Corpus Heroine

demander quelles activités peuvent être mises en place à partir des textes du corpus, comment « créer de l’intertextualité » et des mises en perspectives, et repérer les problèmes récurrents. Pour inciter chaque professeur à s’exprimer et lancer les échanges, Carole Bully propose un rapide tour de table. ► Échanges et réflexions… 1. La place des romanciers français du XIXe siècle dans notre réflexion Il apparaît d’abord que le corpus nous rappelle un problème évoqué le matin même lors de l’intervention de

Fayette en 1678, Pierre de Choderlos de Laclos en 1782, Gustave Flaubert en 1857 et Marguerite Duras en 1958 ont pour objectif de s'interroger sur la condition féminine à différentes époques. Le corpus se présente de manière diachronique. Tous les textes sont des extraits de romans et mettent en scène une héroïne, néanmoins ils n'appartiennent pas tous au même mouvement littéraire. Gustave Flaubert appartient au réalisme, il se moque d'Emma Bovary en ironisant sur le fait qu'elle possède tout mais qu'elle

B- L’art du portrait. Si les femmes se reconnaissent si bien dans les œuvres de Balzac, c’est sans doute parce qu’il peint des héroïnes proches de la réalité tant sur le plan moral que plastique. Le portrait, à cet égard, devient une donnée essentielle des écrits balzaciens. La peinture physique d’un personnage, dans le roman, est un des moyens qui permettent d’assurer sa présence au sein du récit. Balzac est passé maître dans l’art de la description de ses héros

Question sur le corpus Ce corpus est constitué de quatre textes du XIXeme siècle, parlant tous du mariage : le premier texte, „La Femme de trente ans“ (1842) d´Honoré de Balzac, le second, „Madame Bovary“ (1857) de Gustave Flaubert, le troisième, „Nana“ (1880) d´ Émile Zola et le dernier „Pierre et Jean“ (1888) de Guy de Maupassant. Les quatre personnages principaux sont des femmes désillusionnées par leur mariage. Dans les textes un, deux et quatre, ces dernières sont persuadées d´ obtenir une

notamment dans notre corpus, composé de Nana d’Emile Zola – 1879 –, de Tess d’Urberville de Thomas Hardy – 1891 –, et d’Effi Briest de Theodor Fontane – 1895 –. En quoi ces deux modèles féminins, qui opposent le vice et la vertu, sont-ils inhérents aux romans fin de siècle et, d’une certaine manière, dénoncés dans Nana, Tess d’Urberville et Effi Briest ? Nous développerons d’abord cette dichotomie entre femme fatale ou virginale, incarnée dans nos trois héroïnes, avant de réfléchir sur

vie du personnage sur une note positive ou négative, selon le message que l'auteur cherche à faire passer et le genre de son roman. Dans ce corpus de cinq documents, qui s'étend sur près d'un siècle -de Manon Lescaut,, écrit en 1733 par l'Abbé Prévost, à l'œuvre de Tolstoï, Anna Karénine, parut en 1878- les auteurs ont tous choisis la mort de leur héroïne pour terminer leur récit. Cependant, certains d'entre eux ont donné une fin plutôt positive et emplie d'espoir à leur protagoniste, tandis que

Question de corpus : En quoi ces trois scènes relevent-elles du tragique? Les trois textes de ce corpus sont des extraits de pièce théâtrales tragiques ayant pour thème commun l'amour impossible explicite dans les deux premiers textes. En effet dans le premier texte Bérénice de Racine, l'héroïne est amoureuse de Titus empereur de Rome mais leur amour est impossible du fait des lois romaines qui interdisent a un empereur de se marier avec une etrangère. Dans le second texte Cyrano est follement

MARC LEVY): nombreuses sont les citations d'auteurs parlant des risques de l'amour. C'est justement sur ce théme que porte le corpus proposé. Celui-ci se compose d'un extrait d'essai, un bribe d'une interview publier dans un article de journal, une nouvelle parmis un receuil de nombreuses autre, et une reproduction de bande dessiné mettant en scène deux personnages. Ce corpus expose une amplitude diachronique de 37 ans ce qui est relativement réduit pour un théme aussi vaste mais toutefois suffisant

son rapport au réel, s’intéressant notamment au statut des personnages. Avec celui-ci, deux autres textes composent notre corpus : le premier est issu du chapitre VIII de Madame Bovary de Gustave Flaubert, roman publié en 1857, le second est l’incipit du roman Madame Dargent de Georges Bernanos, publié en 1922. Ces deux passages ont la particularité de représenter les héroïnes éponymes en train de lutter contre la mort, chacune en présence de son mari. Or, l’idée développée par Camus est que le monde

chacun des quatre textes du corpus suivants : - Médée (1635) de P. Corneille - Andromaque (1667) de J. Racine, -Rodogune (1664) de P. Corneille et Britannicus (1669) de J. Racine. Pierre Corneille et Jean Racine sont tous les deux...1237 Mots 5 Pages Disserte DISSERTATION SUR LE THEATRE CORPUS : 1- CORNEILLE : Médée (1635) 2- RACINE : Phèdre (1677) 3- BECKETT : Fin de partie 4- Bernard-Marie Koltès : Roberto Zucco (1988) QUESTION (4 pts) Qu’est-ce qui fait l’unité du corpus ? Attention, ce type de