Corpus Destins De Femmes

Etre F.°.M.°. aujourd'hui Être F.°.M.°. aujourd'hui!... Paradoxe: dans une société marquée par la modernité, voire par la post-modernité, des hommes et des femmes se réunissent sous la bannière de la Tradition. A l'ère de la téléréalité et de la transparence absolue, des individus se cachent pour on ne sait quelles activités sur lesquelles d'ailleurs, ils ont, paraît-il, fait serment de garder le silence... On ne perçoit en général de la F.°.M.°. que cette image déformée sinon frelatée

LA SYNTHESE DE DOCUMENTS CORPUS 1. P. SlANKOWSKI, « Peut-on rire de tout ? », Label France, n° 56, 2004. . 2. J.-G. fredet, « Gaspard Proust : Rire sans frontière », Le Nouvel Observateur, 14 au 14 avril 2010. 3. V. BROCARD, « Stéphane Guillon ou l'humour du risque », Télérama, 31 décembre 2008. 4. Plantu, Bonne année 2009 sur plantu.fr. • Document 1 : Pierre siankowski, « Peut-on rire de tout ? », Label France, n° 56, 2004 A la question :

L’HISTOIRE DE L’HÔPITAL PUBLIC A - L’HERITAGE DES LIEUX ET DES TRADITIONS : L’HEBERGEMENT DES INDIGENTS S’il ne fait actuellement aucun doute pour chacun que l’hôpital est avant tout destiné aux personnes malades, qui s’y rendent pour être soignés, il n’en a pas toujours été ainsi. L’hôpital tel que nous le connaissons aujourd’hui a en effet évolué au fil des siècles depuis sa création, en fonction à la fois de l’évolution des besoins de la population et de leur prise en compte en termes de

sur l'ensemble du monde, des différences. Chacun ayant sa propre pratique culturelle autour de la mort (incinération, inhumation, mommification...). La relation corps/âme, est donc ni universelle, ni imuable. Dans les textes médiévaux, les mots "corpus" et "anima" sont sans cesse citer. Ils sont soit en relation, soit en opposition. Il faut remonter à l'Antiquité, et à la tradition platonicienne pour comprendre cette relation. Dans la relation platonicienne, l'âme n'est pas créeé, mais pré-existe

promesses Séance 3 : le charisme Etape 2 : l’exercice du pouvoir Séance 4 : Le bon prince et le bon régime Séance 5 : les doutes et la crise politique Séance 6 : le roi et ses courtisans Etape 3 : la revanche des femmes Séance 7 : l’impossible soumission Séance 8 : la victoire des femmes Etape 4 : Fin de partie Séance 9 : le pouvoir caricaturé Séance 10 : peopolisation de la vie politique Introduction : N’en déplaise à Julien Brenda qui stigmatisait dans La trahison des clercs en 1927 les

structure mentale : la problématique o Définitions générales v LA CONSTRUCTION D’UN OBJET D’ÉTUDE : Une stratégie de recherche o Détail des composantes d’une problématique ü Objectifs et hypothèses : les directions de la recherche ü Corpus et méthodes : les outils du terrain o Une structure pour un plan de travail ü Concepts et contextes : l’ancrage théorique ü Du squelette à l’enquête v EXPLOITATION ET MISES EN FORME : Une mise en valeur des résultats o Analyse des résultats

d’étude : la poésie Corpus Texte A : Pierre de Ronsard, « Mignonne, allons voir… », Odes, 1550 Texte B : Charles Baudelaire, « Parfum exotique », Les Fleurs du Mal, 1857 Texte C : Paul Verlaine, « Mon rêve familier », Poèmes saturniens, 1866 Texte D : Charles Baudelaire, « Le Désir de peindre », Le Spleen de Paris, 1869 Texte E : Paul Eluard, « La courbe de tes yeux… », Capitale de la douleur, 1926  Question Après avoir identifié les formes poétiques présentées dans le corpus, vous étudierez la

les textes du corpus et sur vos lectures. « La vie est la source de la littérature et la littérature doit être fidèle à la vie ». C’est ainsi que l’écrivain français d’origine chinoise Gao Xingjian qualifie la littérature, destinée à donner aux lecteurs une vision et un sens du monde. Nous pouvons alors nous demander si la question de l’homme est le sujet fondamental de toute littérature. Quel qu’en soit le genre, la littérature parle en effet toujours de l’homme et de son destin. En effet, on

damne de l’avocat Saillant, tous ces témoignages, même les faux et les parjures, seront conservés pour condamner expressément Marie-Josephte lors du second procès31. Les témoignages de moralité32 tiennent également une part importante. Pour les deux femmes, leurs mauvais tempéraments, mais surtout leurs mœurs considérées comme légères sont constamment pointées du doigt. Parallèlement, la faiblesse ou l’absence de preuve directe33 marque les deux procès. Précisons que ce type de preuve ne figure pas

affirmations des premières analyses « féministes » critiques anglo-saxonnes des années 70. Ce cadrage conceptuel effectué, on prendra appui sur des analyses de la presse féminine française, et de publicités qui mettent en scène hommes et femmes, pour apprécier dans des genres discursifs différents, les rapports entre ces mises en scène langagières et iconiques et les problématiques identitaires à propos des genres et rôles sexuels. On notera que les représentations les plus stéréotypées