Cosme de Médicis

réflexions et de nouvelles disciplines (comme la cosmographie de Mercator). La présence de souverains éclairés, de princes protecteurs ou de puissant épris de culture favorisent l’esprit nouveau… et son financement: François Ier en France, Les Médicis (Cosme puis Laurent) à Florence, Mathias Corbin en Hongrie, le cardinal Cisneros en Espagne… Au XVIème siècle, l’Humanisme rayonne et est devenu le mouvement emblématique du renouveau de la pensée et de la sensibilité européenne qu’est la Renaissance

Enfin, la statue est posée sur une épaisse couronne de laurier, symbolisant la victoire. Analyse : la première spécificité concernant cette statue est qu’elle n’a pas été conçue pour l’église comme souvent au Moyen Age, mais a été commandée par Cosme de Médicis, probablement pour commémorer la bataille d’Anghiari en 1440. L’influence de l’antiquité est très perceptible : le nu tout d’abord, délaissé pendant le Moyen-Age, ainsi que le contrapposto, qui permettait aux artistes de l’antiquité de montrer

basilique. • Première phase, 1421-29 Comme la structure murale est déjà présente (support pour la peinture, sculpture), Brunelleschi s’occupe de la membrure, il réinterprète le thème de cette dernière. Sacristie, financement par Giovanni di Averardo de’ Medici, dit Bicci; 1429 première conclusion des travaux. Structure de la coupole principale: « a creste e vele » • Dans la deuxième phase (1430-1440 env.) Après le décès de Brunelleschi, Manetti ajoute un faux plafond et une nef. • Les arcs portent la coupole

fresque plus rarement Ex de Gozzoli, retable à fresque : une rare représentation d’un retable à fresque Retable polyptique très fréquent au Quattrocento, les retables polyptiques italiens ont des panneaux latéraux qui ne se referment pas. Ex de Cosme Tura, retable Boverella Au XVIIIe, avec la folie des collections les retables ont été morcelés L’ensemble des tableaux est terminé par le couronnement (fronton curviligne, triangulaire…). Dans ce couronnement on a des scènes bibliques narratives

faveur dans de nombreuses universités, en particulier celle de Padoue, l’académie de Florence opéra un retour à la philosophie de Platon. Le promoteur de ce néoplatonisme humaniste fut Marsile Ficin, qui, sous l’égide de l’homme d’Etat florentin Cosme de Médicis, rassembla les humanistes de Florence et entreprit avec Pic de La Mirandole une collaboration parfois orageuse. Il influença même des théologiens en les incitant à la tolérance, comme l’Allemand Nicolas de Cuse, auteur de la Docte Ignorance (1440)

stratégies, comme Bandenelli ou Baccio. On peut donc dire que certains artistes choisissaient leurs mécènes. Deuxième façon de faire,exactement l'inverse : le commanditaire, parfois en se faisant conseiller par des experts en la matière, comme Cosme ou Laurent de Médicis par exemple, va choisir un artiste pour son projet. Le choix peut être en fonction de critères très diverses, financiers ou stylistiques selon les moyens. Parfois encore, ce sont des concours qui permettent de trancher pour tel ou tel artiste

réflexions et de nouvelles disciplines (comme la cosmographie de Mercator). -La présence de souverains éclairés, de princes protecteurs ou de puissants épris de culture favorisent l'esprit nouveau...et son financement: François Ier en France, les Médicis (Cosme puis Laurent) à Florence, Mathias Corbin en Hongrie, le cardinal Cisneros en Espagne... -Enfin, le développement de l'imprimerie facilite la diffusion des traductions des grands Anciens mais aussi des oeuvres humanistes comme celle d'Erasme qui

XIV expose dans le dernier paragraphe les petits Etats du centre de l'Italie. Premier type, les Etats plutot favorable à la France : le Grand-Duc de Toscane Ferdinand II de Médicis (1621-1670), alliance conclut en 1621 entre Ferdinand II et Louis XIV, pour confirmer cette alliance a été organisé entre le fils du Grand-Duc, Cosme III avec une nièce de louis XIV, Marguerite louise d'Orléans. Il évoque aussi Parme, Modène et Montoue, Ville-Etat, de faites sans aucune puissance militaire. Deuxième type

premier poète moderne et patriote fervent. Il meurt dans son prieuré de saint Cosme (près de Tours). Ce parent de Bayard et de la reine Elizabeth d’Angleterre était né au château de la Possonnière dans la paroisse de Couture-sur-Loir en 1524. Devenu sourd très jeune, il se consacra alors à la littérature. Fondateur du groupe de la Pléiade avec Joachim du Bellay, il a renouvelé l’inspiration et la forme de la poésie française (Odes, Amours, Hymnes, etc.) Les Italiens le mettent au-dessus de leurs

les autres, bien qu’en réalité il porte les marques d’un véritable dénouement. Il a d’ailleurs souvent été supprimé des versions contemporaines de mise en scène, et atrophié voire dénaturé dans certaines rééditions modernes. Mais si Alexandre de Médicis est tué à la fin de l’Acte IV, Lorenzo, lui, meurt mis en pièces par le peuple durant cet acte. Le couple Cibo se reforme pour faire bonne figure, le cardinal tire, dans l’ombre, les ficelles secrètes qui lui permettront de s’assurer un contrôle du