Courbe De Phillips

de chômage. Donc le lien entre taux de croissance et taux de chômage existe. En effet d’après l’article écrit par Rémi Barroux du journal Le Monde parut le 24 aout 2010 « la tendance à la réduction du chômage des jeunes était pourtant bonne. La courbe, depuis 2002, était orientée à la baisse, faisant passer le taux pour les moins de 25 ans de 13,2 % à 11,9 % en 2007. La dépression économique a tout gâché. En deux ans, le taux est repassé à 13,1 %. ». De plus « Globalement, les jeunes seront encore

Maison Tugendhat = application du pavillon de Barcelone. continuité totale entre l'interieur et l'exterieur, socle, parois pincé. Maison Farnsworth : boite technique pour libéré le reste de l'espace et permettre la transparence Maison de Glace de Phillipe Johnson Louis Isidor Kahn ==> Silence et Lumière : ensemble de conférence donné par Kahn dans les années 50/70 sur ce qu'est l'architecture Kahn est d'abord enseignant jusqu'à 48 ans Il fonde un groupe de recherche pour étudier les

microéconomique est une réponse à celle de Marx. Les néo-classiques cherchent à déterminer mathématiquement les comportements des demandeurs et des offreurs. La loi de l'offre et de la demande amène à un équilibre sur un marché graphiquement. Courbe de l'offre et de la demande. Analyse : Sur le marché des biens et services, la demande émane des consommateurs. Donc, plus le prix est élevé, plus la quantité échangée est élevée. A l'inverse, plus les prix sont bas, moins les quantités

conflits : 1° inflation – chômage : courbe de Phillips baisse du chômage peut générer de l’inflation, ou la lutte contre l’inflation peut se faire au détriment du taux de chômage. 2° croissance – inflation : la croissance est généralement génératrice au bout d’un temps d’inflation. 3° croissance – solde extérieur : forte croissance économique entraine une dégradation du solde extérieur via une augmentation d’importations. Inflation – chômage : analysé par Phillips (1958). Quand on parvient à lutter

déséquilibres → innovations négatives, c'est à dire la stagflation (stagnation économique (chômage) + inflation) ● Innovation négative Phillips « inflation et chômage fonctionnaient de manière inverse » explication : Courbe de Phillips = relation négative entre taux de chômage et taux des variations des salaires monétaires au RU, période 1861-1957 Courbe de Phillips L'indice des prix à la croissance créée l'indicateur de l'inflation, toujours sur une certaine période. Exemple de calcul de l'indice

économique ( i.e néo-classique), et savent par exemple qu'un accroissement de la masse monétaire doit se traduire par une hausse équivalente du niveau général des prix. Enfin, les nouveaux classiques reconsidèrent l'arbitrage inflation/chômage (courbe de Phillips) en s'appuyant sur l'hypothèse d'anticipations rationnelles. R.Barro montre qu'une politique de déficit budgétaire financée par l'emprunt reste sans effet sur l'activité économique (Théorème d'équivalence ou de Barro-Ricardo), dans la mesure

économiques qui sont la stagnation et l’inflation .une grande partie du travail des monétaristes a porté sur le rôle des anticipations dans la détermination de l’inflation .et un élément clé de leur théorie a été le développement des attentes de la courbe de Phillipe .ils ont réévalué la théorie quantitative de la monnaie et ont fait valoir que les augmentations de l’approvisionnement de l’argent entraînent l’inflation .ils font donc suggérer que pour réduire l’inflation,la croissance de la masse monétaire

deux courbes (en l'occurrence deux droites) issues d'une résolution partielle du modèle, reliant R et r en fonction des exogènes. a+e+g 1 - b.(1-t) + m 1 r = -------------- - --------------------.R + --------.G d+n d+n d+n k 1 M r = ----.R - ----.---h h P courbe IS courbe LM Le point d'intersection: (R0, r0), donne les valeurs de R et r à l'équilibre. L'observation d'un tel graphique permet par exemple d'examiner l'incidence d'une politique fiscale (action sur G, qui déplace la courbe IS),

conflits : 1° inflation – chômage : courbe de Phillips baisse du chômage peut générer de l’inflation, ou la lutte contre l’inflation peut se faire au détriment du taux de chômage. 2° croissance – inflation : la croissance est généralement génératrice au bout d’un temps d’inflation. 3° croissance – solde extérieur : forte croissance économique entraine une dégradation du solde extérieur via une augmentation d’importations. Inflation – chômage : analysé par Phillips (1958). Quand on parvient à lutter

années 1970, on cherchera toujours à assurer le maintien de ces 4 éléments. B) SYNTHESES NEOCLASSIQUES Pour les néoclassiques, une politique économique est nécessaire, mais elle ne doit pas rompre les équilibres. J. Hicks (l’inventeur des courbes IS-LM…) soutient que : - pour que la politique de relance budgétaire soit maximale, il faut que l’investissement privé soit peu sensible au taux d’intérêt. Si l’Etat investit, le taux d’intérêt risque d’augmenter. Or il ne faut surtout pas que les