Courbe De Phillips

révolution marginaliste » -Construite de manière indépendante en 1870 par 3 auteurs. Principaux auteurs : Ecole anglaise : Jevons (marginalisme, théorie subjective de la valeur, théorie de la firme) Edgeworth (théorie du bien-être, équilibre) Wicksteed (courbes d'indifférence, utilitarisme) Ecole de Vienne : Menger V. Wieser Böhm-Bawerk (individualisme méthodologique, théorie de l'intérêt et du Capital) Ecole française : Cournot Dupuis (ingénieurs : Application du marginalisme a l'économie publique

nominal de l’année 1. Cela s’explique par une augmentation des prix entre ces deux années. Enfin, le taux de croissance du PIB réel a été de + 5 %. Sur le graphique 2 page 8, la courbe « valeur » représente le PIB nominal. On dit aussi le PIB en valeur car on multiplie les quantités par les prix de l’année en cours. La courbe « volume » représente le PIB réel, on dit aussi el PIB en volume car on s’intéresse à l’accroissement des quantités produites. On remarque que quelques soit l’année donné, le PIB

consommation, attirant l'attention sur le lien entre la consommation et le revenu à long terme et sur l'effet de la richesse. Il critique l'analyse de la détermination des salaires monétaires chez Keynes, consacrant plusieurs articles à la courbe de Phillips, et critiquant la thèse du taux naturel de chômage de Friedman. Mais ce sont ses contributions à l'étude de la préférence pour la liquidité qui ont eu sans doute le plus d'influence. Affirmant, contre les thèses à caractère monétariste de

capital optimum et l’investissement en fonction de l’EMC. Leila HAOUAOUI 2012-2013 Macroéconomie 1ère année LFSG 16 Chapitre III : Emploi et chômage Le marché du travail dans les deux approches avec une brève présentation de la courbe de Phillips. Chapitre IV : La fonction de demande de la monnaie Les motifs de détention de la monnaie et l’équilibre sur le marché de la monnaie Chapitre V :Un modèle de plein emploi et les politiques de long terme Chapitre VI : Le modèle IS-LM

et services. Il semblerait que, dans certains cas, le chômage compense ce mouvement. La hausse du chômage freine la hausse des salaires et ralentit l'inflation. Nous avons donc un chômage participant à un mécanisme d'équilibrage. En 1958, A. W. Phillips a mis en évidence, dans le cas du Royaume-Uni, une relation décroissante entre le taux de variation des salaires et le taux de chômage. De nombreuses études on confirmé ce phénomène dans beaucoup de pays. Nous allons donc analyser les formes et les

années 80. La courbe statistique de PHILLIPS est essentielle, elle semble montrer qu’il y aura une corrélation négative entre l’inflation et le chô. Il faut décider d’une priorité, la maîtrise des prix mais alors le chô sera fort ou de privilégier plutôt la diminution du chô au risque d’une certaine inflation. Mais la situation au milieu des années 70 ne sera pas normale. Cette période est marquée par ce phénomène qui semble contredire les leçons historique de la courbe de Phillips, c-a-d

bénéfice mais dans une situation de monopole on va avoir un sur-profit et cela conduira à une augmentation du K. Que penser ? Le progrès technique c’est simplement un déplacement de la courbe des facteurs. En abscisse on a le taux de profit, en ordonnée les salaires. Le changement technique va déplacer la courbe, il peut y avoir de baisse de profit, si les gains de productivité sont supérieurs au salaires. Tout cela est du long terme donc des causes peuvent contre balancer les taux de profits

instrument efficace de lutte contre le chômage ? |I Oui |II Mais | |A Politique keynésienne (courbe de Phillips+ multiplicateur) |A : Inflationniste (analyse monétariste)et néfaste pour l’offre (Laffer) . | |B Pratiquée avec succès pendant les 30 glorieuses |B Bute sur la contrainte extérieure

monnaie et l’investissement. Le modèle IS-LM se présente sous la forme de deux courbes, l’une représentant l’équilibre sur le marché des biens et services (IS), l’autre représentant l’équilibre sur le marché de la monnaie (LM). Il permet de déterminer simultanément l’équilibre sur ces deux marchés en établissant des relations entre le taux d’intérêt (i) et le niveau d’activité (Y). 388 - Dans le cadre de la courbe IS, il existerait une relation décroissante entre le niveau d’activité (Y) et le

cause l’arbitrage « inflationchômage» qui guidait l’orientation de la politique économique en général et de la politique monétaire en particulier. Le consensus dominant est alors celui de la synthèse néo-classique (Hicks, 1937) complétée par la courbe de Phillips (1958). Dans ce cadre théorique, la politique monétaire est subordonnée à la politique budgétaire et poursuit des objectifs de stabilisation conjoncturelle. Trois aspects essentiels caractérisent ce consensus. D’abord, la conception keynésienne