Cour internationale de justice

pays, le 6 novembre 1982. Le discours de prestation de serment prononcé à cette occasion indiquait que « s’agissant| |en particulier des options (…) dont l’application et les résultats font du Cameroun cet îlot de paix, d’unité, de stabilité, de justice et | |de progrès dans un monde aux prises avec les affres de l’instabilité, de la violence et de la pénurie, ces options, dis-je, je les | |rappelle, parce que les circonstances l’exigent, et pour m’en porter garant ».

de l’homme. Elle compte en son sein six organes principaux que sont : l’assemblée générale, le conseil de sécurité, le conseil économique et social, le conseil de tutelle, la cour internationale de justice et le secrétariat général .En vu d’atteindre son but principal qui est de maintenir la paix et la sécurité internationale, l’Onu a mis en place dans sa charte constitutive un système de sécurité collective. Seulement celui-ci s’est très rapidement heurté aux réalités politique et idéologique caractérisées

(L’AFFAIRE NOTTEBOHM) Documents Doc. 1 : Présentation des faits Doc. 2 : Cour internationale de Justice, affaire Nottebohm (Liechtenstein c. Guatemala), arrêt 6 avril 1955 (deuxième phase) (extraits), CIJ Recueil 1955, pp.13-26 Doc. 3 : Opinion dissidente du juge. Read (extrait), CIJ Recueil 1955, pp. 39-45 Indications bibliographiques Ouvrage : BLASER (P.-M.), La nationalité et la protection juridique internationale de l’individu, Lausanne, 1962. Articles : BASTID (S.), « L’affaire

La communauté internationale vue par les juristes E. Jouannet Professeure à l’Université Paris I (Panthéon-Sorbonne) 1 1-La communauté internationale est avant tout une idée qui ne cesse de hanter le discours des juristes internationalistes, comme si la répétition incantatoire du terme pouvait permettre d’ancrer un peu plus son existence dans la réalité et la transformer en un fait tangible et concret. Le juriste, et notamment l’internationaliste, s’est depuis toujours interrogé sur cette

d’autodétermination au cours de l’année 1975. Le Maroc décida dès lors de recourir à la Cour Internationale de Justice (CIJ). Cette dernière a effectivement rendu un Avis consultatif, le 16 octobre 1975. Or, tout en reconnaissant l’existence de liens historiques entre le royaume chérifien et les tribus sahraouies en vertu de l’acte d’allégeance, la CIJ a ignoré, a contrario, selon une conception européocentriste du droit international, que l’allégeance correspondait à un acte de souveraineté. A partir de ce moment

l’UNICEF pour les enfants , l’UNESCO pour la coopération internationale au développement de l’éducation ainsi que l’OMS pour la santé qui sont toutes sous le contrôle de l’ONU. Les 6 organes de l’ONU sont :l assemblée générale, le secrétariat, chargé du bon fonctionnement de l’ONU, le conseil de tutelle ;chargé de surveiller les pays sous tutelle, le conseil économique et social, le conseil de sécurité et la cour internationale de justice, chargée de régler les problèmes entre les états. Afin

GREFFE DE LA COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE[1] INCORPORANT LES ARTICLES ET LES DISPOSITIONS APPLICABLES DU STATUT DU PERSONNEL DES NATIONS UNIES RÈGLEMENT DU PERSONNEL DES NATIONS UNIES Série 100 Série 300 APPROUVÉ PAR LA COUR LE 7 MARS 1979 ET MODIFIÉ PAR ELLE LE 19 NOVEMBRE 1987, LE 11 JUILLET 1996, LE 16 AVRIL 1997, LE 5 DÉCEMBRE 2000, LE 24 SEPTEMBRE 2002 ET LE 19 MAI 2006 STATUT DU PERSONNEL DU GREFFE DE LA COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE[2] APPROUVÉ PAR LA COUR LE 7 MARS 1979

de l’homme. Elle compte en son sein six organes principaux que sont : l’assemblée générale, le conseil de sécurité, le conseil économiqueet social, le conseil de tutelle, la cour internationale de justice et le secrétariat général .En vu d’atteindre son but principal qui est de maintenir la paix et la sécurité internationale, l’Onu amis en place dans sa charte constitutive un système de sécurité collective. Seulement celui-ci s’est très rapidement heurté aux réalités politique et idéologique caractérisées

 Dissertation : l’interdiction du recours à la force en DIP Le droit international a longtemps été envisagé comme le droit de la guerre et de la paix. Si autrefois le recours à la force, telle que la guerre, était un moyen usuel de résoudre les conflits, les règles régissant les relations internationales l’ont progressivement mis à l’écart, pour finalement le déclarer illicite, et la guerre, « hors la loi ». Paroxysme du recours à la force, elle se caractérise par l’agression volontaire et

I-                   L’universalité des droits de l’homme : une réalité consacrée L’universalité des droits de l’homme a été intégrée dans le droit international des droits de l’homme (A). Le caractère universel des droits de l’homme se perçoit dans leur contenu, et au niveau de leurs destinataires (B). A-    La consécration de l’universalité des droits de l’homme par le droit international des droits de l’homme L’intégration de l’universalité dans le droit se manifeste par l’ampleur certes variable d’un Etat à un