Cour De Cassation 17 Février 2011

juge 1ère partie : LES JURIDICTIONS AU SERVICE DE LA JUSTICE - Évolution des sources du droit et évolution des juridictions - N.B. : Faute de temps suffisant, les juridictions internationales autres qu'européennes, telles que la Cour Internationale de Justice ou la Cour Pénale Internationale, ne pourront pas être étudiées au sein de ce cours Titre I : LES JURIDICTIONS EUROPÉENNES - La spécificité des juridictions européennes Chapitre 1 : LES JURIDICTIONS COMMUNAUTAIRES - Section I : Le droit communautaire

Sujet : Commentaire d’arrêt de la chambre Criminelle de la Cour de Cassation en date du 6 novembre 2012, pourvoi n° 11-86857. (Semestre 4 Séance 5) En principe, lorsqu’un individu commet un fait dommageable qui porte préjudice à autrui, sa responsabilité personnelle peut être engagée sur le fondement de l’article 1382 du Code civil. Cependant, il existe certains cas dans lesquels la charge de la responsabilité d’un individu peut-être reportée sur un tiers. La victime du dommage peut alors

quels textes se fonde-t-il pour poser cette interdiction. Selon les principes fondamentaux régissant tout contrat, un contrat ne peut porter que sur des choses pouvant être « dans le commerce » (Article 1128, créé par Loi 1804-02-07 promulguée le 17 février 1804 «Il n'y a que les choses qui sont dans le commerce qui puissent être l'objet des conventions »). Il existe donc des choses qui ne pourront jamais faire l’objet d’un contrat. Par exemple, dans le domaine de la santé, les drogues ou les médicaments

Méthodologie : Sur l’introduction il est indispensable, dans un arrêt de rejet, il faut présenter les prétentions de la personne/les moyens du pourvoi qui se pourvoit mais pas ceux de la cour d’appel puisque la solution de la Cour de cassation reprend quasiment ces mêmes arguments, ensuite le dispositif de la Cour (casse ou rejette). Sur 2H30 il faut 1h pour la réflexion (plan détaillé). Il faut retirer les passages de l’arrêt important. Il faut faire un va et vient entre la leçon de droit et l’arrêt

24 juin 2010, Schalk et kopf c/ Autriche, RTD. civ. 2010. 738, obs. Marguénaud et 765, obs. Hauser. Document 3 : CC, 28 janvier 2011, n°2010-92-QPC, RTD. Civ. 2011. 326, obs. J. Hauser. Document 4 : Article 143 C. civ. Modifié par LOI n°2013-404 du 17 mai 2013 - art. 1 Document 5 : CC., 17 mai 2013, n°2013-669 DC (extraits) ` L’erreur : Document 6 : CA, Douai, 17 novembre 2008, D. 2009. II. 10005, note Malaurie, RTD civ. 2009. 98, obs. Hauser. L’intention matrimoniale Document 7 : Civ. 1ère

dépit d’une volonté de faire évoluer le droit sur ce point (B). A. L’interdiction de la GPA en droit français C'est sur le fondement de l'indisponibilité du corps humain que la Convention de mère porteuse est interdite. En effet, la Cour de cassation l'a d'abord affirmé solennellement par son arrêt d'AP du 31 mai 1991 en s'appuyant sur l'article 1128 du Code civil : « Il n'y a que les choses dans le commerce qui puissent faire l'objet de convention » – AP. 31 mai 1991. Depuis la loi de

familial, lorsque les époux sont en instance de divorce. C'est à ce problème que la Cour de Cassation a été confrontée, dans un arrêt du 26 janvier 2011. En l'espèce, un époux, après l'annulation de son jugement de divorce, décide de vendre, par acte authentique en date du 12 janvier 2004, un appartement étant l'ancien logement familial. Ce logement lui avait été attribué par ordonnance de non conciliation datant du 17 mars 2000. Suite à cela, son ex épouse l'assigne, ainsi que les acheteurs et l'étude

THÈME 7 CAss Ass . Plen, 17 nov.2000 ( apprendre par cœur ) ARRET PERRUCHE fait : femme qui est enceinte , elle a l'impression qu'elle a les symptômes de la rubéoles , elle va consulter un médecin et va lui expliquer ces symptômes , le médecin procède à un examen + analyse . Rubéoles pas diagnostiquer . Elle va précisez au médecin que si elle est atteinte de la rubéole qu'elle souhaite être avorter . Elle poursuit sa grossesse et au moment de l'accouchement l'enfant est handicapé . Les

Cass. Ch. Reun. 13 févr. 1930, Jand’heur Un automobiliste renverse et blesse une mineure. La cour d’appel est saisit et refuse d’appliquer l’art. 1384, al.1er du Code civil au motif « que l’accident causé par une automobile en mouvement sous l’impulsion et la direction de l’homme ne constituait pas, alors qu’aucune preuve n’existe qu’il soit dû à un vice propre de la voiture, le fait de la chose que l’on a sous sa garde dans les termes de l’art. 1384, Alinéa 1er, et que, dès lors, la victime

PRINCIPES DE DROIT PENAL Notes sommaires et provisoires – 3e édition Olivier MICHIELS Maître de conférence à la Faculté de droit de l'Université de Liège Conseiller à la cour d'appel de Liège Elodie JACQUES Assistante à la Faculté de droit de l'Université de Liège Avocate au Barreau de Bruxelles Master en criminologie, à finalité approfondie, 1ère année. Master en criminologie, à finalité spécialisée, 1ère année. Master en droit, à finalité spécialisée en droit et gestion, 2e année Année académique