Cour De Cassation Chambre Criminelle 19 Octobre 1992

et l'intérêt thérapeutique d’autrui (dons d’organes par exemple). Mais l'article 16-3 aliné2, déjà posé depuis un arrêt de la cour de cassation, indiquait que le consentement de la personne est nécessaire. Cet article indique également que nul ne peut être contraint de subir une intervention chirurgicale (arrêt du19 Mars 1997 de la 2ème Chambre Civile de la cour de cassation) hors les cas prévu par la loi. Il y a ici deux cas problématiques, deux cas qui s’opposent : - Le premier cas problématique

1) Droit civil Il s’agit du code civil et donc du droit civil étudiant la famille à travers le mariage, le divorce, la filiation, l’autorité parentale, la protection du mineur, le pacs, le concubinage, la protection de la personne battue (loi du 19 juillet 2009, article 75 et suivants). La plupart des règles se trouvent dans le code civil mais aussi dans le code l’action sociale et des familles. 2) Droit constitutionnel Dans le préambule de la constitution de 1946, il est dit : La nation assure

Et on institue la retraite à 60 ans. B) Les lois Loi du 4 août 1982 qui nous dit que le travailleur est un citoyen « dans » l’entreprise et donc il dispose d’un droit d’expression sur ses conditions de travail. Par ailleurs la loi du 28 octobre 1982 créée des seuils c'est-à-dire que désormais à partir de 11 salariés on peut mettre en place un délégué du personnel. Et c’est le seuil de 50 salariés pour le délégué syndical et le comité d’entreprise. IV / Quel avenir pour le droit du travail 

responsabilité pénale ne peut résulter que d’un fait personnel. Pourtant, le CP ne consacre pas textuellement ce principe, c’est la jurisprudence qui affirme ce principe. Cette absence de référence textuelle dure jusqu’au nouveau code pénal, en 1992. L’article 121-1 CP dispose : « Nul n’est responsable pénalement que de son propre fait ». B. La portée du principe de responsabilité pénale personnelle 1- La force de ce principe Le CC a eu à se prononcer sur la constitutionnalité

 A l'étranger : un recours fréquent aux peines minimales obligatoires B. LA PERSONNALISATION DES PEINES : UNE EXIGENCE CONSTITUTIONNELLE POUVANT SE CONCILIER AVEC D'AUTRES PRINCIPES 1. Une consécration constitutionnelle tardive 2. Un principe reconnu par la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme C. LE PROJET DE LOI : UN ÉQUILIBRE SATISFAISANT SUSCEPTIBLE D'ÊTRE RENFORCÉ 1. L'application de peines minimales privatives de liberté (articles premier et 2) 2. L'appréciation de votre commission III. LA DÉLINQUAN

l’article 2 ne peuvent être en aucun cas utilisés à des fins de contrôle fiscal ou de répression économique ». Ce texte était repris à l’article L.84 du LPF comme à l’article 64-A-2 du Code des douanes. L’article 84 de la loi de finances rectificative pour 1992 (1) le précise : « Les renseignements individuels, portant sur l’identité ou l’adresse des personnes ou d’ordre économique ou financier recueillis au cours des enquêtes statistiques visées à l’article 2 de la loi 51-711 du 7 juin 1951 sur ... (le reste

Monsieur BEN HAMZA Ridha LE CONTRAT DE TRAVAIL Les règles relatives à la qualification du contrat de travail ont connu peu d’évolution ces dernières années. En l'absence de définition légale et depuis un arrêt du 22 juillet 1954, la Cour de cassation estime que le contrat de travail se définit comme « la convention par laquelle une personne s'engage à mettre son activité à la disposition d'une autre sous la subordination de laquelle elle se place, moyennant rémunération ». Ainsi trois éléments

INTRODUCTION – L’IDENTIFICATION DU DROIT PENAL. Qu’est-ce que le droit pénal ? Merle et Vitu définissait le droit pénal comme l’ensemble des règles juridiques ayant vocation à organiser la réaction de l’Etat contre le phénomène criminel (et infractions, etc). De cette définition on peut appréhender le droit pénal de deux manières. Première approche : comment les règles de droit s’organisent-elles ? Comment en la forme, le droit pénal est organisé. On peut aussi se demander comment le droit pénal

DROIT PENAL GENERAL ET PROCEDURE PENALE INTRODUCTION : Présentation générale de la procédure pénale et du droit pénal général I – Définition - Le droit pénal ou droit criminel (les deux expressions sont synonymes) au sens étroit, peut être défini comme « l’ensemble des règles juridiques pourvues d’une peine ». Mais au sens plus large, il s’agit de « l’ensemble des lois qui régissent l’exercice de la répression par l’Etat ». Le droit pénal, c’est le droit de l’infraction et celui de la réaction

hiérarchique du système juridique. Pour ce faire il a eu recours à l’idée de pyramide des normes (théorie pure du droit). Une norme du dessous doit se conformer à une norme du dessus. La hiérarchie des normes en France est établie par la Constitution du 4 octobre 1958, au terme de cette Constitution: Constitution> Traité>Loi>Règlement. Section I : Les sources écrites Les sources écrites sont dans le système Français les plus nombreuses (origine germano-romanique) Paragraphe 1er : les textes d’origine