Couche-culotte

Les membres en sont des Sans-Culottes, mais le club est plutôt dirigé par une bourgeoisie aisée. Le Club devient franchement républicain après le 17 juillet 91 sous l’influence d’orateurs comme Danton, Marat, Desmoulins, ou Santerre. Le club est un des hauts lieux de l’agitation révolutionnaire et ses dirigeants contrôlent de fait les sections de Paris et en partie la Commune de Paris à partir du 10 aout 92. Après la mort de Marat (juillet 93), Hébert et les Sans-Culottes les plus radicaux dominent

jouent sur les sonorités des mots et donnent aux trois mois de chaque saison une même rime suivant le tems et la végétation qu’ils évoquent. La sans-culotte La culotte sert a désigner les hommes du peuple qui portent le « pantalon » alors que les aristocrates et les bourgeois portante la « culotte ». Très vite, les aristocrates appellent « sans-culottes » tous les partisans de la Révolution, y compris les bourgeios et les députés des différentes assemblées. La Révolution Française ➢

France est battue, le roi refuse d’organiser la défense de Paris. Le chef de l’armée prussienne dit aux français qu’en cas d’outrage, il raserait Paris. Donc révolte le 10 aout 1792 des parisiens = prise des Tuileries conduits par les Sans culotte, arrestation du roi. Fin momentanée de la monarchie. C) La 1ère expérience républicaine pendant la guerre ne stabilise pas la situation : 1792 à 1799 : République se termine par coup d’Etat de Bonaparte. En 3 étapes : * République girondine

Costumes de l’époque de Molière. Le costume masculin : Les principales variantes jouent sur la longueur des chausses, c’est-à-dire de la culotte (le pantalon, couvrant toute la jambe, est méprisé par les gens riches qui l’abandonnent aux gens du peuple, qualifiés plus tard de “ sans-culottes ” au moment de la Révolution de 1789). Les jambes des gens “ de qualité ” sont couvertes de bas, montant plus ou moins haut selon la longueur des chausses. Sous Louis XIII, les chausses descendent sous les

Cette idée n'est donc pas l'apanage de la Terreur mais elle reste malgré tout une idée phare. Les principes de liberté et d'égalité au contraire deviennent les mots d'ordre de la Terreur. Que ce soit parmi les girondins, les montagnards, les sans-culottes, ces principes quoique pervertis reviennent de manière récurrente. De fait, chez les girondins, la liberté est le « sésame », le but suprême au point que Robespierre s'en prendra dans ses Lettres à ses commettants à ces faux patriotes « qui ne

Les Sans-culottes sont des révolutionnaires issus du peuple parisien. Ce mouvement révolutionnaire n'est pas forcément composé bourgeois, au contraire. C’est un groupe hétéroclite, composé d’élites, de grandes personnalités(comme Marat), d’artisans, de salariés, tout les niveaux sociaux sont représentés. Malgré le fait qu’à l’époque les préjugés sont tels que les femmes constituent le « sexe faible », elles participent au section, prennent souvent la tête des manifestations, elles réclament

républicains Républicains : Partisans d'un système sans roi. Girondins : Groupe de douze députés républicains, plus modérés que les Montagnards. sont environs 160 (commerce, armateurs, négociants). Ils sont légalistes et condamnent les sans-culottes et la violence. Ils promeuvent avant tout la liberté. Ils sont assez hostiles à la centralisation parisienne et rêvent d’une république à l’américaine où chaque département a la même importance : Ducos, Brissot, Condorcet. Côté droite de l’Assemblée

remèdes à la disette. Des bagarres opposent jeunesse dorée et sans-culottes. Après une pose de quelques jours, le mouvement reprend entre le 27 et le 29 mars. Dans les faubourgs et dans les quartiers populaires on réclame du pain, la convention démocratique, la libération des patriotes et la réouverture des sociétés populaires. Le 1 avril au matin, les femmes provoquent des attroupements dans les boutiques et incitent les sans-culottes à se rassembler à Notre- Dame, bientôt rejointes par un flot de

chute des Girondins, sous la domination des Montagnards, la Terreur vise à assurer la défense de la nation contre les ennemis de l'extérieur (première coalition) et intérieurs (insurrections fédéralistes et royalistes). Sous la pression des sans-culottes, les Montagnards engagent une nouvelle politique. Pour accélérer les décisions, la Convention nomme un Comité de Salut Public qui a l’essentiel du pouvoir. La Convention, se contente d’approuver les décisions du Comité. Pour que les décisions soient

dans toute la France après la chute du trône pour devenir un hymne des sans-culottes. Lors de ces épisodes révolutionnaires qui secouèrent le XIXe siècle français, elle réapparaît en s’ornant de nouveaux couplets. Vocabulaire : Carmagnole = veste portée par les sans culottes pendant la Révolution en 1789, puis chant et danse. Sans-culottes = nom des révolutionnaires, par opposition aux nobles qui portaient la culotte, ils portent un pantalon. Madam Véto, Antoinette = Marie-Antoinette Monsieur