Couleur du ciel

que la jalousie et l’angoisse. Il est l’un des pionniers de l’expressionniste. Il décède en 1944. A propos de son °œuvre « le cri », Edvard Munch écrit : « Je me promenais sur un sentier avec deux amis — le soleil se couchait. Tout d'un coup le ciel devint rouge sang. Je m'arrêtais, fatigué, et m'appuyais sur une clôture. Il y avait du sang et des langues de feu au-dessus du fjord bleu-noir et de la ville. Mes amis continuèrent, et j'y restais, tremblant d'anxiété. Je sentais un cri infini qui

peinture, cette notion est donnée par la présence de parallèles qui semble se recouper au dernier plan ( « l'horizon »). De plus, la couleur est très utilisée pour décrire le paysage « on en voyait d'autres, jaunes, rouges, verts » et les « phares électriques », les « feux des bâtiments » les « étoiles » et la « Lune » sont des éléments de lumière supplémentaires. La couleur et la lumière sont indispensables dans toute représentation picturale. Enfin, les dimensions de la scène font qu'elle pourrait très

mettent en valeur ses yeux desquels sortent des larmes qui inondent son visage. L’arrière-plan est composé d’un champ et du ciel. 2.2. Analyse formelle Le tableau est composé de deux plans : au premier plan, Frida, et au second le champ et le ciel. Le personnage est au centre, il prend presque toute la place. La ligne d’horizon impose la démarcation entre le ciel et le champ . Perpendiculairement, il y a également des lignes verticales avec la colonne, les deux lanières du corset sur les

et prend de plus en plus conscience de sa valeur) 2. Lamentation sur le Christ mort, Giotto Di Bondone a. Description Le Christ descendu de sa croix est entouré de ses proches. Paysages arides et rocheux. Ciel bleu et parsemé d’anges b. Analyse esthétique * Le ciel n’est plus doré mais bleu. Le caractère sacré se voit maintenant dans les auréoles. * Les personnages sont plus sculpturaux qu’au Moyen-âge, ils ont plus de poids. * L’expression est plus individualisée c. Interprétation

toile. Dans l’ensemble de la scène, une abondante pluie tombe d’un ciel gris occupant une très petite partie du tableau, soit moins du quart. Des éclairs blancs foudroient ce ciel et il est possible de les distinguer au-travers la végétation qui occupe la quasi-totalité de la toile. Les couleurs utilisées dans la toile sont majoritairement dans les tons de vert et à quelques endroits on retrouve, pour certains feuillages, la couleur rouge. Ensuite, des lignes diagonales descendantes sont créées dans

National Galerie, à Berlin. Il représente un paysage maritime au crépuscule. La construction est horizontale, composée de trois plans horizontaux, la terre, la mer et le ciel, qui s'unissent dans un dégradé de couleurs et de lumière. Ce dégradé va du plus sombre au plus clair, des couleurs chaudes aux couleurs froides. Le ciel est l'élément majeur du tableau, occupant les deux tiers de l'espace. Le seul relief du tableau est marqué par les rochers sombres aux formes arrondies du premier plan. L'aspect

1889. Il se trouve au Fine Arts Museum, San Francisco (ETATS-UNIS). Cet artiste appartient au mouvement du pointillisme. Qui consiste à peindre par juxtaposition de petites touches de peinture de couleurs primaires (rouge, bleu et jaune) et de couleurs complémentaires (orange, violet, vert). Ces couleurs avec l’éloignement, donnent une impression de scintillement. []Cette technique est née en France notamment sous l'impulsion de Georges Seurat (1859-1891) puis de Paul Signac (1863 - 1935), à la fin

impression assez gaye et elle semble être simple à analyser : c'est une peinture très lumineuse, la palette de couleurs utilisées est très limitée et à première vue peu de détails semblent être présents. Nous allons analyser l'oeuvre de droite à gauche, pour les personnages et le batiment. Puis de haut en bas pour le ciel et le sol. A l'extrême droite de la peinture, nous voyons un ciel bleu qui s'assombrie avec un mouvement vers la gauche. Il y a aussi une tour, qui semble être une ruine, celle

il y a un ciel bleu parsemé de nuages, et en dessous une mer azur et calme. La perspective du tableau semble aller vers l’infini. Cependant, l’aspect presque trop réaliste du paysage à l’arrière-plan contraste avec les éléments "surréalistes" du premier plan. C) Interprétation de l’œuvre Dans l’ensemble, le tableau dégage une certaine quiétude, seulement la trace de sang vient déranger cette paix avec un rouge vif qui tranche avec la pâleur du visage et contraste avec la couleur verte de la

soldat SS à tête de mort dont la mitraillette pointe vers le groupe et dans plusieurs arrière-plans on voit les camps de travail, les fours crématoires dont la fumée forme le symbole SS et des hommes alignés contre les barbelés. Sur la scène plane un ciel rouge-gris avec des nuages allongés. Les inaptes au travail sont ceux qui, après être passés par la visite médicale à l’arrivée des camps, après un voyage épuisant de plusieurs jours sans eau ni nourriture, sont triés et conduits vers les fours crématoires