Coucher Du Soleil Nerval

(1621-1695) s’inspire, comme les autres classiques, dans ses fables, des Anciens mais aussi du folklore français et étranger. Il imite ses maîtres avec une grande liberté. Tout comme les personnages de Molière, ses personnages représentent toutes les couches sociales. En moraliste La Fontaine dépeint toute la société française de la seconde moitié du siècle. La recherche du bonheur, l’homme et le pouvoir sont les deux thèmes chers à La Fontaine qu’on retrouve dans ses «Fables» (1668-1696). La fable qui

la cloche fêlée », « Harmonie du soir » « la servante au grand cœur » Charles Baudelaire - « Il pleure dans mon cœur » Paul Verlaine - « enfance » Arthur Rimbaud - « complainte amoureuse » Alphonse Allais - « les passantes » Antoine Pol - « Soleil couchant » José Maria de Heredia - « Les pas » Paul Valéry POESIE DIONYSIAQUE, POESIE REVOLTEE,POLITIQUE ET SOCIALE - « Le nuage ou l’ivrogne » Pierre de Ronsard - « Adieu, Paris.. . » Fançois Maynard - « épitre à monsieur sarrasin » Paul Scarron

envahissant. Certains voyageurs manifestent leur mauvaise humeur. C’est le cas du comte de Forbin, ancien colonel de la grande armée et directeur des musées qui renonce à visiter certains monuments en Egypte pour ne pas rencontrer d’Anglais. Gérard de Nerval préfère, lui, partager le sommet de la grande pyramide avec un prussien que de se trouver en bas avec des Anglais. La comtesse de Gasparin relate quelques unes des histoires qu’on raconte en Grèce sur la sottise excentrique des Anglais. Elle les appelle

jeunesse .................................................................... 84 BICENTENAIRE NERVAL ............................................................. 96 Marina MUREŞANU IONESCU (Roumanie) Théâtralité et discours. Eminescu et Nerval.................................... 98 Hisashi MIZUNO (Japon) La réforme de la poésie moderne ou les scènes musicales dans « Sylvie » de Gérard de Nerval..................................................... 110 5 II. LINGUISTIQUE ............

définition de la littérature fantastique dans laquelle, comme le remarque Jean Bellemin-Noël dans son Histoire littéraire de France, « le réel et l'imaginaire doivent se rencontrer, voire se contaminer » (1973). Le fantastique est, selon les mots de Nerval, « l'épanchement du songe dans la vie réelle » (1953, 10), puisqu’il ne suffit pas qu'il y ait du surnaturel dans un récit pour que celui-ci puisse être qualifié de fantastique. Il faut que le lecteur ou le spectateur doute toujours de la réalité

» v. 17) qui disent un autre reproche : celui de l’aveuglement du poète lyrique sur l’insignifiance de sa personne en regard de l’immensité de l’humanité agissante et souffrante, du « monde » (v. 18) évoqué dans la majestueuse métaphore du « grand soleil » au vers 17. n 4. Un autre programme poétique (questions 5 et 6) Le connecteur temporel de l’attaque du vers 19 (« Puis », qui s’oppose à « Jeune » à l’attaque du vers 13), désigne clairement le moment du basculement d’une inspiration « étroite

Oublie l’équilibre équitable Pour que les uns soient libres Faut que les autres soient stables ! Quel « enfoiré » sait ce qui est bon ou mauvais… Je navigue entre les bords avec des rames de poète On court pour faire sa place assise Pour finir couché entre six chaises vides Malgré tout on s’accroche à la banquise Parce que l’iceberg cache une pyramide De quel côté des barreaux sommes-nous les plus libres ? J’ai beau tendre les bras, je ne trouve pas l’équilibre [Refrain : 20syl & Oxmo Puccino]

Hippolyte : « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. » Elles résument pour nous une intrigue : « Rodrigue, as-tu du cœur ? » Elles contribuent par leur beauté mystérieuse à fonder notre sensibilité comme ce « Soleil noir de la Mélan- © Groupe Eyrolles 7 colie » qui affecte et illumine Nerval. Elles sont, avouons-le, parfois tout ce qui nous reste d’un auteur ou d’une œuvre, mais n’est-ce pas dire alors qu’elles font partie de nous ? D’autres, de manière plus insidieuse, se sont à ce point fondues

d’accents prédéterminés ; il ne conserve du vers que le principe de segmentation qui l’isole typographiquement. Ainsi dans ce poème de Paul Eluard : Un visage à la fin du jour Un berceau dans les feuilles mortes du jour Un bouquet de pluie nue Tout soleil caché […]. - Ici pas de longueur uniforme, pas de système commun d’accentuation. Des éléments de structuration apparaissent bien (anaphore en début de vers ; rime créée par la répétition de « jour »), mais ils ne procèdent d’aucune règle préalable

 Nous sommes dans le cadre  d'un récit (pronoms ils ) et  des haillons d'une pause descriptive. Nous  D'argent; où le soleil de la  reconnaissons un sonnet  montagne fière, (4/4/3/3) Luit; C'est un petit val qui  Le mètre est l'alexandrin. Le  mousse de rayons. registre est lyrique,  bucolique .Isotopie des prés  (herbe) de la beauté, de la  couleur, (bcp de renvois à la  lumière:argent, soleil, lui,  rayons) .Le mot « val »  anaphorise le thème est ses  reprises, synthétise la première  strophe, une vallée lumineuse;