Corpus

Le corpus est constitué de quatre textes : il s'agit de Satire VI (orthographe modernisée) de Nicolas Boileau en 1660, de Rêveries in Les Orientales de Victor Hugo en 1828, de A une passante de Charles Baudelaire dans Les Fleurs du Mal en 1857 et enfin extrait Les usines dans Les Villes tentaculaires d'Emile Verhaeren en 1895. Chacun de ces textes décrient ou plus o moins critiquent une ville plus précisément celle de Paris, dans un univers agressif, par Baudelaire et Emile Verhaeren ou bien un

La lecture du corpus proposé laisse une impression de grande diversité : d’époque, de sujet, de registre. Pourtant, comme notre analyse le montrera, les quatre textes – de Labé, Musset, Baudelaire et Bonnefoy – ont en commun d’appartenir au genre poétique, puisqu’ils montrent tous un travail particulier de la langue et chacun nous permet d’entendre la voix d’un poète. Le sentiment de diversité est d’abord lié à l’amplitude chronologique du corpus, qui s’étend du XVIe à la fin du XXe siècle, avec

Correction du corpus P°493 Nous sommes en présence de 2 poèmes les rayons et le ombres de Victor Hugo et Le poète et la foule de Théophile Gauthier ces deux poètes on publier ont publié au XIXème. Un appartient au mouvement du romantisme et le second au post romantisme, le romantisme consiste à l’évocation des sentiments. Théophile Gauthier appartient plutôt au mouvement du Parnasse qui développe la théorie de l’art pour l’art : soucis de la forme poétique, beauté idéale. A travers l’analyse de

Le corpus que nous allons étudier est composés de 3 textes de genres différents. Le texte A est une lettre, cela est visible à travers plusieurs indices. D’abord dans le paratexte, nous apprenons que Christophe Colomb écrit à son protecteur Luis de Santangel. Ensuite, à la fin du texte il y a la date et le lieu (Fait sur la caravelle, au large des îles Canaries, le 15 février 1493). Enfin, le texte se termine sur une formule de politesse pour prendre congé (Je ferai ce que vous

dans « La Jetée», extrait de Mes propriétés, L'espace du dedans, et Francis Ponge avec le « Pain » suivent cette voie. Comment peut-on encore dire que ces textes sontdes « poèmes» ? Des poèmes en prose : le travail de mise en page Les textes du corpus se présentent clairement comme des textes en prose, dégagés de toutes contraintes formelles : ni vers, nirimes. Mais ils marquent tous un travail sur la forme des paragraphes, visible dans la mise en page et la typographie. « La ronde sous la cloche

Le corpus est constitué de trois extraits de romans : Le Rouge et le Noir, de Stendhal publié en 1830 ; Les Trois mousquetaires de Dumas paru en 1844 et La Condition humaine de Malrauxpublié en 1933.Ces trois extraits mettent en scène des figures de meurtriers : Julien et Tchen commettent un assassinat, tandis que la meurtrière, Milady, est tuée. On peut se demander comment les lieuxsoulignent la gravité du geste qui va être accompli. 1) Toutes ces actions sont accomplies dans des lieux écartés

Le corpus que nous allons étudier est composé de trois apologues* qui abordent tous le thème de la querelle judiciaire. Les deuxpremiers textes sont des fables : la première est écrite par un auteur anonyme, elle est intitulée « Le Prud’homme qui sauva son compère » et fut publiée au XIII° s ; la seconde, « L’Huître et lesplaideurs », fut publiée par La Fontaine dans son recueil Fables en 1678. Le dernier texte est un extrait du chapitre 6 du conte philosophique* Zadig, publié par Voltaire en 1747

Hachette pages 195 et sq. Question sur le corpus : quelles sont les fonctions de la lettre dans les documents du corpus ? Une présentation rapide du corpus : Accessoire récurrent de l’univers romanesque-en particulier au XVIIIème siècle- comme de l’univers théâtral, la lettre constitue l’objet autour duquel se nouent les scènes des comédies de Marivaux et Beaumarchais et celle du drame romantique de Victor Hugo qui constituent le corpus. La lettre va ici de pair avec une intrigue amoureuse

 Ces trois textes du corpus nous présentent des insurrections populaires et républicaines. Chacun de ces textes apportent leurs propres visions du peuple révolté. Dans le texte de Flaubert, une vision négative voir critique du peuple est faite. En effet, il est considéré comme une masse insensée, irréfléchie, incontrôlable, destructrice et dangereuse. Le peuple, décrit vue d’en haut (« Hussonnet et Frédéric se penchèrent sur la rampe » l.1) que est considéré comme un ensemble indifférencié

Nous sommes en présence de trois corpus traitant du thème .....et datant respectivement ........tirés de rouge et le noir de stendhal ,bel ami de maupassant et la nausée de jean Paul Sartre. Le point commun qui unissent les personnages de ses extraits est qu'ils ont tous une colinéarité avec la nature qu'ils découvrent au fur et à mesure en présence .En effet ,dans la nausée le songe que fait Antoine lui permet de trouver refuge chez la nature ceci est attesté par" comme je me sens loin deux