Couplet

des combats et de leurs conditions de vie. Cette chanson connaît un grand succès dans les fronts puisqu'elle va se diffuser pendant plusieurs mois dans les fronts Analyse : Nous avons relevé des idées exprimées et les mots importants : Couplet 1 :(l.1 à 10) Les soldats viennent de finir leurs repos d'une semaine à l'arrière. Même avec cette semaine de repos les soldats sont fatigués et doivent repartir dans les tranchées. Mais ils savent que le mort les attends , l'auteur fait preuve

se battent dans le nord de la France. C'est une « guerre de position » symbolisée par les tranchées. Les soldats sont épuisés et traumatisés par la violence des affrontements et les conditions de vie dans les tranchées. II-Analyse de l’œuvre : Couplet 1 (l. 1 à 6) : Les soldats viennent de terminer leur repos d'une semaine (« huit jours »), à l'arrière. Malgré le repos, les hommes sont fatigués et repartent résignés au front dans les tranchées (« le cœur gros », « avec des sanglots », « en baissant

sociale contemporaine, tellement vraie et gênante qu'elle fut interdite d'antenne. La chanson raconte une année dans la vie des Français moyens. Elle se compose de quatre couplets, chaque couplet étant consacré à un trimestre dans la vie des Français (le premier couplet évoque les mois de janvier, février et mars, le deuxième couplet évoque les mois d'avril, mai et juin, etc.). Renaud passe en revue, mois après mois, les tares qu'il attribue au peuple français, sur un ton sarcastique, mais néanmoins

plus nerveux, plus rebondi. L'élocution est donc plus marquée, voir scandée. Le chant dépend de la danse. Les chanteurs utilisent la technique du « tuilage » : les dernières syllabes d'un couplet sont systématiquement chantées par tous les chanteurs, comme une sorte de « témoin » qu'ils se passent d'un couplet à l'autre, ce qui permet de ne jamais avoir de pause durant toute la durée du chant. Pour assurer la tenue du rythme, les chanteurs se tiennent parfois par la taille ou par l'épaule ; il est

française est ici à la fois riche et simple. Les rimes sont variés (plates, embrassés). La musique a un tempo assez lent, elle ne possède pas de refrain. La tension augmente avec l'ajout progressif d'instruments et le decrescendo sur les derniers couplets (avec la guitare seule). Dans le premier paragraphe, l'individu arrivé dans les camps n'est plus qu'un chiffre perdu dans une foule où chacun semble identique. Dans le deuxième, la fatalité opprimant les individus et la vision d'un temps

guerre mondiale Elle est apprise par cœur et se diffuse oralement de manière clandestine. Les paroles ont été recueillies par R. Lefèvre et Paul Vaillant -Couturier, sur l'air d'une valse à succès "Bonsoir m'amour" (1911- Charles Sablon). b) Analyse Couplet 1 (l. 1 à 6) :Les soldats viennent de terminer leur repos d'une semaine (« huit jours »), à l'arrière. Malgré le repos, les hommes sont fatigués et repartent résignés au front dans les tranchées (« le coeur gros », « avec des sanglots », « en baissant

cancer en 2010. Jean Ferrat etait un chanteur engagés : il a repris de nombreux poème d'Aragon et se revendique des ideaux communiste. III- Le texte : Nuit et Brouillard est versifiée en effet chaque vers est un alexandrin ( 12 syllabe ) chaque couplet est un jeu de 4 vers, le tout est divisée en 5 strophes. Les rimes sont principalement croisées (ABAB-5à8) ou suivies (AABB-1à4). Le poème est construit en forme de boucle, la dernier strophes reprend le début du poème. Les paroles sont engagées

REFRAIN Pour les gins du quartier Qui n’veul’nt point avoir d’raisons, Allez vous amuser Ch’est aveuc chés Contrariants ! Premier couplet On a formé eun’société Ichi, dins nou p’tit canton ; L’nom qu’on lui a donné : Société des Contrariants. Ch’étot eun’société d’cartes, Uch’qu’on trouvot d’l’amus’mint ; In y juot souvint à quate Intre Français et Flaminds. Deuxième couplet L’société n’est point frayeuse : On y va eun’fos par mos. L’cabar’tière elle est joyeuse Quand elle nous vot tous à l’fos. Ch’est

monde. Dans le 1er couplet, le chanteur nous parle des enfants de Bogota, capitale de la Colombie, au taux de criminalité extrême avec des enfants orphelins qui vivent dans la rue et sniffent de la colle et toutes sortes de drogues (ou plutôt produits dérivés de la drogue) pour tenir le coup dans leur vie misérable. Il s'attaque ensuite aux enfants soldats, qui, de tout temps, ont fait les frais dans les conflits, car généralement envoyés en première ligne. Dans le 2ème couplet, Renaud nous envoie

soliste chante le premier couplet plus lent que la première partie et nous entendons des questions-réponses entre les deux solistes. Puis le second couplet est lui de plus en plus rapide. Ensuite, après une pause musicale, le soliste chante de nouveau le deuxième couplet en insistant sur les paroles «I need you» qui sont très répétées. Dans la quatrième partie, le second soliste se remet à parler très rapidement et enfin le deuxième soliste rechante le premier couplet. Ainsi ce morceau joyeux