Corticoïde

dispersion d’une poudre ou de cristaux dans un liquide. Ex : insulines, corticoïdes retard * Emulsions injectables : mélange de 2 liquides non miscibles, généralement phase huileuse dans une aqueuse L/H (= lipidique dans hydrophile). Ex : apport de lipides en nutrition parentérale * Formes à libération prolongée : procédé permettant d’obtenir un effet retard ou prolongé dans le temps. Ex : neuroleptiques retard, corticoïdes retard 4) Formes solides Préparations pour injection ou perfusion

anabolisants, on constate une augmentation de la masse musculaire chez ces individus même en absence d’une pratique sportive, une facilité à la recupération, et une augmentation à la résistance de la fatigue. B) Le dopage aux Coticoides Les corticoïdes sont des substances anti-inflammatoires. Elles vont agir en diminuant la sensation de fatigue et en masquant la douleur, signal d’une lésion de l’organisme. Le sportif peut alors réaliser des efforts intenses au-delà des limites supportées par

termes différents. Ainsi, au Sénégal les termes wolof : • « xeesal » (mot d'origine arabe désignant une terre argileuse que les femmes arabes emploient dans le hammam pour nettoyer l'épiderme), renvoie à des pratiques agressives par le biais de corticoïdes dont les effets sont particulièrement visibles. Il concernerait les classes sociales les plus démunies ; • « leeral » semble qualifier des pratiques moins agressives, fondées préférentiellement sur l’emploi de l’hydroquinone. Il concernerait

il est intéressant pour nous, neurologues, d’en connaître les principales caractéristiques afin de mieux la dépister. faut souligner la gravité des atteintes dites parenchymateuses. En effet, si certains patients répondant au traitement corticoïdes gardent peu de séquelles, d’autres, en revanche, subissent une évolution progressive responsable d’un handicap majeur. Les atteintes parenchymateuses ◗ Les atteintes parenchymateuses Elles sont le plus souvent étendues, et il est difficile

ambulatoire) : Entrée pour Ptosis (affaissement de la paupière sup. de la paupière) droit et diplopie liée a sa sclérose en plaque se manifestant par lune vision trouble, l’œil irrité, paupière occlusive, myosis strabisme, nécessitant un trt de corticoïde. Adressé par son médecin généraliste Définition de la pathologie : * Recueil de donnée * Sur le plan social *  Vie personnelle et familiale: c’est un jeune homme célibataire vivant dans appartement sur Allauch, situé a 15 min

Pendant une dizaine d’années, son médecin traitant lui avait prescrit du Cortancyl (Prednisolone Corticoïde) par voie orale en continu. Il y a 2 ans, les effets secondaires devenant importants, Madame T. a consulté un pneumologue qui a modifié le traitement : Sérétide®, 1 bouffée matin et soir (suspension pour inhalation en aérosol-doseur). Le Sérétide® est une association de Flucticasone (Corticoïde) et Salmétérol (Béta2 mimétique à action prolongée sur 12 H) 125/ 25µg/dose. La gêne respiratoire

tbl digestif, réaction cutanée, tbl respiratoire, photosensibilisation, céphalées, vertiges, bourdonnement d'oreilles CI : Ulcère gastrique (hémorragie), 1 et 3° trimestre de grossesse, si allaitement, virose cutanée (Syndrome de Rey) Corticoïdes : Propriétés : Anti-inflammatoire, Immunosuppresseur, Antiallergique. EI : Rétention hydrosodé qui risque de provoquer des œdèmes et de l'hypertension ; donc mise en place d'un régime hyposodé, surveiller la TA. Tbl musculo-squelettique

persistant modéré ou persistant sévère est associé un traitement spécifique. Aucun corticoïde n’est prescrit chez les asthmes intermittents. Une monothérapie par corticoïde inhalé est recommandée aux patients persistants légers à la dose quotidienne de 500 µg ou moins. Une bithérapie corticoïde inhalé et beta2 à longue durée d’action est administrée chez les patients asthmatiques modérés. Une trithérapie à base de corticoïde inhalé (aux doses entre 1 600 et 2 000 µg) de beta2 longue durée d’action et/ou

l’asthme chez les adultes et les adolescents (à partir de 12 ans) atteints d'asthme allergique persistant sévère, ayant un test cutané positif ou une réactivité in vitro à un pneumallergène perannuel, et qui, malgré un traitement quotidien par un corticoïde inhalé à forte dose et un bêta2-agoniste inhalé à longue durée d'action, présentent une réduction de la fonction pulmonaire (VEMS100–200 >200–300 >300–400 >400–500 >500–600 >600–700 >20-25 75 150 150 225 225 300 300 >25-30 75 150 150 225 300

sont localisés à la bouche ou aux organes génitaux, des applications à base de corticoïdes (bains de bouche ou préparations spéciales de type pommade) peuvent être efficaces. D’autres mesures locales peuvent être essayées avec une efficacité très variable : bains de bouche à l’acide lactique, à l’aspirine, à l’acide hyaluronique, vitamine C… Pour l’atteinte de la partie antérieure des yeux (uvéite antérieure), les corticoïdes locaux sous forme de gouttes pour les yeux (collyre) suffisent dans la majorité