Côte-des-Neiges

dévale les pentes à une vitesse de 50 km/h et dévastent tout sur leur passage. Les lahars ont d’autres origines : la liquéfaction, de sols gorgés d’eau, par les vibrations sismiques ; la vidange ou le débordement d’un lac de cratère ; la fonte des neiges ou des glaces sur un volcan en crise ; éruption sous un glacier.
Lors d’une éruption ou au repos les volcans rejettent d’importantes quantités de gaz, tel l’anhydre sulfurique. Brassé par le vent ce gaz tombe en pluies acides qui brûlent les cultures

risques par une forte exposition aux aléas naturels. Bien que très meurtrières, les sécheresses, qui frappent cette région du globe, restent peu fréquentes, et ne suffisent pas expliquer à elles seules ces valeurs de risque. Il faut donc chercher du côté de la vulnérabilité sociale, qui ici reste très forte pour expliquer cette situation. Cette partie de l’Afrique correspond aux pays les moins développés, avec des indices socio-démographiques, sanitaires, et économiques toujours très faibles.

sirènes invisibles et nous citerons Ungaretti pour illustrer cette idée " Semblable à cette mer inquiète et flatteuse/ Qui offre et cache au loin/ L'île fatale,/ Multipliant tes leurres,/ Tu mènes qui encore espère/ À la mort. " ( SIRÈNES)...En effet le côté bienfaisant de l'eau pourrait bien être un leurre pour Aurélien, il nage dans cette piscine comme pour rejoindre une solitude à jamais éprouvée, or cette solitude si complète ne pourrait-elle pas porter en elle la mort ? "il se sentait vraiment, totalement

être longtemps occupé b) Les crues des rivières torrentielles et des torrents. C'est un débit important d'eau douce, de courte durée, dans un courant d'eau, résultant d'un évènement météorologique comme de fortes pluies ou la fonte rapide des neiges. Lorsque des précipitations intenses tombent sur un versant, les eaux ruissellent et se concentrent rapidement dans le cours d’eau, d’où des crues brutales et violentes. c)-l'inondation par accumulation d'eau ruisselée: Cela peut se produire

description de Franklin « il était chauve comme la neige (…) tout maigre(…)ses épaulettes étaient des falaises scintillantes sur ses épaules », on constate donc l’épuisement du au voyage parcouru. Dans les 2 paragraphes suivants, séparé par 3 flocons de neiges, comme pour ne pas perdre le nord et nous rappeler que nous sommes au beau milieu du grand nord-américain, on a notre Mr Franklin dans le doute, ce valeureux voyageur qui se remet en question et qui hésite, qui se rend compte de son égoïsme et

bouffées, sentait la vase humide. Tout à coup devant moi se leva une digue. C'était un haut remblai de terre couronné de peupliers. Je le gravis et je découvris la rivière. Elle était large et coulait vers l'Ouest : gonflées par la fonte des neiges, ses eaux puissantes descendaient en entraînant des arbres. Elles étaient lourdes et grises et parfois sans raison de grands tourbillons s'y formaient, qui engloutissaient une épave, arrachée en amont. Quand elles rencontraient un obstacle à leur

intertropicale, ils combinent vents très violents et pluies diluviennes, et causent en moyenne 20 000 morts par an. On trouve également les inondations, liées à de fortes précipitations (régions méditerranéennes, Chine, Inde). Mais aussi à la fonte des neiges et des glaces qui grossit brutalement les torrents. Et pour finir, la sècheresse, qui résulte d’un déficit de précipitations sur plusieurs mois voire plusieurs années (Sahel entre 1965 et 1975). Cependant l’homme prend des risques avec la nature

penser est quasiment infinie.  « Vous pensez ce qu’il vous plaît, et vous le dites sans que personne vous persécute ».  Voltaire fournir ensuite un seul exemple équivalent en Europe ; celui du mont Krapack (les Carpathes, du côté de la Hongrie). La question qui peut se poser ici est celle de l’imaginaire de Voltaire. Son texte témoigne-t-il d’une situation réelle ou rêvée ? En gros Voltaire n’est-il pas quelque peu naïf ? Mais cette naïveté est peut-être ce qui nourrira

s'en vont, par défilé, les arbres Avec leur ombre immense et bleue Et régulière, à côté d'eux. Aucun souffle de vent, aucune haleine. Les grands voiles du froid Se déplient seuls, de plaine en plaine, Sur des marais d'argent ou des routes en croix. Les étoiles paraissent vivre. Comme l'acier, brille le givre, A travers l'air translucide et glacé. De clairs métaux pulvérisés A l'infini semblent neiger De la pâleur d'une lune de cuivre. Tout est scintillement dans l'immobilité. Et

Prudhomme 1839-1907 – XIXe siècle – Mouvement Littéraire : Parnasse Le cygne Sans bruit, sous le miroir des lacs profonds et calmes, Le cygne chasse l'onde avec ses larges palmes, Et glisse. Le duvet de ses flancs est pareil A des neiges d'avril qui croulent au soleil ; Mais, ferme et d'un blanc mat, vibrant sous le zéphire, Sa grande aile l'entraîne ainsi qu'un blanc navire. Il dresse son beau col au-dessus des roseaux, Le plonge, le promène allongé sur les eaux, Le courbe gracieux