Coupe-ongles

s’agisse de simples incivilités à l’encontre des arbitres ou des joueurs adverses ou encore de violences verbales, morales ou physiques, le sport regorge d’exemples d’actes violents. Ainsi nous souvenons nous du 9 juillet 2006, lors de la finale de la coupe du monde de football opposant la France à l'Italie, Zinedine Zidan s'était illustré en assénant un coup de tête au thorax d'un joueur de l'équipe adverse, Marco Materazzi qui l'avait insulté. Mais c’est surtout au terme de « hooliganisme » que la

local ou global, comme un facteur de développement ? A l’image des Jeux Olympiques de Pékin, la Coupe du monde de football place l’Afrique du Sud au centre de l’attention mondiale en juin 2010. En attribuant la Coupe du monde au continent africain, la FIFA cherche à promouvoir le football en Afrique mais également à favoriser le développement dans d’autres domaines (éducation, santé). La Coupe du monde permet de développer les transports publics, les routes, les stades et l’offre hôtelière

grâce à la liberté de mouvement qui s’est vue non plus limitée mais autorisée. Un autre tournant décisif s’est prononcé à partir du moment ou la FIFA (Fédération internationale de football association) a donné l’organisation à l’ Afrique du Sud de la coupe du monde de foot 2010, et lorsque le pays s’est vue accueillir la convention des Nations-Unis sur le réchauffement climatique, le monde entier a regardé cette nation avec un nouveau regard(soutien bancaire, soutien BTP, média,...). Cette réussite tant

une dimension festive. (En effet, l'ambiance qui prime dans les manifestations qui se déroulent autour d'événements sportifs \\ est conüviale et festive)Qu'it s'agisse des manifestations de joie provoquées parlavictoire de la France lors de la coupe du monde de football en 1998 rappelée par Anne Rapin dans son article intitulé « La France championne du monde de football » publié dans le numéro 33 du magazine d'information Label France en i998, et visibles sur la photographie de M. Urban parue

permettent à l’équipe de France de terminer à la troisième place de la Coupe du monde 1958 disputée en Suède. Une grande première qui permet enfin d’identifier un "style français" inspiré du Stade de Reims. Le relais est ensuite assuré par Michel Platini le petit-fils d’immigré piémontais. De 1976 à 1986, les bleus de Platini imposent le football français sur la scène internationale en atteignant les demi-finales de la Coupe du monde (1982-1986) et en remportant l’Euro 1984. On peut lire dans la

les crampons amovibles sont testés lors de la Coupe du Monde de football par les stars chez Adidas. À cette date, les souliers montaient toujours jusqu’aux chevilles, mais ils étaient faits d’une mixture de matériaux synthétiques et de cuir produisant une chaussure encore plus légère pour les joueurs. Souliers de soccer- Les années 1970 Les années 70 ont commencé avec les finales de la Coupe du Monde qui a vu l’équipe brésilienne soulevée la coupe avec Pelé dans leurs rangs portant des souliers

Williams Ellis, un étudiant de l'université de Rugby, se mit à courir une balle sous le bras, ce n'est qu'en 1871 que la "Rugby Union" est instituée et que les règles des deux sports sont définitivement délimitées. A cette date est créée la fameuse Coupe d'Angleterre: la "Challenge Cup". Malgré cette nouvelle étape franchie, ce n'est qu'en 1886 que le professionnalisme est reconnu. Le football trouve son style et sa diffusion massive outre- Manche. C'est au Havre que le football fera ses premiers

performance et de management, tel qu'on le connait habituellement au sein des entreprises. Ainsi, cette évolution semble s'accompagner d'effets inattendus et indésirables tels que la starification ou la sur-médiatisation qu'on a pu voir lors de la dernière coupe du monde de Football et qui rappelle les abus de certains grands patrons. Il paraît donc tout à fait pertinent de lier management du sport et management en entreprise. Existe-t-il un management univoque propre au sport, ne faut-il pas considérer

vois un véritable délire s’emparer des foules à l’occasion d’une victoire en Coupe du monde. Fanions, peintures fluorescentes, sifflets, bâtons tambour, cornes, trompettes, banderoles, équipé de ses accessoires, le supporter ivre de joie et de bière se livre à une bacchanale digne des cortèges antiques qui célébraient le dieu Dionysos. Métro, plateaux télé, bureaux, cafés, on ne parle plus que de cela : la victoire, la Coupe, le foot… ou le rugby. Nul doute, on se trouve face un véritable culte populaire

années plus tôt, on a pu voir, en 1934, l’affiche de la Coupe du Monde de football en Italie, avec un footballeur le bras tendu, pour promouvoir l’idéal fasciste. Les pays se servent du sport pour se battre mais celui-ci peut toutefois promouvoir des idées plus positives. En effet, tout un pays peut s’unir lors d’une victoire et les politiciens savent, là encore, en tirer partie. Comme en 1998, lorsque l’équipe France de football remporte la Coupe du Monde. Jacques Chirac à l’Elysée. Cela transmet une