Costumes Dans Bourgeois Gentilhomme

famille et annonce en quelque sorte le conflit tragique qui opposera Camille à son frère lors du retour d’Horace. 2. Le texte est descriptif : il propose un portrait moral de Mme Mauperin. Ce personnage se caractérise par « un prodigieux orgueil bourgeois ». Le texte évoque ses paroles blessantes : « rabaisser ainsi, avec des expressions d’un mépris et d’un dégoût superbes ». Le discours descriptif a une intention critique, il vise à dénoncer l’orgueil et le mépris. Le texte offre aux lecteurs une

républicains comme les Strozzi ou bien à la solde du duc comme Salviati, appartiennent aux grandes familles florentines. On les voit dans la scène 2 de l’acte I participer ensemble au bal donné pour un mariage chez les Nasi. Le peuple est composé de bourgeois, de marchands qui pensent surtout à leurs affaires, d’étudiants qui se révoltent contre le pouvoir. Enfin les bannis forment un groupe à part. On les voit quitter Florence, chassés par le duc. Ils parlent d’une même voix à la dernière réplique de

républicains comme les Strozzi ou bien à la solde du duc comme Salviati, appartiennent aux grandes familles florentines. On les voit dans la scène 2 de l’acte I participer ensemble au bal donné pour un mariage chez les Nasi. Le peuple est composé de bourgeois, de marchands qui pensent surtout à leurs affaires, d’étudiants qui se révoltent contre le pouvoir. Enfin les bannis forment un groupe à part. On les voit quitter Florence, chassés par le duc. Ils parlent d’une même voix à la dernière réplique

vengeance ; Et tout honteux d'avoir tant balancé, Ne soyons plus en peine, Puisqu'aujourd'hui mon père est l'offensé, 350 Si l'offenseur est père de Chimène. Personnages |Monsieur Orgon |Vieux gentilhomme | |Mario |Fils d’Orgon | |Silvia |Fille d’Orgon | |Dorante |Amant de Silvia

coups de théâtre) à un rythme très rapide qui alimente le spectacle pour la plus Présentation 7 grande joie du public. Les pièces se terminent bien car le dénouement lève tous les malentendus. Elles mettent souvent en scène un homme marié, bourgeois infidèle ou malchanceux, pris dans une situation difficile dont il a du mal à se sortir. À partir de 1860, Eugène Labiche est l’un des principaux dramaturges à donner une structure plus complexe aux intrigues du vaudeville, qui jusque-là étaient

parterre à ciel ouvert (les spectateurs étaient debout) sur lequel se projetait le plateau scénique adossé au mur du fond et qui comportait deux ou trois étages. Il n’y avait pas de rideau de scène, ni de décors, mais seulement des accessoires. Les costumes étaient soigneux et parfois somptueux pour certains acteurs. Les représentations avaient lieu avant la tombée de la nuit. • Dans les théâtres couverts les représentations se donnaient le soir en toute saison. On jouait à la lumière des torches

porte-parole mecanique des stereotypes ambiants. La betise de Charles reside dans son conformisme et son ecoeurante banalite : << La conversation de Charles etait plate comme un trottoir de rue, et les idees de tout le monde y defilaient dans leur costume ordinaire sans exciter d'emotion, de rire ou de reverie >> (41). Charles prononce a la fin <<un grand mot, le seul qu'il ait jamais dit :--C'est la faute de la fatalite!>> (242). Or meme cette formule ne lui appartient pas ; il l'a

de Chimène, mais ne peut se défendre de penser que la victoire de Rodrigue le séparerait de celle qu’il aime et le rendrait digne d’une fille de roi . Le roi don Fernand donne l’ordre d’arrêter le Comte, malgré l’intervention de don Sanche, un gentilhomme de la Cour, amoureux de Chimène. Il annonce que les Maures menacent la ville . La rencontre a lieu : on vient d’apprendre au Roi que Rodrigue a tué le Comte quand vient Chimène pour demander justice, tandis que don Diègue défend son fils et réclame

croissant, en étoile ou en comète. ». Texte édité par des professeurs de l’Académie de Rouen http://lettres.ac-rouen.fr/verlaine/index.htm Paul Verlaine, Fêtes galantes À LA PROMENADE Le ciel si pâle et les arbres si grêles Semblent sourire à nos costumes clairs Qui vont flottant légers, avec des airs De nonchalance et des mouvements d'ailes. Et le vent doux ride l'humble bassin, Et la lueur du soleil qu'atténue L'ombre des bas tilleuls de l'avenue Nous parvient bleue et mourante à dessein. Trompeurs

Est-ce leur caractère historique, est-ce plutôt le fait que chacune est unique qui lui donne un caractère si particulier que la pose de la femme qui les porte en vous attendant, en causant avec vous, prend une importance exceptionnelle, comme si ce costume avait été le fruit d’une longue délibération et comme si cette conversation se détachait de la vie courante comme une scène de roman?» (III, page 33) - « cette robe de chambre qui sent si mauvais [...] et qui est sombre, duveteuse, tachetée, striée