Courbe De Phillips

guerre du Kippour, ou « guerre des six jours »). En 1 représailles, les pays de l'OPEP réduisent leur production de pétrole pour faire bondir les prix. Un deuxième choc a lieu en 1979-81 suite à la guerre Iran-Irak. * Pourtant, si l'on regarde la courbe du PIB par habitant, nulle trace de chute du PIB après 1973. Le PIB des pays riches a plus que doublé en 40 ans. Pour la croissance du PIB, il s'agit d'un retour au rythme tendanciel de croissance du capitalisme, soit 2 % par an environ, après une

anticipations sont rationnelles et les agents privés sont supposés réagir de façon optimale à un environnement qu’ils connaissent. Les erreurs de prévisions ne peuvent être dues qu’à des surprises et ne sont donc pas persistantes. - La courbe d’offre est une courbe de Phillips avec anticipations rationnelles à la Lucas (1972) ; on suppose en effet que les contrats salariaux sont négociés en termes nominaux, une période à l’avance. Au moment où les contrats sont signés, les salariés négocient donc le salaire

courant de la synthèse. Ils formalisent leur approche ds le modèle IS/LM qui domine la pensée éco aux cours ds an 50/60. William Phillips constate en GB, au cours de la période 1861-1957, une corrélation négative entre variation annuelle ds salaires nominaux et tx de chô : + le chô est élevé, moins la hausse ds salaires est forte donne lieu à la construction d’une courbe, testée sur l’éco am par Samuelson et Solow = résultats pas probants. Ls deux auteurs substituent la variation ds prix à celle des

une inflation et du chômage en même temps. En effet dans la théorie keynésienne on a : Chômage-> Baisse du pouvoir d’achat-> Demande<Offre -> Déflation. Cet arbitrage entre inflation et chômage sera mathématisé en 1958 à travers la courbe de Phillips. Or l’économie de la fin des années 60 et du début des années 70, voit l’apparition d’une forte inflation, d’un chômage structurel, d’une faible croissance, ce mélange sera appelé par les économistes la Stagflation. Cette stagflation est

la dynamique de création et de maintien d'institutions essentielles, comme les marchés, la monnaie. Partie de relations très simples, à l'image du modèle IS/LM reliant le marché des capitaux et celui de la monnaie ou de la courbe de Phillips reliant inflation et chômage, la macroéconomie a évolué vers la construction de modèles économiques complexes incluant à la fois des relations supposées entre variables et des relations comptables servant à définir les agrégats. Très utilisés

dans la revue Esprit (5). Par ailleurs, il semblerait que démographie et environnement soient dans une relation du type d'une courbe en U : de faibles densités de population, à bas niveau de capital, se traduisent par de la dégradation de l'environnement. Lorsqu'un certain niveau de dégradation est atteint, et sous réserve que la population n'ait pas émigré ni disparu, la courbe s'inverse et tout accroissement de la population se traduit par un aménagement de l'environnement. Quel état des lieux peut-on

recherche supplémentaire ( à la perte journalière du salaire qu’il aurait perçu en occupant le 1er emploi venu) soit égal au bénéfice marginal espéré d’une journée de recherche supplémentaire (proba de trouver un emploi mieux rémunéré). En confrontant la courbe de Coût marginal et celle de Bénéfice marginal, on peut déterminer la durée optimale du chômage volontaire. L’indemnisation a un rôle primordial ds la durée du chômage volontaire une condamnation implicite de l’indemnisation puisqu’elle

va être préjudiciable à l’investissement privé, on réduit le potentiel de croissance de la sphère privée. ( politiques monétaires : - la courbe de Phillips et sa critique - la théorie quantitative de la monnaie. d. La critique de Friedman o La politique monétaire ne produit un effet positif sur l’emploi qu’a court terme. o La courbe de Philips suppose que les salariés sont victimes d’une illusion monétaire, suppose que les salariés se rendent comptes des effets de la hausse

donc le taux de chômage diminue sans que le prix n’augmente (il faut comparer avec l’autre schéma). c. Analyse Classique L’offre dépend de l’optimisation de la production. L’offre ne dépend pas des prix à court terme. Conséquence sur la Courbe de Phillips La différence entre b. et c. = Les Keynésiens constatent un taux de chômage et on a la possibilité de réduire ce taux de chômage sans inflation avec des politiques publiques qui peuvent aider. Pour les Classiques, on est souvent au niveau

A et B. Agent dispose d'un revenu R. [pic]: quantité consommé de bien A. [pic]: quantité consommé de bien B. [pic] [pic]> 0 [pic] > 0 [pic]< 0 [pic]< 0 [pic]prix du bien A [pic]prix du bien B Graphique [pic] ( on se situe sur une courbe d'indifférence ) [pic]-> de combien on doit augmenter la consommation du bien B si on réduit d'une unité la consommation du bien A pour rester à un même niveau d'utilité. A l'optimum on a [pic] Partant de la situation optimale on va supposer