Corpus Monstruosité

l'espace circonscrit par une certaine rationalité. − une pratique: c'est l'expérimentation s'exerçant à l'intérieur de cet espace. − une théorie: c'est l'ensemble du corpus réunissant les axiomes, les théorèmes, les démonstrations. --> Ex: l'objet de la physique est la matière inanimée. La pratique est l'exp en labo. La théorie est le corpus touchant les explications générales. *On distingue deux types de sciences: − Celles de la Nature (sciences dures: maths, physique,...): elles sont universelles ds

de la litt fçse. Exemple : ce n'est pas préface de Cromwell ni Hernani qui a fait triompher le romantisme, mais le tableau de la poésie fçse de Sainte-Beuve. Naissance de la critique en Italie : besoin pr hommes de la renaissance de s'orienter ds corpus retrouvé de l'Antiquité, d'évaluer les œuvres pr choisir les modèles à imiter ==> établissement méthodes analyse stylistiques (critique philologique)+ litt du MA impersonnelle : nationalités prennent cse d'elles-mm au XVI° ==> en signant l'œuvre,

l'esthétique classique  - donner des repères dans l'histoire du genre. Textes étudiés : Phèdre OI : -ActeI, sc1 - ActeI, sc3 - II, 5 «PHÈDRE, à Œnone, dans le fond du théâtre. - Etude comparative ACTEIII, sc2 et 6 - Acte IV, scène 6  -Acte V, scène 6 Corpus comédie : - Tartuffe, (I, 1) du début, jusqu’à « voyez la langue ! » -Amphitryon Acte I, sc2 Perspectives complémentaires : les sources antiques : Euripide et Sénèque Lecture d’images La Mise en scène : interview JL Barrault DVD  Chéreau captation Séance

minutieuse et prudente que possible de certains textes de Heidegger, notamment de Was heisst Denken? et surtout de la conférence sur Trakl dans Unterwegs zur Sprache. I Nous allons donc parler de Heidegger. Nous allons aussi parler de la monstruosité. Nous allons parler du mot «Geschlecht». Je ne le traduis pas pour l’instant. Sans doute ne le traduirai-je à aucun moment. Mais selon les contextes qui viennent le déterminer, ce mot peut se laisser traduire par sexe, race, espèce, genre, souche

d’invention   Vers la dissertation 14 14 15 16 18 1 Classiques & Cie    Guide pédagogique  Corrigés des sujets d’écrit 20   Sujet d’écrit 1 : Le dénouement théâtral Question sur le corpus Commentaire Dissertation Écriture d’invention   Sujet d’écrit 2 : Dire la passion amoureuse Question sur le corpus Commentaire Dissertation Écriture d’invention 20 20 21 22 23 24 24 25 26 27 Corrigés des sujets d’oral 27   Sujet d’oral 1 : La scène d’exposition   Sujet d’oral 2 : La tirade amoureuse

en 1713), dont la musique fut composée par Joseph-François Salomon. Médée, thème tragique, fut donc aussi, bien avant Cherubini, un thème lyrique en France, comme il l’avait été en Italie dès les années 16402. L’ensemble de ces œuvres constitue un corpus cohérent, chaque auteur prenant position par rapport à ses prédécesseurs : la tragédie en musique de Thomas Corneille (1693) fut profondément marquée par la référence admirative à la première tragédie du frère aîné (1634) ; Longepierre, publiant une

Fréchuret d’« inventer la résurrection de Médée », devenue « déesse de la race des femmes 1 ». Ce dossier proposera, après un examen des spécificités de la tragédie athénienne, une réflexion sur l’espace scénographique, sur la complexité et la monstruosité du personnage de Médée ainsi que sur les enjeux dramaturgiques d’une traduction vraiment neuve. Dans un second temps, la remémoration du spectacle et l’analyse des partis pris de Laurent Fréchuret et de son équipe permettront de montrer l’originalité

« La boue et l’or »Corpus extrait des Fleurs du Mal « Au lecteur » La sottise, l’erreur, le péché, la lésine, Occupent nos esprits et travaillent nos corps, Et nous alimentons nos aimables remords, Comme les mendiants nourrissent leur vermine. Nos péchés sont têtus, nos repentirs sont lâches ; Nous nous faisons payer grassement nos aveux, Et nous rentrons gaiement dans le chemin bourbeux, Croyant par de vils pleurs laver toutes nos taches. Sur l’oreiller du mal c’est Satan Trismégiste

décrire dans un premier temps l'expérience de la sauvagerie. Le lecteur (a fortiori le lecteur de 1868 qui découvre interdit la première édition du Chant premier) est plongé à son entrée dans Les Chants dans un inconnu littéraire situé en marge du corpus littéraire connu et civilisé, un inconnu sauvage, à la manière d'Ulysse rencontrant la sauvagerie aux frontières du monde grec connu et civilisé1 sous les traits du cyclope Polyphème ou des Lestrygons.2 C'est cette expérience sauvage qui détermine

1713), dont la musique fut composée par Joseph-François Salomon. Médée, thème tragique, fut donc aussi, bien avant Cherubini, un thème lyrique en France, comme il l’avait été en Italie dès les années 1640[2]. L’ensemble de ces œuvres constitue un corpus cohérent, chaque auteur prenant position par rapport à ses prédécesseurs : la tragédie en musique de Thomas Corneille (1693) fut profondément marquée par la référence admirative à la première tragédie du frère aîné (1634) ; Longepierre, publiant une