Courbe De Phillips

. . . . . . . . 1.2.2 Les rigidités résultant des stratégies des acteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 2 2 6 7 9 9 12 15 15 16 16 18 18 18 19 23 2 Chômage et inflation 2.1 La relation de Phillips . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.1 Des fondements théoriques ? . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.2 Généralisation à une relation inflation-chômage . . . . . . 2.1.3 Exploitation de la relation inflation-chômage pour la politique

Keynes). Cependant on y observe le dilemme de la politique économique. En effet cela fait référence aux politiques de « stop and go » (alternativement une politique de rigueur « stop » et de relance « go »). Ces politiques nous rappellent la courbe de Phillips qui définit la relation entre chômage et inflation à court terme : si le chômage est faible alors il y a risque d’inflation et inversement. 2) A) Politiques passives Les politiques passives comme son nom l’entend agissent indirectement

La courbe de Philips : Ce sujet présente plusieurs intérêts. Il illustre au plus haut point l’interdépendance entre les objectifs de la politique économique puisqu’il cristallise une opposition centrale entre activité et stabilité. A la suite de la crise de 1929, John Maynard Keynes dénonce les postulats de la théorie classique en insistant sur les quatre points suivants : - La monnaie peut être désirée pour elle-même. A côté du motif de transaction, il existe une demande de monnaie de spéculation

résultent d’une demande excédentaire sur le marché des biens et services et sur le marché de travail. Plusieurs politiques sont appliquées pour absorber l’intensité de c’est deus maux et faire un arbitrage entre eux ; comme pour la relation de Phillips entre le chômage et l’inflation. Dans cet exposé nous allons voir en premier lieu l’inflation et le chômage d’une manière globale, et puis le cas pratiques de l’inflation réprimée, le chômage classique et keynésien, et enfin nous tenterons d’approcher

des taux d’intérêt → Compléxité croissante des économies et réactivité faible des pouvoirs publiques (longueur des procédures) La courbe de Phillips ou l’illustration de la remise en cause du keynésianisme → En 1958, W. Phillips établit une relation entre variation des salaires et chômage (période 1861-1957 en Angleterre) Dans les années 60/70, la courbe de Phillips fit d’abord l’objet d’une lecture keynésienne. → Elles représentait les effets de l’intervention de l’Etat (politique économique) selon

Chômage 2 outils = Politique Monétaire et Politique Budgétaire A Le principe de TINBERGEN (1952) Chaque problème réclame un outil, et un seul. Pour l’inflation, la politique monétaire et pour le chômage, la politique budgétaire. B La courbe de PHILLIPS (1958) Il y a arbitrage entre inflation et chômage. Soit il y a de l’inflation et pas de chômage, soit il y a du chômage et pas d’inflation. C’est une remise en cause du principe de TINBERGEN. Mais dans les années 1970, il y a eu coexistence

limite l’emploi (cotisations employeurs abaissent la courbe de demande de travail/cotisations employés hausse la courbe d’offre de travail; dans les deux cas, le coût du travail augmente et l’emploi baisse) Antoine Gobelet - M Equilibre sur le marché du travail Antoine Gobelet - M Coût du travail OCDE Antoine Gobelet - M Coin fiscalo-social dans l’OCDE Antoine Gobelet - M Théorie du taux de chômage d’équilibre (1) • Courbe de Phillips (1958) Montre la relation décroissante entre chômage

Keynes 12 1.5 La pensée économique depuis Keynes 1.5.1 Une convergence entre les paradigmes classique et keynésien Le courant de la synthèse Les auteurs Hicks et le modèle IS-LM Tobin et le modèle de choix de portefeuille Samuelson et la courbe de Phillips Les nouveaux keynésiens Les fondements économiques La théorie du déséquilibre La nouvelle microéconomie du travail La concurrence monopolistique 1.5.2 Le maintien d’une orthodoxie néoclassique Les monétaristes La contre-révolution monétariste

et l’offre reste la même, donc on augmente le taux d’intérêt pour freiner cette demande. La courbe violette= LM. Cette relation LM est la formalisation de la pensée de Keynes par Hicks & Hansen. Le point d’équilibre est en A, qui indique la valeur du taux d’intérêt qui égalise la demande et l’offre de monnaie. Si le revenu s’accroît, la demande de monnaie de transaction s’accroît (déplacement de la courbe de demande vers la droite). Le nouvel équilibre s’établit au point A’ et le taux d’intérêt

le chômage A. Les conséquences B. Les politiques de lutte contre le chômage 1. Les politiques traditionnelles 2. Les politiques actives 3. Le traitement social du chômage IV. Relation entre Inflation et Chômage : La courbe de Philips A. La thèse keynésienne B. La thèse monétariste V. Le chômage au Maroc A. Répartition de l’emploi B. Niveaux et nature du chômage CONCLUSION INTRODUCTION Perdre son emploi est probablement l’évènement le plus angoissant