Costume Fonction Esthétique

spectateur) II/ une atmosphère de mystère (intriguer le spectateur) III/ les aspects novateurs de cette scène d’ouverture (surprendre ou choquer le spectateur) I/ Les ingrédients d’une exposition traditionnelle (renseigner le spectateur) Rappels : Fonction de la scène d’exposition = renseigner le spectateur selon le principe de la DOUBLE ENONCIATION (les paroles échangées sur scène ont pour destinataires 1/ les autres perso sur scène 2/ le spectateur dans la salle) NB : la didascalie qui précède notre

et écrivains. Le premier courant de pensée supporté par Aristote ou Théophraste considère que l’olfaction est un sens médiocre, inférieur à la vue et l’ouïe mais supérieur au toucher et au goût. Selon eux, l’olfaction rend compte de l’aspect esthétique des choses mais stimule les instincts les plus méprisants et primitifs de la nature humaine. D’autres philosophes alimentent ce débat, tel Platon qui considère l’olfaction comme dangereuse, corruptrice et incitant aux dérives charnelles. Descartes

ou trois des groupements de textes proposés dans ce chapitre du manuel et en leur adjoignant la lecture analytique ou cursive d’une œuvre complète ; – soit en choisissant certains des textes proposés dans ce chapitre ou dans d’autres du manuel, en fonction d’objets d’étude librement déterminés par le professeur et associés à la lecture d’œuvres intégrales. À titre d’exemple, voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière

l’écoute de chacun vis-à-vis du groupe. (voir bibliographie) 1. Le courant électrique : en cercle, se donner la main, fermer les yeux, et faire passer le « courant électrique », c’est à dire une impulsion de main en main jusqu’au meneur. Le jeu ne fonctionne que si tout le groupe est concentré et parfaitement détendu. Ce jeu permet aux enfants d’identifier "l’état neutre" nécessaire à toute concentration. Prolongements possibles: ajouter une ou deux impulsions, changer de sens, envoyer deux impulsions

chaussettes Les bijoux Les sous-vêtements Une apparence soignée et stylée Le rasage Les soins du visage Les mains La coupe de cheveux Les autres poils du visage L’utilisation de parfum et de déodorant 11 Le tailleur et le tailleur pantalon 28 Le costume 13 Le chemisier 30 La chemise 15 Les accessoires UBS pour femmes 16 Le foulard et le nicky/Technique de nouage 17 Les chaussures et la ceinture 32 Les accessoires UBS pour hommes 33 La cravate/technique de nouage 39 L’entretien des vêtements 41

grand nombre de bruits de la ville dans ses œuvres, et même en se les appropriant avec une précision et une intimité jamais atteintes avant lui, Reich n’emploie en rien la ville comme prétexte sonore à l’évocation d’une couleur locale, selon une esthétique de l’exotisme qui relèverait somme toute d’une idéologie conservatrice, voire rétrograde. Pour le dire autrement, la ville musicale de Steve Reich n’est absolument pas unpaysage moralisé comme elle pouvait l’être sur le mode du divertissement, à

ou des scénaristes. Ils peuplent l’imaginaire collectif depuis très longtemps. Il est donc parfaitement logique que le cinéma en soit particulièrement imprégné. Si les humains déguisés peuvent faire l’affaire pour jouer d’ignobles créatures, les costumes ont leurs limites liées à la morphologie humaine. Certes de petits êtres tels que des lèprechaunes peuvent parfois être incarnés par des acteurs nains. Mais qu’en est-il quand la créature voulu est atteint d’anorexie morbide ou qu’elle est trop petite

représentations tragiques de cette époque étaient aussi importantes que les cérémonies religieuses. Le théâtre était construit en demi-cercle à ciel ouvert (cf au théâtre grec), les acteurs donnaient un jeu brillant et stupéfiant, parés des plus beaux costumes. Les thèmes étaient directement puisés dans les légendes ou dans l’histoire de la Grèce. Ces thèmes pouvaient être en rapport avec la nature, les dieux, l’hérédité et ils avaient un point en commun, ils donnaient une image de l’homme dépassé par

1890 l’art officiel se réduit à trois choses : L’Ecole des Beaux-Arts, l’Institut et le Salon l’ensemble étant dirigé par un petit groupe de notables qui contrôlent à la fois le style et la circulation des tableaux. L’enseignement aux Beaux Arts fonctionne encore selon le modèle antique hérité de la Renaissance. Ce système ne tolérant bien entendu aucune déviance : Odilon Redon peintre symboliste de la fin du XIX écrit sur ce système «  Je fus torturé par le professeur. Il cherchait visiblement à

alors un pouvoir politique de plus en plus étendu. Le besoin impérieux d’affirmer l’identité bourgeoise explique le grand réalisme qui caractérise ce genre. Le peintre avait à se préoccuper de la pose, du geste, de la mise en scène, du rendu des costumes et des accessoires, de manière à donner une image distinguée et respectable de cette société tout en s’attachant à retranscrire la réalité psychologique du modèle. Les Pays-Bas méridionaux, ou la « Flandre », se réveillent après la longue tragédie