Courbe des taux

trois cents millions d’habitants. Les chinois étaient environ 600 millions en 1950. La population s’est fortement accrue jusque dans les années 90 où la courbe montre un ralentissement (exercice que nous avions fait au tableau avec la règle) de la croissance. Ce ralentissement correspond à une diminution importante de la natalité, l’écart avec le taux de mortalité se réduit : l’accroissement naturel est alors faible. En 60 ans, la population chinoise a été multipliée par 2.5. Dans cette réponse

Exercice 5 (Extrait du partiel de septembre 1997) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 5 5 5 6 6 4 Courbe d’indiff´ erence Rappels de cours . Exercice 1 . . . . . Exercice 2 . . . . . Exercice 3 . . . . . Exercice 4 . . . . . Exercice 5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

aussi être libéralisés. L’inflation modérée et la forte croissance enregistrées dans le courant des années 1980 ont poussé la Chine à profiter de cette situation favorable et à pratiquer une politique active de dépréciation du taux de change14 fondée sur un système de taux de change multiples. Trois régimes caractérisent cette politique de libéralisation du marché extérieur : une partie des échanges extérieurs dépend de la planification impérative14, une autre est dépendante de la planification indicative14

égale  à  celle  des deux autres pays.  Représenter  dans  un  repère  ( Y  C )  les  quatre  conclusions  de  cette  étude.  Vous  ferez  ,  apparaître le revenu  Y .  Exercice supplémentaire  Soit la fonction suivante représentant l’évolution du taux d’épargne global des ménages :  (1)  S t  Y  = a  t - b  Y  Y  t  max  Avec  S t  , Y  : l’épargne et le revenu disponible des ménages de la période t  t  Y  : le revenu maximum atteint avant la période t  max  a,b  : paramètres strictement positifs 

partie, quant à elle relate les politiques monétaire et budgétaire mises en place par les gouvernement et la banque du Canada. PREMIÈRE PARTIE 1. Tableaux et graphiques contenant les données du taux de chômage, d’inflation et du PIB au Canada Tableau 1 Évolution du PIB, du taux d’inflation et du taux de chômage au canada   % de Δ du PIB réel % de Δ de l’IPC % de chômage 2008 1,18% 2,42% 6,10% 2009 -2,71% 0,26% 8,30% 2010 3,37% 1,84% 8% 2011 2,53% 2,92% 7,40% 2012 1,71%

v ( x ) ≠ 0. Soit A(a ; f (a )) un point situé sur la courbe représentative d’une fonction f . Le coefficient directeur de la tangente à cette courbe au point A est égal au nombre dérivé f '(a ). L’équation de la tangente en A est de la forme y = f '(a ) × x + b. Équation de la tangente en A y = f '(a ) × ( x − a ) + f (a ) d’où b = f (a) – af ’(a). Exercice Soit f la fonction définie sur l’intervalle [0  ; 2] par f ( x ) = 4 − x 2. La courbe Ꮿ représentant la fonction f dans un repère d’origine

En effet, la banque centrale mène cette politique monétaire en coordination avec le gouvernement qui gère la politique budgétaire. → La politique monétaire est l’ensemble des décisions par lesquelles sont modifiés la quantité de monnaie et les taux d’intérêt dans l’économie. Elles visent à influencer, selon les circonstances internes ou externes, soit le niveau général des prix, c'est-à-dire l’inflation, soit le niveau du revenu national d’équilibre. Pour cela, elle peut tout aussi bien consister

l’offre individuelle à l’offre globale 60 4. Annexe : glossaire méthodologique concernant le calcul des élasticités 60 4.1. Calculer une élasticité lorsqu’on ne connaît que deux points 60 4.1.1. Le calcul d’un taux de croissance 61 4.1.2. L’élasticité calculée en divisant deux taux de croissance 61 4.1.3. Une autre manière de calculer une élasticité entre deux points 62 4.2. Calculer une élasticité lorsqu’on connaît plus que deux points 62 1. L’entreprise dans l’économie moderne

étudier la monnaie, les banques et les marchés inanciers ? . . . . . . . . . . . 3 1. Pourquoi étudier les marchés inanciers ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 1.1. Le marché des titres et les taux d’intérêt . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 1.2. Le marché des actions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 2. Pourquoi

C. L’investissement agrégé 1. Investissement et taux d’intérêt 2. Investissement et profit 3. Investissement et demande agrégée Section 2 Le modèle IS-LM A. L’équilibre sur le marché des biens 1. La construction de la courbe IS 2. Sensibilité de la fonction IS 3. Le déplacement de la courbe IS B. L’équilibre sur le marché de la monnaie 1. La construction de la courbe LM 2. Sensibilité de la courbe LM 3. Le déplacement de la courbe LM C. L’obtention de l’équilibre global Section