Courbe De Laffer

peu prés les mêmes volumes mais payés nettement plus chers ; Il exporte à peu prés les mêmes quantités vendues à des prix plus bas. La dévaluation conduit à une forte aggravation du déficit extérieur. (le solde de la balance des paiements suit une « courbe en J » (les premières années qui suit la dévaluation, le solde de la balance des paiements se détériore, il s’améliore ensuite progressivement) ← L’inflation et le déficit extérieur se conjuguent pour inciter les spéculateurs à parier contre

facture pétrolière plombe les échanges. Olivier Barbié - Université Paris Sud 20/40 La loi d'Okun (Arthur Okun, 1962) : ΔU = -0,5 x [ΔY/Y(%)-3] pour chaque point de croissance au-dessus de 3 %, le taux de chômage diminue de 0,5 point La courbe de Phillips (Alban William Phillips, 1958) : ΔW/W = αU-β-γ Olivier Barbié - Université Paris Sud 21/40 « La politique de relance, d'inspiration keynésienne, privilégie les objectifs de stimulation de la croissance et de lutte contre le

d’aide ». Une fois mis de coté les effets d’annonce, on s’aperçoit que rien n’a changé dans la démarche du FMI et de la Banque mondiale. Rendre supportable le service de la dette consiste à faire passer les pays surendettés du « bon » coté de la courbe de Laffer de la dette34 , c’est-àdire les faire rembourser au maximum de leurs capacités. Pour cela, les 42 pays éligibles — représentant 11% de la population totale des PED — doivent mettre en œuvre de « saines politiques » dont les orientations sont

Allemagne, 30% au Danemark. Le taux global de prélèvements obligatoires dépend de l’organisation des circuits de financement public. On met en avant le problème de l’autofinancement de la multiplication des prélèvements obligatoires. 2. Courbe de Laffer et pression fiscale limite : [pic] Il y aurait un taux optimal qui permet d’optimiser les recettes fiscales, au delà on réduit les recettes. Il y a l’idée qu’au delà d’un certains niveau d’imposition, il y a des effets désincitatif

d’Etat » des années quatre-vingt-dix. La courbe de Laffer, du nom de l’économiste américain Arthur Laffer, vise à expliquer les relations entre le taux de l’impôt et le montant des recettes fiscales.Lorsque le taux de l’impôt est nul, son rendement est évidemment nul ; mais lorsque le taux de l’impôt atteint 100 %, son rendement est également nul, plus personne n’ayant intérêt à produire. La question est de savoir ce qui se passe entre les deux : la thèse de Laffer est la suivante. Dans un premier temps

En rajoutant le taux marginal maximal des impôts sur le revenu local de certains pays, ils passent à un taux marginal supérieur à celui de la France. 1. La réforme de l’impôt sur le revenu en France (2006) On s’est rendu compte qu’il y avait une courbe en U en ce qui concerne les revenus. Pour les bas revenus on avait un pourcentage de 70 à 90%, pour les moyens revenus on avait un pourcentage de 30 à 50% et pour les hauts revenus 60 à 70%. Cela voulait dire qu’avec les barèmes de l’époque, lorsqu’un

d’imposition (Etat) • Variables endogènes/objectifs La valeur atteinte par ces variables résulte du niveau et des interactions existant entre les variables exogènes et instrumentales. Ex : Soit on freine l’inflation soit on réduit le chômage (cf : Courbe de Philips) ; Carré magique (Croissance éco + équilibre extérieur + plein emploi + stabilité des prix) Il faut également distinguer les liens entre les variables : • Variables intermédiaires Entre des variables instrumentales et des

principalement sous deux aspects : la réglementation jugée excessive et la fiscalité. Ils trouvent que cette intervention publique excessive empêchait l’initiative privée et donc comprimait l’offre. Ce sont eux qui ont inspiré Reagan et Thatcher. La courbe de Laffer dit que si la pression fiscale est excessive, les agents économiques vont diminuer leur activité économique pour échapper à l’impôt. En baissant les impôts des catégories sociales les plus riches, on les incite à plus investir pour relancer l’économie

aux pauvres pour consommer . Objectif socio-politique = Conserver la dignité des individus pauvres et la paix civile. 2)les critiques de la redistribution a) les critiques négatives (principalement des libéraux)= -Niveau elevé d'impots (la courbe de laffer) -Fuite des capitaux -Désincitation au travail et chomage (dus au versement des allocations) -l'effet d'eviction (une dépense publique se substitue a une dépense privée) b)les critiques favorables (principalement des keynésiens) - + d'impots

égoïstes par essence. • La liberté économique : le marché est un régulateur plus efficace que l’Etat (A. Smith) • Il existe un équilibre naturel vers lequel le marché tend spontanément. A l’heure actuelle les économistes néo-classiques sont : Barro, Laffer, Friedman, Buchanan. 1.2.3- Les Marxistes : Contexte historique : Marx écrit au 19° siècle, durant la phase d’industrialisation du capitalisme. Cette époque est marquée par une pauvreté ouvrière importante dans un contexte d’industrialisation