Correction Cas Toupargel Agrigel

des activités de fusion et d'acquisition. »5 On peut supposer que tous ces motifs ont pour objectif ultime, à long terme, d'augmenter la rentabilité de l'entreprise. En effet, il apparaît raisonnable de supposer, même si cela n'est pas toujours le cas, que peu importe le motif à l'origine de la transaction, les dirigeants de l'entreprise faisant l'acquisition ont toujours comme préoccupation ultime d'augmenter les bénéfices à long terme. 3. Les raisons moins traditionnelles des fusions et ses

Securities and Exchange Commission (SEC) et le Public Company Accounting Oversight Board (PCAOB) ont fortement recommandé aux entreprises américaines et étrangères cotées à New York d’adopter le COSO comme référentiel de contrôle interne, ce qui a été le cas pour la trentaine de groupes français concernés par cette loi. Un an plus tard, le 1er août 2003, était promulguée en France la Loi de Sécurité Financière (LSF) qui, selon les autorités françaises, était « une réponse, à la fois politique et technique

Securities and Exchange Commission (SEC) et le Public Company Accounting Oversight Board (PCAOB) ont fortement recommandé aux entreprises américaines et étrangères cotées à New York d’adopter le COSO comme référentiel de contrôle interne, ce qui a été le cas pour la trentaine de groupes français concernés par cette loi. Un an plus tard, le 1er août 2003, était promulguée en France la Loi de Sécurité Financière (LSF) qui, selon les autorités françaises, était « une réponse, à la fois politique et technique

Securities and Exchange Commission (SEC) et le Public Company Accounting Oversight Board (PCAOB) ont fortement recommandé aux entreprises américaines et étrangères cotées à New York d’adopter le COSO comme référentiel de contrôle interne, ce qui a été le cas pour la trentaine de groupes français concernés par cette loi. Un an plus tard, le 1er août 2003, était promulguée en France la Loi de Sécurité Financière (LSF) qui, selon les autorités françaises, était « une réponse, à la fois politique et technique

outil de référence mis à la disposition des entreprises pour améliorer le pilotage de leurs activités et sécuriser l’atteinte de leurs objectifs. Comme l’ancien cadre, rien n’est imposé. C’est une méthodologie qui doit être adaptée aux innombrables cas particuliers résultant de l’activité, de la taille et de l’organisation des entreprises concernées. Bien qu’étant dans la même ligne, cette nouvelle édition apporte des améliorations considérables au cadre de référence de 2007. Elle tient compte de

service des entreprises : Re-positionnement des acteurs : Composition de l’étude : Architecture mobile type : Pénétration des solutions mobiles à usage professionnel 2. Critères de sélection d’un fournisseur de solutions mobiles 1 . Exemples de cas réels a. SMS pour messagerie simplifiée entre mainteneurs b. Remote mail en GPRS sur PDA pour acheteurs c. Extension ERP pour consultants d. Aide à la vente dans la santé e. CRM pour une société commerciale f. Gestion d’élevage dans le secteur primaire

tel-00452645, version 1 - 2 Feb 2010 le 23 mars 2009 à 14h Pour obtenir le grade de : Docteur de l’Université d’Orléans et de l’Université de Tunis Discipline : Sciences de Gestion LE CHOIX DE LA SOURCE DE DETTES PAR LES GRANDES FIRMES : LE CAS FRANÇAIS THESE DIRIGEE PAR : Chokri MAMOGHLI Jean-Paul POLLIN Professeur, Université de Tunis Professeur, Université d’Orléans RAPPORTEURS : Faouzi JILANI Laurent VILANOVA Professeur agrégé, Université du 7 novembre à Carthage Professeur