Costumes Dans Bourgeois Gentilhomme

très précisément respectés. Ainsi, l’essence de la pièce est, à travers les dires des acteurs, malgré tout conservée. De plus, beaucoup de pièces de théâtre présentent des contraintes multiples. Tout d’abord, certains écrits, tels que Le Bourgeois Gentilhomme, proposent un registre principal, qu’il est indispensable de mettre en avant lors d’une adaptation théâtrale. En effet, cette œuvre présente un registre comique prédominant au service de la satire qu’elle véhicule. Si l’humour n’est pas traduit

Rhinocéros, la mise en scène a prit différentes tournures. Effectivement en 1960, date de première représentation, le metteur en scène Jean-Louis Barrault cherchait à se rapprocher au maximum de l'apparence d'un Rhinocéros alors que, plus récemment, les costumes visant à représenter ces imposants animaux sont plus symboliques comme dans la mise en scène d'Emmanuel Demarcy-Mota en 2004. On parle pour une pièce de théâtre du « caractère incomplet » de son texte, comme l'affirme explicitement Anne Ubersfeld

s'est marié à Angélique dans l'optique d'entrer dans la « maison d'un gentilhomme ». Il avoue avoir voulu s'élever au dessus de sa condition et s'en fait le reproche. Maintenant, il regrette de ne pas simplement s'être marié avec quelqu'un de son rang, sans penser aux futilités de la noblesse. Le monologue de Dandin prend une valeur informative pour le public : il explique sa situation (il s'est mariée à une fille de gentilhomme et il regrette son choix... s'élever au -dessus de sa condition n'est

acteurs.  Un art vivant : l’œuvre théâtrale est incarnée sur la scène par de vrais personnes qui lui donnent vie l’espace de quelques heures. Le théâtre est un art en partie visuel, qui se vit, une sorte de fête qui convoque nos sens (la vue avec les costumes, les décors, le jeu des acteurs, les lumières, l’ouïe avec les voix des acteurs, les bruits, ...). C’est une interprétation éphémère, qui dure le temps d’une représentation puis ensuite qui s’évanouie et en cela la représentation est plus précieuse

dans le Nord de la France, se jouent les premières pièces en ancien français. A la fin du Moyen Age, dans les villes, se constituent les « confréries joyeuses » qui jouent soties et moralités. Les sots sont habillés à la manière des fous de cour : costumes moitié vert, moitié jaune, ils portent à la main la marotte, sorte de sceptre grotesque à grelots. Ils sont la satire de la société en prétendant qu’elle est tout entière composée de fous. La sotie est une pitrerie bourrée d’allusions à l’actualité

Français : les genres théâtraux. 1. Le théâtre antique grec. Comédie/tragédie. Lié au rite religieux, culte Dionysos. Composé d’un chœur (15 pers), 3 à 5 acteurs (costumé et masqué), refuse la violence sur scène, structure fixe (1ère partie = prologue, 2ème parodos = l’entrée du chœur, 3ème =la scène, 4ème exodos= sortie du chœur). 5 actes de la tragédie. Le premier à théoriser le théâtre grec = ARISTOTE. Avec le mimesis = th. Doit mimer la réalité= règle de vraisemblance. Et la catharsis

une population - Sacré : il est joué sur les parvis des Eglises. Théâtre  genre littéraire, art théâtrale / art du spectacle ; fait pour être vu. Représentation  son bruitage, effets sonores, éclairage, costumes, accessoires, comédiens. Art vivant  (« on s’y croirait ») Art de l’illusion La mimesis : Notion qui vient de la politique d’Aristote. Incapacité à imiter le réel. Pour réussir à imiter le réel : unité d’action, unité de lie, unité de

Les représentations tragiques de cette époque étaient aussi importantes que les cérémonies religieuses. Le théâtre était construit en demi-cercle à ciel ouvert, les acteurs donnaient un jeu brillant et terriblement stupéfiant, parés des plus beaux costumes. Les thèmes étaient directement puisés dans les légendes ou dans l’histoire de la Grèce. Ces thèmes pouvaient être en rapport avec la nature, les dieux, l’hérédité et ils avaient un point en commun, ils nous donnaient une image de l’homme dépassé

la machine (un peu comme, aujourd'hui, le cinéma en est un d'effets spéciaux). Ainsi, on fait glisser sur des rails la lune, des astres ou des nuages, on imite la mer déchaînée par un système de cylindres qui ondulent derrière une toile, etc. Les costumes, eux, sont fastueux... mais anachroniques. Ce qui importait, ce n'était pas de faire vrai, mais de faire « chic », de sorte que personne ne s'étonnait de voir Auguste porter un large chapeau avec deux rangs de plumes rouges ou que Polyeucte portât

des quiproquos, un langage trivial. Les personnages y sont stéréotypés (mari trompé). - La commedia dell'arte, venue d'Italie au XVIIe siècle, repose en grande partie sur l'improvisation. Des «types» (Arlequin, Pantalon...), reconnaissables à leur costume et à leur masque, brodent la matière dramatique selon leur inspiration. Ce théâtre influencera les auteurs de comédies (Molière, Beaumarchais, Marivaux...). - La comédie de caractère (Molière) étudie les mœurs et met en scène des «types» dont les