Cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises

l’entreprise et des salariale. L’épargne salariale regroupe tous les moyens qu’on les salariés d’être associé financièrement aux résultats de leurs entreprises. Elle regroupe l’épargne salariale, l’intéressement et la participation. Ce dernier mode mis en place par le Général de Gaulle afin de concilier patronat et salariat sur un partage plus équitable de la valeur ajouté dégagée. Nous allons voir les différents modes de participation avant de nous intéresser aux objectifs économiques et sociaux au niveau

questions suivantes: 1. Précisez le sens de la valeur ajoutée et de son partage, puis à partir du document 1, expliquez comment il s'effectue. 2. Le partage de la valeur ajoutée évolue entre 1990 et 2005. Énoncez les hypothèses économiques qui peuvent expliquer ce constat. 3. Les documents 1 et 2 présentent pour 2005 le même total. Donnez la signification de ce nombre dans chacun des documents. 4. Expliquez la relation entre la valeur ajoutée et le PIB. 5. Précisez comment a été calculé

satisfaire ses besoins, faire des choix. Critère de coût : ensemble de sacrifie pour satisfaire ses besoins La rationalité économique : action d'individu qui va voir ses besoins pour un maximum de satisfaction. Agent économique : ménages, entreprises, État. Modèles : représentation partielles de la société. 2) La modélisation des choix du consommateur. L'Homme est rationnel et limité dans ses choix par ses contraintes temporels et budgétaires. Utilité : niveau de satisfaction induit

et contrôle de ces contributions indirectes st de la compétences de la Direction Générales des Douanes et des Droits Indirectes (DGDDI). =Constitue 50% des recettes de l'Etat! Section Préliminaire: Les caractéristiques de la Taxe sur les Valeur Ajoutées: 1- Un impôt réel: Cela signifie que la TVA est un impôt qui est identique pr ts les consommateurs. Il ne s'adapte pas à leur capacité contributive. 2- Un impôt indirect: La TVA est un impôt perçu par les professionnels sur les consommateurs

économiques action : valeur mobilière qui confère à son détenteur la propriété d'une partie du capital de la société et lui assure un revenu (le dividende) correspondant à une part du bénéfice de la société. administration : secteur institutionnel qui regroupe les unités de production de services non marchands financés par les prélèvements obligatoires. Administrations d'État, des collectivités locales et de la Sécurité sociale. autofinancement : Utilisation, par une entreprise, des ressources financières

une production. Cela le devient si quelqu'un d'autre le fait en étant rémunéré. 2) La production marchande Production qui s'échange sur un marché pour un prix qui couvre au moins les coûts de production. Elle est assurée principalement par les entreprises. 3) La production non marchande * Définition Elle ne se compose que de services. Elle est fournie par les administrations (publiques ou privées) à titre gratuit ou quasi gratuit. Dans les faits, la quasi-totalité de la production non-marchande

concurrence. Quelles sont les différentes conceptions de la valeur ? La valeur travail : la valeur dépend du temps de taf utilise directement dans sa production et du temps de travail en amont, qui a été nécessaire a la fabrication des équipements nécessaires a cette production. C’est la valeur d’échange des biens, puisqu’elle permet de déterminer les prix des biens et d’exprimer le pouvoir d’achet d’autres biens. Selon cette conception, la valeur d’un bien est donc liée aux conditions techniques de production

faire du pain), (la recherche d’1 utilisation efficiente des ressources = rechercher le maximum de satisfaction (= produire en tenant compte des moyens dont on dispose), (Optimisation des moyens, (l’émergence de prix permettant de mesurer les valeurs relatives. LES PRIX RELATIFS 1) Le marché, principes et fonctionnement. A Processus Le marché = lieu où vendeurs et acheteurs échangent des biens et de services, du travail, des services, des produits finis, des monnaies, = lieu où se

Fonds associatifs 35 1.2.2.4.3 Les dons manuels 36 1.2.2.4.4 Les legs et donations 36 1.2.2.4.5 Les subventions de fonctionnement 37 1.2.2.4.6 Les contributions volontaires en nature 37 1.2.2.4.7 Les cotisations 38 1.2.2.4.8 Les ressources en nature 38 1.2.2.4.9 Le commodat 38 1.2.3 La comptabilité des petites associations 38 1.3 La fiscalité des associations 39 1.3.1 Les critères de non lucrativité 39 1.3.1.1 Une

richesses matérielles est nécessaire à la satisfaction des besoins humains. Dans nos sociétés, l'essentiel de la création de richesses provient des entreprises, caractérisées par leur très grande diversité. Mais d'autres organisations sont aussi productrices de richesses comme les administrations publiques et les associations qui, contrairement aux entreprises, n'obéissent pas à la motivation de la recherche du profit. 1. Quels biens permettent de satisfaire les besoins humains ? • Les économistes distinguent