Courbe De La Productivité Marginale Et Courbe De La Productivité Moyen

donné déterminera le prix auquel le produit sera vendu, ainsi que la quantité vendue. Enfin, les économistes examinent les forces et les tendances qui affectent l’économie toute entière et donc chacun en particulier, comme la croissance du revenu moyen, la part de la population qui ne peut trouver du travail et le taux de progression des prix. Si la sciences économique est variée, la champ d’analyse est unifié par quelques idées centrales (…) » Dossier 1 Macro II pour S3 - Omar BELKHEIRI

parfaite au monopole). ➢ Savoir interpréter des courbes d’offre et de demande ainsi que leurs pentes, et comprendre comment leur confrontation détermine l’équilibre sur un marché de type concurrentiel où les agents sont preneurs de prix. ➢ Savoir illustrer et interpréter les déplacements des courbes et sur les courbes, par différents exemples chiffrés, notamment celui de la mise en œuvre d’une taxe forfaitaire. ➢ Savoir déduire la courbe d’offre de la maximisation du profit par le producteur

niveaux de performance quantitatifs, de plans de budget spécifiques, d’organisations détaillées du travail et d’ordonnancement des opérations. Même dans les systèmes de marché, on constate parallèlement aux systèmes de prix un large recours à d’autres moyens de communication. Exemple : Le gouvernement peut donner des directives sur des actions à venir. On va fixer par exemple un seuil de pollution, la vitesse autorisée sur les routes, la durée de scolarité obligatoire etc… De plus les gouvernements

Terminologie économique : toute activité a un coût d’opportunité. Le coût d’opportunité d’un choix est la satisfaction qu’aurait procuré le choix qui est le meilleur possible parmi tous les choix disponibles. Exemple : On a le choix entre deux moyens de transport : voiture 1,50€ 10 minutes, tramway 1,00€ 30 minutes. A B XX Maison Faculté D’un point de vue économique, le tramway est moins cher mais la voiture est plus rapide, donc le meilleur choix est la voiture. Le coût d’opportunité

volume avec des taux de chômage excédant rarement 2%. Ce qu'on appelle les trente glorieuses c'est cette période de forte croissance quasi ininterrompue d'après guerre. Entre 1960 et 1974: taux de croissance moye de 5,6% De 1975 à 2006: 2,3% en moyenne. On appelle récession une situation où la croissance est négative pendant au moins 2 trimestres consécutifs. Trois récessions: - septembre 1974 à juin 1975 (1er choc pétrolier): PIB = - 2,1% - septembre 1992 à mars 1993 (chute du mur

mais aussi en intégrant rationnellement toute l'information disponible sur le futur. anticipations adaptatives application par Friedmann à la courbe de Philips Friedmann est l'un des premiers à avoir fait remarquer que les observations statistiques selon lesquelles il y aurait une relation inverse entre chômage et augmentation des salaires (courbe de Philips) peuvent s'expliquer par les phénomènes d'anticipations adaptatives : cette corrélation serait le résultat des délais d'ajustement dans

Origines, principes et hypothèses Le marché des biens et la courbe IS Le marché de la monnaie et la courbe LM L’équilibre du modèle Les politiques économiques Chapitre 2 : Extensions et controverses Controverses autours de la fonction de consommation : vérifications empiriques et nouvelles formulations (Duesenberry, Modigliani, Friedman) Monétarisme et théorie quantitative de la monnaie Troisième partie : La courbe de Phillips et l’arbitrage inflation/chômage Chapitre 1 :

surtout des mouvements internationaux de biens de consommation dans le cadre du libre échange. L’État ne jouera pas le rôle d’incitation ou de protection. C’est le mécanisme du marché, de la mondialisation. Pour ces auteurs, l’or et l’argent n’est qu’un moyen de faire circuler la richesse. Les conditions d’échange doivent être les mêmes mais ils sont différents entre pays. Les classiques supposent une mobilité parfaite des facteurs de production (travail et capital) sur le plan national alors qu’à ce stade

richesse. Efficacité du travail ( = pdcté marginale du travail ) c'est ce que produit en plus une unité supplémentaire de travail. La pdcté du travail ( pas marginal) c'est ce qu'on peut produire avec une unité de travail. Pdctivé marginal positive et décroissante ( chaque heure augmente la production mais de moins en moins ). Alors que les heures de travail sont toujours payés chacune de la même façon. Donc il faut trouver l'optimum en fonction du coût marginal. Dans l'économie française 70% des emplois

tout en étant et restant exposés à la concurrence internationale". Selon Porter (1990), Chercher à expliquer la compétitivité au niveau national est incorrecte. Ce qu’on doit comprendre, ce sont les déterminants de la productivité et le taux de croissance de la productivité. Pour trouver des solutions, on devrait focaliser, non pas sur l’ensemble de l’économie, mais plutôt sur des industries spécifiques ou encore des segments d’industrie". Selon Sharples et Milham (1990), "La compétitivité est