Courbe De Phillips

monnaie et l’investissement. Le modèle IS-LM se présente sous la forme de deux courbes, l’une représentant l’équilibre sur le marché des biens et services (IS), l’autre représentant l’équilibre sur le marché de la monnaie (LM). Il permet de déterminer simultanément l’équilibre sur ces deux marchés en établissant des relations entre le taux d’intérêt (i) et le niveau d’activité (Y). 388 - Dans le cadre de la courbe IS, il existerait une relation décroissante entre le niveau d’activité (Y) et

de monnaie et l’investissement. Le modèle IS-LM se présente sous la forme de deux courbes, l’une représentant l’équilibre sur le marché des biens et services (IS), l’autre représentant l’équilibre sur le marché de la monnaie (LM). Il permet de déterminer simultanément l’équilibre sur ces deux marchés en établissant des relations entre le taux d’intérêt (i) et le niveau d’activité (Y). 388 - Dans le cadre de la courbe IS, il existerait une relation décroissante entre le niveau d’activité (Y) et le

demande finale (voir également l’accélérateur pour une relation inverse) Procyclique : ok car composante de la demande finale Contracyclique : ok Procyclique : ok Procyclique : muet sur l’inflation. On rajoutera plus tard un bloc nominal avec la courbe de Phillips Procyclique : ambigu. Si l'offre de monnaie varie, les deux composantes de la demande demonnaie varient dans le même sens => i et Y varient en sens inverse. Si les variations proviennent de tout sauf de l'offre de monnaie, i et Y varient dans

conformes à la théorie monétariste et à la théorie de l’offre . B Injustes socialement 18. La relance par le déficit budgétaire peut elle être un instrument efficace de lutte contre le chômage ? I Oui II Mais A Politique keynésienne (courbe de Phillips+ multiplicateur) A : Inflationniste (analyse monétariste)et néfaste pour l’offre (Laffer) . B Pratiquée avec succès pendant les 30 glorieuses B Bute sur la contrainte extérieure. 19. Après avoir rappelé les arguments en faveur de la

seraient encore englués dans des industries liées au quatrième Kondratiev (équipement mécanique, automobile, pétrochimie). La coexistence d’un faible chômage et d’une faible inflation marquerait également une nouvelle période puisque la relation de Phillips ne serait plus vérifiée. Le taux de chômage officiel est de seulement environ de 4% aux USA mais les créations d’emplois n’y sont pas plus élevées dans l’ère de cette “ nouvelle économie ” qu’auparavant : +1,1% par an dans les années 50, +1,8% dans

production, à court terme. (Plus on augmente le travail plus il y a de production). Impact du progrès technique. Lorsqu’on a une quantité de travail, on a une production. Il permet de produire plus avec la même quantité de travail, déforme la courbe de production. Pour obtenir le même niveau de production, besoin de moins de travail. ⇨ quantité identique de production avec moins de travail Permet d’augmenter la productivité moyenne des facteurs de production. Cela s’est passé dans l’industrie

général de l'INSEE Jean-Phillipe Cotis, la baisse des impôts depuis 2000 s'estiment à 400 milliards d'euros soit -20 points du PIB de dette publiques aujourd'hui. Les baisses d'impôts ont alors jouer un rôle important dans l'explosion de la dette publique actuelle.Augmenter les impôts permettrait d'augmenter les recettes afin de financer plus aisément la dette publique. Cependant un taux d'imposition trop élevén'inciter pas les agents économiques à travailler selon la courbe de Laffer, sans compter

travail. ! 4. Le choix entre inflation et chômage : la courbe de Phillips. Alban William Phillips (économiste néo-zélandais) établit en 1958 une ! relation inverse entre le niveau de chômage et le niveau des salaires. ! La pression à la hausse des salaires est d'autant plus élevée que ! ! le marché du travail est tendu. En situation de plein-emploi, ! des tensions inflationnistes peuvent alors apparaître. La courbe ! ! de Phillips a fortement déterminé les politiques économiques à partir

mise à jour : février 2009) L’équilibre sur le marché monétaire Taux d’intérêt i offre demande base monétaire La demande de liquidité est celle des banques commerciales. L'offre de liquidité est contrôlée par la banque centrale. La courbe d'offre est horizontale car les Banques centrales modernes fixent le taux directeur pour des durées longues, en général plusieurs mois. Supposons que la demande de liquidités des banques augmente: Un accroissement de la demande de liquidités Taux

une accélération de l’inflation. 2- Dans l’optique keynésienne, la croissance de la masse monétaire influe à la fois sur les prix et sur les quantités : Chez Keynes, puis dans les prolongements que feront Samuelson et Solow à partir de la courbe de Phillips, une relance monétaire se traduit soit par un effet quantité (hausse de la production) soit par un effet prix (inflation), selon le taux de chômage. 3- Friedman confirme la validité de la théorie quantitative sur le long terme mais la nie