Cortex auditif

pavillon de l’oreille • Le conduit auditif externe • La membrane tympanique – Rôle : canaliser les vibrations externes 51. Le pavillon de l’oreille • M/O : – Épiderme – Derme – Au centre : • Cartilage élastique accolé au derme • Tissu adipeux richement vascularisé et peu innervé au niveau du lobule de l’oreille 61. Le pavillon de l’oreille • Rôle physiologique : – Canaliser les sons – Permettre une meilleure localisation de l’origine des sons 72. Le conduit auditif externe • Forme un tube ou corne

souvenirs. Certaines de ces zones sont situées à la surface du cerveau, au niveau du cortex. C’est là, au niveau cortical, qu’aboutissent toutes nos stimulations sensorielles et qu’elles trouvent un sens et une interprétation cohérente. Un son ou une couleur ne demeure qu’une succession de messages électrochimiques se propageant à la vitesse de la lumière le long des neurones, jusqu’à ce qu’il parvienne au cortex, où il sera reconnu comme un si bémol ou un indigo profond. D’autres structures essentielles

du blanc au noir. Les cônes et bâtonnets sont donc les photorécepteurs qui sont reliés aux neurones bipolaires et cellules ganglionnaires qui transmettent les influx nerveux au nerf optique, qui lui même achemine les informations visuelles vers le cortex occipital dans les aires visuelles pour que soient traitées les informations et que la perception consciente des stimulus visuels s'effectuent (Marieb, 2005). L'odorat est étroitement associé au goût et sont les sens chimiques, puisque les récepteurs

limbique. Ces neurones vont constituer le tractus olfactif en 3 fibres pour aller vers différentes structures du cortex, une fibre latérale pour l’air olfactive primaire, une médiane et une médiale. [pic] Phylogénétiquement parlant, la voie olfactive est la plus primitive des fonctions sensorielles même si l’homme a perdu la majorité de son odorat au fil du temps, son archéocortex ou cortex olfactif est peu développé. C’est la seul voie sensitive qui ne passe pas par le thalamus. 2) La vision

trois parties : l’oreille externe (visible), l’oreille moyenne et l’oreille interne L’OREILLE EXTERNE Elle comprend le pavillon ou l’auricule, le conduit auditif externe et le tympan. Le pavillon de l’oreille est la partie saillante en forme de coquille, formé de cartilage élastique recouvert de peau. Le conduit auditif externe s’étend de l’auricule au tympan. Près de son ouverture, il contient quelques poils et des glandes cérumineuses qui sécrètent le cérumen. Les poils et le

amplitude moyenne (µV) et fréquence (Hz) Début Fin Induction des ondes alpha Yeux fermés, détendu Amplitude = 232,81µV Fréquence = 0,40 Hz Disparition des ondes alpha. Ouverture des yeux Amplitude = 192,08 µV Fréquence = 0,45 Hz Yeux fermés + stimulus auditif Amplitude = 138,96 µV Fréquence = 0,45 Hz Fréquence = 1 / T avec T le temps s’écoulant entre le début et la fin des ondes alpha Mais ce n’est pas la fréquence dominante pour la trouver: Fréquence dominante = (1/T) * le nombre de motif observée

affectant la lecture, l’orthographe et aussi l’écriture. On parle de dyslexie (troubles de la lecture) et de dysorthographie (troubles de l’orthographe). Ces troubles se distinguent d’un simple retard d’acquisition, d’un retard mental, d’un problème auditif, d’un problème visuel, d’un problème affectif, d’un problème d’élocution, du bilinguisme. Les troubles persistent dans le temps, c’est pour cela que l’on parle de trouble durable d’origine neurologique. On ne parle de dyslexie qu’après deux années

sensitif moteur, il innerve homo latéralement la joue, la gencive supérieure, les dents, et la paupière supérieure. - Nerf mandibulaire qui est sensitif moteur, il innerve les dents, la gencive inférieure, les dents et la gencive supérieure, le conduit auditif externe, le tympan, la lèvre supérieure et le menton. 6) Nerf oculomoteur externe ou abducens (moteur) Il innerve le muscle droit externe, abducteur. Le noyau du nerf oculomoteur contient deux types de neurones : les motoneurones innervant le droit

acquérir les données à "enregistrer" : c'est chaque zone spécifique qui va s'en charger, en fonction de la nature de l'information (image, son, odeur…). Mais l'hippocampe ne peut pas "stocker" les souvenirs. Ces derniers sont donc conservés dans le cortex (lobe pariétal, temporal et occipital). La mémoire associativeL'hippocampe intervient à nouveau lorsqu'il s'agit de rassembler différents éléments ; c'est la mémoire "associative". C'est ce même mécanisme qui entrerait en jeu lors des rêves : l'hippocampe

Am, HT, Septum). Fonction : émotions, mémoire. Néomammalian ou Néopallium : cortex, néocortex (aires projectives et associatives). Fonctions : planification, anticipation. 3 régions les plus importantes : gyrus cingulaire, hippocampe et amygdale. D'autres structures impliquées : septum, corps mammillaires Structures limbiques = hippocampe amygdale gyrus cingulaire septum Structures para-limbiques = cortex orbito-frontal gyrus parahippocampique Autres structures = noyaux thalamiques