Cosmogonie Grecque

Roseau plie. 29 Le vent redouble ses efforts, 30 Et fait si bien qu’il déracine 31 Celui de qui la tête au Ciel était voisine, 32 Et dont les pieds touchaient à l’Empire des Morts. [1] Aquilon : dans la mythologie grecque, l’Aquilon est un vent du nord, froid et violent. [2] Zéphyr : vent doux et agréable.

Paul Eluard est un poète surréaliste du XXeme siècle. Une de ses œuvres les plus connues est Capitale de la Douleur, qu’il écrit en1926. C’est un recueil de poèmes qui sont pour la plupart dédiés à Gala, sa femme et sa muse, de son vrai nom Helena Diakonova. « Sous la menace rouge d’une épée.. » est un poème en prose qui fait partie de cet ouvrage, il se situe dans la partie intitulée « nouveaux poèmes ». LIRE Nous allons voir dans quelle mesure ce poème lyrique est à la fois un éloge de la femme

fleuve des enfers. L’enfant est invulnérable sauf son talon qui n’a pas baigné dans l’eau magique. Pendant la guerre de Troie, PARIS (prince de Troie), tire une flèche qui le blesse mortellement au talon. Le mythe d’Ulysse Héros de la mythologie grecque, immortalisé par l'œuvre de Homère et renommé pour sa prudence, sa ruse et son intelligence. Fils de Laërte et d'Anticlée, Ulysse est né à Ithaque, dans l'archipel des îles loniennes. Lorsqu'il atteint l'âge d'homme, Laërte lui cède le pouvoir;

chose, il est nécessaire de comprendre que dans la grèce antique, l’enseignement pieux, c’est-à-dire l’aspect religieux, occupait une place prépondérante. Cela explique bien sûr la présence des dieux dans la littérature de l’époque. La mythologie grecque est riche, facscinante et complexe et se veut le plus souvent une explication à certains aspects fondamentaux du monde et de la société. Il est intéressant de signaler que les dieux représentent habituellement la lumière et la sérénité alors qu’aux

se compose de six éléments, qui sont respectivement la fable (ou intrigue de la pièce), les personnages , la diction la pensée, le spectacle, et enfin la mélodie (car le spectacle tragique était accompagné de musique). I-L'histoire La tragédie grecque est conçue comme un drame ,c'est à dire une action que vivent des personnages illustres et qu'un chœur constitué d'une quinzaine de personnes commente en chantant et en dansant . Au XVIe siècle le registre est plus pathétique que tragique,elle se

Antigone, de Sophocle Les 3 arguments distincts de Créon à propos de la décision rendue à l’égard de Polynice : 1) Comme Créon venait d’être nommé roi, il avait besoin de faire ses preuves auprès du peuple pour leur prouver qu’il est digne de gouverner Thèbes donc, il décide de laisser le corps de Polynice sans sépulture à cause du geste qu’il a commis. Pour Créon, c’était une juste décision et digne d’un roi. (p.50 L.15) 2) D’après Créon, le méchant n’a pas droit à la part du juste

infernales, endroit sombre, noir, dans les profondeurs de la terre, l'endroit où se retrouvent les esprits séparés des corps. Le Hadès est la demeure des méchants, une place très inconfortable. Hadès est un personnage appartenant à la mythologie grecque, frère de Zeus gouvernant le ciel et de Poséidon gouvernant l’eau, il règne sous la Terre et c’est pour cette raison qu’il est considéré comme le « Maître des Enfers ». Il est marié à Perséphone, Déesse responsable du retour de la végétation lors

l'histoire d'Enée après son départ de Troie qui tombe aux mains des Grecs. Cette réalisation lui vaut le surnom d'«autre Homère » même si l'épopée est inachevée. Celle-ci connaît un grand succès à l'époque, peut-être parce qu'elle rattache la mythologie grecque au début de Rome. Selon Virgile, Enée fuit Troie en flammes, réveillé par son frère Hector qui lui apparut en rêve. Le jeune héros part alors, portant son père sur ses épaules, et tenant son fils à la main et suivi de s a femme Créüse, avec de

Bérénice - Acte V scène 5 - Racine La tragédie classique retrouve les accents principaux de la tragédie grecque grâce principalement aux vertus qu’elle met en scène incarnées par des héros à la valeur incontestée et que le public admire avant même que le rideau se lève. Ainsi, dans Bérénice de Racine créée en 1670, Titus, héros incontesté de la Rome antique, se trouve confronté à un dilemme qui d’emblée suscite la terreur chez le lecteur : choisir entre la raison d’état qui refuse qu’une reine

dieux soit apaisée. C’est seulement à ce prix que l’armée grecque pourra atteindre les rivages de Troie. C’est une pièce saisissante dans son écriture. Il y règne une atmosphère sombre rassemblant les sentiments de peur, de colère, de tristesse. La gravité de la pièce est renforcée quand, au milieu du déchaînement des passions sur la question du sacrifice, Iphigénie apparaît digne, droite, calme, prête à verser son sang pour la nation grecque. Seulement, cette pureté n’est pas destinée à mourir et