Courant Litteraire De La Peau De Chagrin

Le fantastique est un registre littéraire qui se caractérise par l’intrusion du surnaturel dans le cadre réaliste d’un récit. Selon le théoricien de la littérature Tzvetan Todorov, le fantastique se distingue du merveilleux par l'hésitation qu'il produit entre le surnaturel et le naturel, le possible ou l'impossible et parfois entre le logique et l'illogique. Le merveilleux, au contraire, fait appel au surnaturel dans lequel, une fois acceptés les présupposés d'un monde magique, les choses se déroulent

pourtant pas tout à fait dans le merveilleux non plus car subsiste un cadre relativement réaliste.2 FICHE DE SYNTHÈSE Le surnaturel et la littérature fantastique Copyright Éditions Didier 2014MONDES EN VF Auteure : Myriam Louviot II. Histoire littéraire A. Quelques repères temporels xviiie siècle Naissance du genre fantastique en réaction à un contexte où la pensée des Lumières met à l’honneur la raison. a 1764 : Publication du premier roman gothique Le Château d’Otrante d’Horace Walpole (auteur

tourbillon de tromperie pour parvenir à ses fins : il corrompt des femmes mariés, ne les aime pas mais utilise toutes les femmes qu’ils croisent comme objet d’ascension sociale. *Echanger sa jeunesse et son potentiel de vie comme Rastignac dans La Peau de Chagrin de Balzac qui signe un pacte avec le diable : des bribes de bonheur contre des années de vie. Faust et son pacte diabolique ne sont pas loin. *Julien Sorel dans le Rouge et le Noir, qui au détriment des sentiments de Madame de Rénal se créé

Molière est le XVII ème siècle. Ce siècle étant avant tout lieu le siècle du théâtre par excellence. C'est durant ce siècle que le théâtre obtint ses lettres de noblesse et devint ainsi le Siècle du Théâtre. Face à la multiplication des succès littéraires, le théâtre fut le plus beau et agréable moyen permettant d'exploiter et de donner vie à ces textes. Les auteurs trouvèrent ainsi une méthode de communication directe avec l'auditoire : le théâtre devint un spectacle. À l'époque classique, le

est impératif. L’expression « taquiner la muse », devenue une expression banale pour désigner l’action de tous ceux qui font des vers, a pour origine un mythe longtemps pris pour sûr. Les Muses, ces êtres mi-divins ont fait au fil de l’histoire littéraire et artistique la fortune et le malheur des créateurs. La création dépendait donc de l’humeur de ces Déesses de l’inspiration. Leurs élus peuvent charmer les gens par un beau langage empreint d’une teinte divine qui le rend distingué et désirable

œuvre signée et innovante : l’arrière plan est historique et il y a une étude sociale. Pas un succès commercial, mais Balzac commence à être connu. Il continue à écrire Paix du Ménage, Peau de chagrin, Lys dans la vallée, même dans d’autres genres tjs dans le roman (orientation philosophique en 1830 : Peau de chagrin en 1833) * Il aime décrire milieu et les mœurs de la vie privée de ses contemporains (Eugénie Grandet 1833, Père Goriot 1834. Il regroupe ses œuvres dans un recueil Scène de la

pourquoi il est Réaliste ou Naturaliste. I- Définition Réalisme : Tendance artistiques qui montre la réalité sans idéalisation ou effet, qui s’oppose bien sûr à l’idéalisme mais également au pessimisme du naturalisme. Naturalisme : Courant littéraire et artistique du XIX e siècle influence par le positivisme, qui tend à reproduire la réalité de la nature. Les différences entre le réalisme et le naturalisme résident donc dans le choix de leurs thèmes et des principes qui les composent

préface de M. Armand Hoog, aux Liaisons dangereuses, je me demandais ce que diraient un jour les métaphysiciens de l'amour et les stratèges de l'histoire littéraire, d'une pièce, au premier abord fort simple, mais qui ne laisse pas de révéler des perspectives inquiétantes : Celles qu'on prend dans ses bras, d'Henry de Montherlant. Quoi de plus courant que cette intrigue : un homme aime une femme qui ne l'aime pas, tandis qu'il est aimé d'une femme qu'il n'aime pas. Un peu plus, on se croirait en

Le XIXeme siècle se caractérise par l’ « âge d’or » du roman. A cette époque, deux courants littéraires majeurs s’entrechoquent : le réalisme avec Balzac, Stendhal, et le naturalisme, dicté par Zola. Les romans se veulent alors « montrer la vérité, rien que la vérité. » . C’est pour cela que Stendal, dans Le Rouge et Noir affirme que « Le roman, c’est un miroir qu’on promène au bord de la route ». La route pouvant symboliser la réalité, la société, on peut alors se demander si le roman est effectivement

intitulée La légende de l’homme à la cervelle d’or, est le surprenant récit de la vie d’un homme abusé par ses proches parce qu’il possède un cerveau en or qu’il disperse naïvement. Nous allons dégager la morale de ce texte et identifier le genre littéraire auquel il appartient. Nous constatons à la fin du récit que la morale est explicite. Comme le fait souvent Jean de La Fontaine dans ses Fables, Daudet détache un bref paragraphe du corps du récit et y expose assez clairement la « leçon » à tirer