Cour De Cassation 13 Mars 2008

et, s'agissant des principes généraux du droit électoral, constituent des irrégularités justifiant à elles seules l'annulation des élections. Monsieur Maunet vous demande votre avis, que doit-il faire, aidez vous de l’annexe. ANNEXES : Cour de cassation, chambre sociale, Audience du 9 novembre 2011,N° : 10-28838 Sur le moyen unique : Vu les articles L. 2314-3-1, L. 2324-3-1 et L. 2314-23 du c. du travail ; Attendu que les modalités d'organisation du scrutin, fixées par un protocole préélectoral

oncle maternel au 4ème degré. Alphonse est son grand père maternel au 2ème degré. Florence est sa tante maternelle au 3ème degré. Jean et Louis sont ses cousins germains au 4ème degré. Léon est son neveu au 3ème degré. 2 Bis) Arrêt de la Cour de la Cassation Mme Z assigne ses 3 enfants à lui verser une pension alimentaire. Mais sa fille Véronique ne percevant aucun revenu et étant en concubinage ne veut pas lui verser cette pension. En concubinage, l’obligation alimentaire n’est pas tenue. Liens

n°95-43.134). Dans de nombreux cas, il s’agit d’une cessation de paiement (Cass soc 20 nov 1991 n° 89-45.576), de pertes financières, de difficultés de trésorerie ou d’un effondrement du chiffre d’affaires lié à la perte d’un marché. La Cour de Cassation a jugé que « la suppression du poste du salarié due à la perte de son unique client par l’employeur constitue un motif économique ». (Cass soc 19 juillet 2000 : RJS 2000, n° 1064). Ces difficultés doivent être graves et durables pour justifier

l’arrêt de la 3ème Chambre civile de la Cour de cassation, le 3 mai 2011 Les contrats préparatoires, parfois appelés avant-contrats, permettent de préparer la conclusion du contrat définitif en faisant naître des obligations à la charge d’une ou plusieurs parties. Ils naissent de la rencontre des volontés et se distinguent donc de l’offre de contracter à l’image de la promesse unilatérale, objet de l’arrêt de la 3ème Chambre civile de la Cour de cassation, le 3 mai 2011 En l’espèce, il s’agissait

de l'association. Le législateur a aussi reconnu la personnalité juridique à des groupements comme les sociétés ou comme des groupements économiques. Le législateur s'est abstenu de donner une définition de la personnalité morale. La cour de Cassation en 1954, a estimé que tout groupement pouvait se voir reconnaître la personnalité juridique dès lors qu'il poursuivait un but licite et que chacun des membres du groupement avait la possibilité d'exprimer sa volonté. C) L'extension possible

un contrat de location de cassettes avec la société DPM. Après un jugement de première instance appel a été interjeté devant la Cour d'Appel de Grenoble. Celle ci rend un arrêt le 17 mars 1994 et annule le contrat de location pour défaut de cause car la cause du contrat était la diffusion des cassettes or la création de ce vidéo club était voué à l'échec. La Cour d'Appel rappelle que dans un contrat synallagmatique la cause de l'obligation d'une partie réside dans l'obligation de l'autre partie

conduire à l'adoption de certaines règles qui vont rejaillir sur la relation de travail. -La première grande idée est celle de la liberté du travail, du commerce et de l'industrie. Cette règle de la liberté est posée par le Décret d’Allarde 2 et 17 mars 1791. Ce décret énonce qu'il sera libre à toute personne de faire telle négociation ou d'exercer telle profession artisanale ou métier qu'elle trouvera bon ». Ce décret instaure le règne de la liberté individuelle. La personne qui travaille choisit

guillotine et les bourreaux non financé. Loi Badinter du 9 octobre 1981 qui abolie la peine de mort. Les français y été attaché. L’idée ici c’est que l’Etat ne doit pas être un Etat vengeur mais un Etat justicier. CEDH Reynold contre France du 16 octobre 2008 ; un détenu est en maison d’arrêt et est suicidaire. Il fait une tentative de suicide à l’aide d’un opercule de boite de conserve. Le surveillant voit et entre dans la cellule. Le surveillant est blessé. Le détenu est renvoyé en commission de discipline

institutions, 35 - 68 § 1 - Régime des langues de la Commission, 35 - 37 § 2 - Régime des langues du Conseil, 38 - 40 § 3 - Régime des langues du Parlement européen, 41 - 47 § 4 - Régime des langues de la Cour de justice et du Tribunal de première instance, 48 - 52 § 5 - Régime des langues de la Cour des comptes, 53 § 6 - Régime des langues concernant l'Office européen des brevets de Munich, 54 - 63 § 7 - Régime des langues concernant l'OHMI, 64 - 66 § 8 - Régime linguistique des autres entités communautaires

force obligatoire, elles peuvent faire présumer "abusives" certaines clauses figurant dans les contrats. 2. La Cour de Cassation a reconnu aux Juges le pouvoir d'annuler, de leur propre autorité et sans avoir à s'appuyer sur un décret, les clauses abusives : Cass. Civ. I, 14/05/1991; D.1991, p.449, note J.Ghestin Dans un arrêt du 28 Mars 1991, (R.G.A.T. 1991, p.900) la Cour d'Appel de LYON a déclaré abusive, par application de l'article 35 de la loi du 10 Janvier 1978, la clause d'un contrat