Courage

« héroïsme » Le mot « héros » est apparu pour la première fois dans une des plus grandes épopées, l’Iliade. Ce mot est polysémique, nous pouvons le définir de deux manières différentes. Premièrement, un héros est un homme qui se distingue par un courage, une force de caractère et une grandeur d’âme extraordinaires, un homme digne de l’estime publique.[1] Deuxièmement, depuis le XVIIe siècle un héros est également le personnage principal d’une œuvre, celui autour duquel se construit l’histoire

connu. Le Romantisme a abouti à l’Amour, les poètes racontent leurs déboires sentimentaux, et la souffrance qu’ils endurent. « Le suicide, c'est la force de ceux qui n'en ont plus, c'est l'espoir de ceux qui ne croient plus, c'est le sublime courage des vaincus. » Maupassant. Quand je vous dis romantisme, vous pensez à la promenade nocturne, aux chants d’oiseaux printaniers. Moi, je pense à la souffrance et au désespoir. Pourquoi un tel engouement pour l’amour ? Parce qu’il est le sentiment

s’oppose à notre raison. De plus, certains désirs, par la difficulté, le manque de courage que l’on éprouve, ou par le fait qu’ils s’opposent entre eux, peuvent engendrer que le désir ne s’imposera pas à nous. Ainsi, travailler dans tel ou tel domaine aurait pu plaire à certains hommes, mais connaissant d’avance la difficulté des études pour l’atteindre, ce désir ne s’est jamais imposé à eux, car par manque de courage, ils le croyaient impossible, supérieur à leurs capacités, pour être en mesure de

sonnet l’oblige à limiter la louange à quelques éléments. Il va naturellement privilégier les qualités morales qu’il faut louer en tout premier lieu et qu’Aristote dans le Rhétorique a énuméré sous le nom de « parties de la vertu » : la justice, le courage, la tempérance, la magnanimité, la libéralité, la douceur, la sagesse etc. Ainsi le sonnet encomiastique devient une louange centrée sur une deux particularités de l’individu.

Le héro est souvent caractérisé par un grand nombre de qualités. En effet, la renommée, la gloire, la force, le courage sont ses qualités essentielles. Dans ce passage, Ferdinand ne répond à aucunes de ces caractéristiques. Dès la ligne 2, il est traité de lâche et il est comparé à un rat par Lola. C'est un personnage très égocentrique car il utilise des répétions de "Je" et de "moi". Il la renforce avec une ponctuation expressive. Il s'exclame : "Je refuse la guerre et tout ce qu'il y a dedans.

nourrissent de notre peur pour assouvir leurs objectifs. La peur peut susciter en nous divers sentiments et émotions : L’angoisse, la folie, la jalousie, le repli sur soi, l’étourdissement, le traumatisme, le désespoir mais tout aussi la bravoure, le courage, la motivation, la force, la hardiesse, la détermination, le travail, la rigueur, l’ajustement et le dynamisme. Celle-ci est fécondée par le réalisme de notre impuissance, notre faiblesse, notre légèreté, notre insignifiance, notre incapacité d’agissement

pris de l’antiquité gréco-romaine ou de la franc-maçonnerie. Ils ont tous une représentation différente comme l’esclave libéré dans l’antiquité qui est assimilé au bonnet phrygien, le sein nu à la nourrice, la couronne à l’invincibilité, le lion au courage et à la force du peuple , l’étoile à l’intelligence, le triangle à l’égalité…. Les premières représentations de cette femme apparaissent sous la révolution française. En 1848, elle commence à être nommée Marianne de façon clandestine. Sous la

« sommeil » la peur : « ma peur »   II.Une image de la guerre 1) Bardamu Quelle image donne-t-il de lui-même ? Bardamu se présente lui-même comme un anti-héros de son roman historique. Victime de la boucherie de la guerre, il a perdu son patriotisme et son courage : il a juste « envie d’en finir ». Il a également un sentiment d’inutilité dans son engagement premier car il a l’impression d’être un « accessoire figurant  dans cette incroyable affaire internationale »   2) La hiérarchie militaire Bardamu utilise

paysage. Aucun moyen de voir où ils nous conduisaient. La petite couturière pleurait son chat, et je commencais à regretter le mien! Il était sympa. Et tout d'un coup je repensser à Charlie, j'allait peut-être le retrouver! Ca me donne un peu de courage et de bonne humeur, tout ce qu'il me fallut pour tenir encore 20 minutes de route. Le camion brun s'arrêta. Un grand soulagement se fit sentir parmi nous. On nous somme descendus, je ne savais pas ce qui m'attendais. J'esperais juste revoir Charlie

le courage de s’opposer à sa mère et il subit sans broncher les mauvais traitements que lui inflige Folcoche. De plus, le lecteur pourrait le considérer comme un lâche, car il n’hésite pas à prendre la fuite dès qu’un danger se présente, laissant son frère Jean dans l’embarras. Ferdinand est décrit comme « chiffe molle » par Jean. Seulement, au début du livre lorsque Paule revient d’Indochine, Ferdinand seconde Jean dans ses manigances contre Folcoche. En effet il l’admire pour son courage et