « La condition humaine » de Malraux, « Une vie » de Maupassant, « La peste » de Camus, ou bien une renaissance : « Regain » de Giono, « Germinal » de Zola. Chacune de ses fins de roman nous transmet

tout au long de ses écrits, visent la conquête de la sagesse 1) Mais qu’est-ce la Philosophie et le Stécoîsme ? Stécoïsme : Comme dans de nombreuses philosophie, le bonheur est la finalité de la vie humaine. Ainsi, l’école stoïcienne désigne la sagesse et la vertu comme les clés pour y parvenir. Il ne s’agit pas ici d’un bonheur accessible par le plaisir et le désir. L’individu doit distinguer ce qui dépend et ne dépend pas de lui. Tout ce qui arrive est l’expression du destin. Philosophie :

docteur March. Ainsi, nous nous construisons une vision bien trop irréelle de la fratrie en « rêvant » de relations amicales et chaleureuses entre nos enfants. C’est pourquoi, la plupart des parents pensent pouvoir garantir à leurs enfants soutient, bonheur et joie en leur apportant « des amis fidèles », « des bras solidaires » et de la tendresse. J-L BEAUCARNOT adhère aussi à cette idée, puisqu’il atteste que les « frères et sœurs sont souvent en rivalité ». Cependant, il arrive que cette rivalité s’estompe

j’ai découvert ». Ce résultat est exprimé au présent incontestable de vérité générale L 4 « tout le malheur des hommes vient ». La proposition relative L 6 « qui a assez de bien pour vivre » sert de restriction : un tri lucide a été fait sur le « corpus » examiné. Ø &2, c’est la 2ème étape du raisonnement, l’hypothèse : « Quand j’ai pensé de plus près » L 12 répond à « Quand je m’y suis mis » L 1. « La cause » L 12 et « la raison » L 13 appartiennent au lexique de la démarche scientifique et philosophique

en Asie mineure. 3 ) La méthode stoïcienne d’accès à une vie libre et heureuse : Distinguer ce qui dépend de nous de ce qui ne dépend pas de nous. * Pour un stoïcien être libre et heureux, n’est qu’une seule et même chose. Parce que le Bonheur, en tant que Bien suprême, réside dans la Vertu, qui n’est que le bon exercice de sa liberté (celle de la représentation : seule liberté qui existe) * La règle d’or de la sagesse du stoïcien, c’est de distinguer ce qui  « dépend de nous de ce

Page 4 sur 6 10.FRSE.ME1LR1 TEXTE B – Montesquieu, Lettres persanes Les Troglodytes sont un peuple imaginaire dépeint dans trois lettres successives. Le texte ci-dessous est un extrait de la deuxième. Qui pourrait représenter ici le bonheur de ces Troglodytes ? Un peuple si juste devaitêtre chéri des dieux. Dès qu'il ouvrit les yeux pour les connaître, il apprit à lescraindre, et la Religion vint adoucir dans les mœurs ce que la Nature y avait laisséde trop rude.Ils instituèrent des

« Les rives s’éloignent. Ma mort approche » écrit Albert Cohen. Selon vous l’écriture autobiographique est-elle une manière de se préparer à la mort ou de conserver la saveur de la vie ? Vous répondrez en vous appuyant sur les textes du corpus ou sur les autres œuvres que vous avez lus ou étudiées. L’autobiographie est un récit rétrospectif en prose qu’une personne réelle fait de sa propre existence lorsqu’elle met l’accent sur sa vie individuelle et en particulier l’histoire de sa personnalité

aventures à René ». Ces allitérations sont très agréables à l’oreille pour le lecteur qui sent une ouverture générale à la lecture des œuvres, un sentiment de liberté. On a également la présence de nombreux champs lexicaux agréables, comme celui du bonheur dans Stello de Vigny (que l’on détecte aussi dans René de Chateaubriand ) avec des termes comme « heureusement », « favorable », « tout lui a réussi », « parfait », « bienfaisante », « protégé », etc., ou celui de la lumière dans Sylvie de Nerval

Dissertation en 3h Corpus Texte A Madame de La Fayette, La Princesse de Clves (1678) Texte B Honor de Balzac, La Duchesse de Langeais, chapitre III (1834)Texte C Marcel Proust, La Prisonnire (1923)Texte D Albert Cohen, Belle du Seigneur, chapitre LXXXVII (1968) Texte A Madame de La Fayette, La Princesse de Clves (1678) Madame de Clves lut cette lettre et la relut plusieurs fois, sans savoir nanmoins ce quelle avait lu. Elle voyait seulement que monsieur de Nemours ne laimait pas comme elle