Courbe des taux

Courbe de philips : Mise en évidence en 1958, la courbe de Phillips est une courbe illustrant une relation empirique négative (relation inverse) entre le taux de chômage et l'inflation. Elle dérive des travaux de l'économiste néo-zélandais Alban William Phillips mettant en relation le chômage et la variation des salaires nominaux ; l'augmentation des salaires nominaux est source d'inflation, car elle accroît les coûts de production des entreprises et celles-ci se voient alors contraintes de rehausser

des biens et services de l’économie et reflète la capacité d’un pays à satisfaire le bien-être de la société. C’est pourquoi il est un meilleur indicateur de l’économie que le PIB nominal Taux de croissance de l’indice des prix P : Quand il y a un taux de croissance du PIB positif = expansions, tandis qu’un taux de croissance négatif du PIB = récessions 5. Les autres notions de la macro-économie : Le PIB est la variable la plus importante de la macro-économie, mais il y en a deux autres tout aussi

ici en jeu via l’impact du taux d’intérêt r sur l’investissement I. Hypothèse de base du modèle = prix fixes.  à court terme, le revenu est uniquement déterminé par la demande agrégée. 8.1 Le marché des biens et services et la courbe IS 8.1.1 La construction graphique de la courbe IS Cette courbe découle directement du modèle du multiplicateur. Modèle du multiplicateur  hypothèse irréaliste que I est fixe. Hypothèse plus satisfaisante : , où r est le taux d’intérêt. Construction

La courbe de Phillips Définition La courbe de Philips met en évidence une relation inverse entre inflation et chômage. A l'origine, c'est le résultat d'une analyse historique sur l'Angleterre entre 1867 et 1957 menée par Phillips en 1958 qui montrait une relation négative entre la hausse des salaires et le chômage. Elle est ensuite (Lipsey, 1960) devenue une relation entre inflation et chômage avec le dilemme selon lequel les gouvernements devraient choisir un peu plus d'inflation pour faire

english@bis.org Risque de taux d’intérêt et marges d’intérêt nettes des banques1 Depuis quelques années, les banques et leurs autorités de contrôle consacrent beaucoup de temps et d’efforts à développer des systèmes de surveillance et 2 de gestion du risque de taux d’intérêt . Cette étude examine la composante du risque de taux qui résulte des effets possibles exercés par les variations des taux du marché sur les marges d’intérêt nettes des banques. Si le risque de taux d’intérêt n’est pas géré

permettra aux étudiants d'assimiler, par des cas résolus, les mécanismes d'ajustement élémentaires qui sont provoqués par les politiques économiques en économie ouverte. Toutefois, en tant que manuel d'initiation, il se limite au cas de cotation du taux de change à l'incertain et suppose que les ajustements macroéconomiques se réalisent parfaitement. Deux parties sont ainsi développées: l'équilibre et l'ajustement macroéconomiques en économie ouverte en régime de changes fixes et en régime de changes

globale . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.2 représentation graphique . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 demande globale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3.1 représentation graphique de AD dans le plan (Y ,P ) 1.3.2 déplacement de la courbe AD dans le plan (Y ,P ) . 1.4 production d’équilibre à court et moyen terme . . . . . . . 1.4.1 Equilibre macro . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.2 dynamique de la production globale et des prix . . 1.5 effets d’une politique monétaire expansionniste

L'Europe connaît un taux de chômage moyen qui est, en moyenne, plus du double du niveau américain. La croissance plus forte des Etats-Unis explique que le taux de chômage soit plus faible, mais la causalité inverse est possible. 2. L'Union Européenne Le PIB de l'Union est de 8147 milliards d'euros. Son taux de croissance tournait autour de 4,8% entre 1960 et 1974, et tourne autour des 2% depuis. Le PIB de l'Union Européenne est à peu près égal au PIB des Etats-Unis. Le taux de croissance du

dépendant pas du taux d’intérêt, elle est exogène. MS = M Représentation graphique L’offre de monnaie ainsi définie peut être représenter dans le plan (i, Y ) par une perpendiculaire à l’axe des abscisses. L’offre de monnaie est exogène, donc représentée par une droite verticale notée MS. M i MS MS’ Les déplacements de la courbe d’offre de monnaie dépendent des décisions de la banque centrale. Lorsque la banque centrale augmente la quantité de monnaie en circulation la courbe d’offre se

-réflexive : Q est pref (ou indif) à Q Ces propriétés en math correspondent à la propriété suivante : la relation de préf est ce que l’on appelle un pré-ordre total. Paniers de biens équivalents et courbes d’indifférence : Notion suivante définie par la micro et qui va jouer un rôle centrale est elle de courbes d’indifférence. On passe ici à la représentation graphique. Représentation graphique des paniers Q et Q’ (au cas où n est égal à 2) : chaque axe représente les quantités de bien respectivement