Couleur liturgique

de légers picotements à fleur de peau. Il aurait cru trembler davantage. Il resta immobile, pendant cinq grandes minutes, perdu dans une contemplation inconsciente, gravant malgré lui au fond de sa mémoire toutes les lignes horribles, toutes les couleurs sales du tableau qu’il avait sous les yeux. Camille était ignoble. Il avait séjourné quinze jours dans l’eau. Sa face paraissait encore ferme et rigide ; les traits s’étaient conservés, la peau avait seulement pris une teinte jaunâtre et boueuse

nombres d’attentats affiché en dessous de leur photo. Les résistants n’ont pas d’expression du visage, sont mal coiffé, sale, pas rasé et fatigué ; Les allemands veulent les montrés comme des personnes méchantes, et les criminalisé au maximum. • Les couleurs utilisés sont plutôt sombres (le rouge et le noir) • En milieu de l’affiche non pouvons voir des photos

doit être nette, sans pliure, ni trace. Pour les prises de vues en studio généralement nous utilisions le K20 de Pentax. 3 - Luminosité / contraste / couleurs La photo doit présenter ni sur-exposition, ni sous-exposition. Elle doit être correctement contrastée, sans ombre portée sur le visage ou en arrière-plan.La photo est faite en couleur bien évidement . 4 – Fond Nous utilisions le fond blanc. 6 5 - La tête La tête doit être nue, les couvre-chefs sont interdits. 6 - Regard

| | | |- Adjectives: |- lucrarea fisei | | | | |les couleurs: rouge, jaune, vert, bleu, | | | | | |blanc, orange etc. | |

le bleu de la passivité de la sérénité qui recomposent le spectre lumineux du blanc( la couleur blanc n'existant pas). Le blanc qui réfléchit la lumière, le noir qui l'absorbe. Notion d'intérieur, d'extérieur, d'enveloppant, d'^enveloppé de paraître, d'être. Dépasser le paraître pour revenir vers l'être, non dans une aspiration naïve de pureté originelle mais dans l'idée que le kaléidoscope de nos couleurs multiples recréent le spectre de lumière. Dualité et complémentarité des deux colonnes

plus grands que l'échelle humaine: - accentuent la valeur documentaire - œuvre qui veut s’inscrire dans la mémoire collective - Absence volontaire de couleurs... - Pas une scène mais plusieurs scènes entremêlées, on rappelle que Picasso n'en a pas été témoin mais qu'il veut exprimer toute l'horreur qu'il a ressenti après ce drame... Couleurs : -noir/blanc/nuances de gris = contrastes de valeurs. Picasso accentue et joue avec les contrastes ce qui a pour effet de rendre la scène encore plus

supérieure droite dessine des lignes tordues plus conformes à un monde surnaturel, inquiétant, inhumain... A l'arrière-plan, le ciel occupe la moitié haute de la toile, avec des couleurs chaudes (rouge, jaune, orange) qui évoquent le coucher ou le lever du soleil ; des formes ondulantes qui ne sont pas naturelles. Ces couleurs marquent un contraste fort avec celles de la mer (en bleu) et de la terre (en vert) mais offrent des formes sinueuses équivalentes, évoquant celles du personnage au premier

et de la composition (cf. par exemple l' Apothéose d'Homère où la distribution des personnages est particulièrement bien équilibrée), les romantiques vont préférer soigner l'intensité des couleurs. C'est ainsi que Delacroix, notamment dans le Massacre de Scio, a scandalisé tout autant par la crudité des couleurs employées que par le sujet. À ce propos d'ailleurs, les romantiques n'hésitent plus à montrer des scènes violentes, propres à bousculer le public, quitte même à s'inspirer, comme dans le cas

plongeant ainsi dans une réflexion quant à la signification des choses. Au moyen de métaphores entre de choses élémentaires telles que les couleurs et la lumière, la poétesse parvient à s’exprimer sur des sujets bien plus sérieux tels que la vie, la mort et le rêve. Prenons pour exemple le poème suivant, dans lequel lequel l’utilisation de la couleur, quelle qu’elle soit, donc la peinture est un symbole de vie: « tu traces une seule ligne le cap limpide que tu suis » Ce poème

mais plus généralement la guerre en un monstre qui fait de la guerre une boucherie, qui tue des bataillons et blesse des milliers d’hommes sans réels raison. En revanche, l’atrocité de la mort s’oppose à la nature notamment par l’opposition des couleurs. L’opposition entre les rimes bleu et feu, rouges et vert (v1, 2, 3, 4) fait ressortir le côté destructeur de la guerre et celui paisible de la nature. On remarque la personnification de la nature, à la créatrice des Hommes. Rimbaud au vers huit