Courbe De Laffer

relance. Cette politique de l'offre part d'un constat simple fait par l'économiste américain Laffer, traduit par la courbe de Laffer. Celle-ci montre qu'au-delà d'un certain niveau de prélèvement fiscal, les contribuables n'ont plus aucun avantage à augmenter leurs revenus. Ainsi, le rendement de l'impôt diminue, la production décline ou stagne, le chômage augemnte. On résume la théorie de Laffer par une phrase simple: trop d'impôt tue l'impôt. Dans ces conditions, pour faciliter la reprise et

dans un court terme nous avons un mécanisme qui ramène toujours vers le prix d’équilibre. - prix unique si le marché remplit les 3conditions de fonctionnement : l’homogénéité du produit, transparence du marché supérieur atomicité du marché. La courbe d’offre globale décrit, la quantité de bien et service que l’ensemble des producteurs sont prêt à mettre sur le marché lorsqu’ils ont pris en compte des conditions de fonctionnement du marché du travail. Sur ce marché en équilibre entre offre

l’intérêt général. • Les disponibilités en travail et en capital que l’Etat utilise peuvent être mieux exploitées par le secteur privé car il est confronté à la concurrence et à la réalité du marché. 4) La théorie de l’offre : Arthur Laffer, un des conseillers économiques du président de l’USA Reagan. Le courant de l'économie de l'offre se rattache à la pensée libérale, il combat activement les écoles de pensée majeures à savoir : l’école keynésienne et l’école monétariste. L’offre

croissance des 30 glorieuses s’était accompagnée d’une baisse considérable des inégalités, le changement de volonté et priorité politiques coïncide alors avec ce que l’on appelle le nouvel âge des inégalités qui s’est illustré par un inversement de la courbe de Kuznets. La flexibilisation des marchés et le souci de méritocratie des modèles économiques libéraux ont provoqués une hausse des inégalités de revenu, du phénomène de pauvreté et des « working poor », des écarts de consommations important et

qui n'est pas assez présent n'est autre que le débat sur l'importance de l'effet de la croissance sur le chômage. L'effet de la croissance sur le chômage est beaucoup plus faible ds les pays d'Europe occidentale que sur les pays anglo-saxons. La courbe de Phillips (1958) : Phillips est un Néo-Zélandais. Dans son article, il utilise des données sur la Grande-Bretagne de 1861 et 1957. Il va lier la variation des salaires aux variations du chômage. Dans les phases où le salaire augmente, les salaires

l’inflation et le chômage. C’est d’ailleurs ce que souligne Friedman quand il revoit la courbe de Philips mettant en relation l’inflation et le chômage.Pour Friedman, il existe un taux de chômage naturel. Sur le long terme, la courbe inflation-chômage est verticale, et le chômage est égal à ce taux « naturel ». Les relances budgétaires de l’Etat ont en outre plusieurs limites. En ce qui concerne l’imposition Laffer monter que le taux d’imposition ne doit pas être très élevé afin de ne pas freiner l’économie

inflationnistes La théorie néolibérale remet au goût du jour l'idée de régulation par le marché, en soulignant les effets pervers des déficits publics et du danger de prélever trop. Friedman allume les premières mèches en réinterprétant la courbe de Philips. Cette courbe de 1958 présente le « cruel dilemme » (selon les mots de P. Samuelson) qui mène à devoir choisir entre inflation ou chômage. Si la main d'œuvre est rare, les salaires augmentent, et avec eux les prix. Le plein-emploi va de pair avec l'inflation

et des 10% les plus pauvres * La courbe de Lorenz : indicateur de la concentration des revenus. Met en relation les pourcentages cumulés du revenu national et le pourcentage cumulé de la population étudiée. La bissectrice représente une répartition égalitaire des revenus. * On peut alors calculer le coefficient de GINI : coefficient compris entre 0 et 1. * 0 distribution égalitaire * 1 forte inégalité de revenus * Courbe de Kuznets : une croissance économique

Les termes de l’échange s’en trouvent ainsi affectés et profitent bien souvent aux exportateurs français. De manière générale, l’on peut affirmer qu’une fiscalité lourde n’est donc pas antinomique avec la compétitivité économique. D’après la courbe de Laffer, tout dépend, en réalité, si le taux d’imposition optimal, qui maximise les recettes fiscales, a été dépassé. Ce n’est que dans ce cas que le taux d’imposition global est de nature à dissuader l’activité économique et à favoriser l’évasion fiscale

politique de relance de Lo et la D), permet de valoriser le capital humain (croissance endogène (romer)= generer directement par le progres technique, l’aide a la recherche (bien collectif)) Aspect negatif= le poids des prelèvement obligatoire (courbe de laffer), la fuite des K( paradis fiscaux), la compétitivité des entreprise, le deficit de la secu (depuis 2008/2009), la reforme du système de retraite, l’ouverture des services publics a la ccr(mvt de liberalisation sous l’impulsion de l’UE,DEPUIS