Coup de tête

Proposais-je à voix basse. - Sert moi un verre ! " Un verre" , ces mots retentissaient dans ma tête tel un coup de poignard. Je détestait qu'il boive, il me faisait toujours peur dans ces moments là. - Es-tu sur que ce soit une bonne idée ? Demandais-je avant de me rendre compte de ce que je venais de dire. - Quoi ? Lança t-il en se levant pour venir vers moi. Je l'avais bien chercher , m'étais-je alors dis sur le coup. Pourquoi avais-je donc parler ? N'aurais-je pas pu la fermer et lui servir ce qu'il

blonde. (41). Frédéric pensait à la chambre qu’il occuperait là-bas, au plan d’un drame, à des sujets de tableaux, à des passions futures. (5). Et il se mit à faire des préparatifs intérieurs ; il arrangea d’avance ses occupations. Il se meubla dans sa tête un appartement. (166). Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l’ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait à plis nombreux

geste que l'on cherche à bien réaliser en fonction de : * La position du corps. * La jambe d'appui. * La position des bras. * La prise d'information.Pour la bonne réalisation d'un geste, on décompose les surfaces de contact à utiliser : * Tête. * Poitrine, cuisse, * La position des bras, | Comment enseigner la technique :La technique, c'est l'art d'utiliser le ballon, au service de l'équipe. L'éducateur prépare sa séance (contenu, matériel et mise en place). Dès que la prise en mains

sous-officier, il cambra sa taille, frisa sa moustache d'un geste militaire et familier, et jeta sur les dîneurs attardés un regard rapide et circulaire, un de ces regards de joli garçon, qui s'étendent comme des coups d'épervier. Les femmes avaient levé la tête vers lui, trois petites ouvrières, une maîtresse de musique entre deux âges, mal peignée, négligée, coiffée d'un chapeau toujours poussiéreux et vêtue toujours d'une robe de travers, et deux bourgeoises avec leurs maris, habituées de cette gargote

décocha un coup de pied dans les tibias qui m’envoya rouler sous la table. Le commandant a un coup de pied plus brûlant que celui du regretté père Gilbert » (Oyono, 1956 : 37). Dans la scène précédente, Toundi fait la comparaison entre la violence de son ancien et de son nouveau maître. Il fait cette comparaison pour démontrer cette manie systématique des Blancs de recourir à la violence à l'égard des Noirs. « Pas sur la tête...ils ont la tête dure...sur les reins...Ndjangoula donna un coup de crosse

garde. Elle décroise ses jambes, les recroise, attend que le docteur finisse sa conversation téléphonique. Il raccroche. LE DOCTEUR Alors, à nous maintenant. MAELLE Docteur, ça va faire 8 ans que vous me dites cette phrase. Il rit et baisse la tête soudainement. La relève et regarde Maelle tristement. MAELLE Quoi ? J’ai dit quelque chose de mal ? LE DOCTEUR Non, Maelle, excuse-moi, je devrais être habitué pourtant. MAELLE Habitué ? A quoi ? LE DOCTEUR A annoncer de mauvaises nouvelles

Lorsque son réveil sonna, Alex donna un coup de poingf dessus. La jeune fille n'était pas du matin et se coucher à 3:3 du matin n'était définitivement pas une bonne idée. Alex se leva malgré elle, bien obligée à partir pour le lycée. Étant donné qu'elle n'habitait pas loin, elle y alla à pieds. Une fois devant l'énorme bâtiment, Alex soupira. Toujours la même chose. Les élèves, les cours. Rien de tout ça ne donnait envie à Alex de se lever tous les matins. La tête baissée, elle s'avança en direction

après, on l’enfourna. Ce qui se passa ensuite fut horrible : le condamné pouvait bouger la tête. Et quand on voulut lâcher la lame, celle-ci ne tomba pas. Ce pauvre homme tourna la tête de façon instinctive et à ce moment-là, la lame tomba. Le destin s’acharnait contre lui. En effet, il était en train de voir son heure arriver mais le problème, c’est qu’il avait tourné la tête. On ne sut jamais pourquoi mais le coup échoua. Quel pauvre homme ! Il criait de toutes ses forces, il hurlait tant que la foule

par s'impatienter et par dire : « Allons, voyons, sois raisonnable ; mange, et laisse-moi manger. » Il poussait un soupir et cassait une bouchée de pain, qu'il mâchait ensuite avec lenteur. Pendant cinq ans, ils n'eurent pas d'enfants. Puis tout à coup elle devint enceinte. Ce fut un bonheur délirant. Il ne la quitta point de tout le temps de sa grossesse ; si bien que sa bonne, une vieille bonne qui l'avait élevé et qui parlait haut dans la maison, le mettait parfois dehors et fermait la porte pour

  Je  sortais  de  la  bambara,  notre  petite  maison  faite de chaume, et déjà la chaleur me donnais  un coup en plein visage.    ­Aller  Awa!  Le  mil  ne  va  pas  se  récolter  tout  seul  !  Vite,  sinon  tes  frères  et  toi  n'aurez  rien  à  manger!    Je  ​ hochai  ​ doucement la tête face à l'ordre de  mon père et commençai ​ à récolter le millet. Une  céréale  délicieuse,  quoique  peu  goutteuse,  que maman transformait  en  bouilli.  Je  coupa  les  tiges  à  la  base  et  je  les regroupa