Courbe des taux

ramènerait la production de celle-ci à 84 millions de Kg par ex. La multiplication des choix possibles : conduit à une série de points de plus en plus rapprochés les uns des autres qui finissent par se confondre en une ligne continue (courbe). Cette courbe s’appelle courbe des possibilités de production : l’infinité des points dont elle est constituée représente en effet une série de choix possibles dans une telle économie, choix contenus dans certaines limites en raison de la rareté des ressources

un motif de précaution c'est-à-dire la prévention de risques ou d’imprévus (cette cause est bien sur fonction du revenu de l’individu et de la situation économique). Ensuite un motif de spéculation à savoir la recherche d’une plus-value dépendant du taux d’intérêt. c) La monnaie, étalon de valeur  La monnaie peut être considérée comme étalon de valeurs dans la mesure où elle mesure des biens et des denrées. La disparition d’un étalon de valeur unique simplifie le système de fixation des prix

commode décrire graphiquement les préférences en utilisant une représentation connu sous le nom de courbe d’indifférence. II. a. Les courbes d’indifférence. Construction. Hypothèse : L’économie comporte 2 bien, x & y. Supposons que le consommateur i soit indifférent entre les paniers A, B & C. (voir graph n°1). Dans le plan des biens (x, y) les paniers A, B & C appartiennent à une même courbe qui pour l’agent i représente l’ensemble des paniers entre lesquels il est indifférent. (voir graphique)

constante A masse monétaire donnée M0, par la banque centrale, il vient : P = M0 / kY A masse monétaire donnée, il existe une relation décroissante entre P et Y : la courbe de demande agrégée DA M0 détermine la valeur des échanges PY : si P augmente alors M0 ne permet pas de réaliser autant de transaction : Y diminue. La courbe de demande agrégée : DA Demande agrégée et variation de M L’offre agrégée A long terme l’offre agrégée est indépendante de P Y est déterminé par les quantités

tampon avec NaCl à 0,4M (n°11 à n°15) et enfin les 10 dernières au 10ml de tampon avec 0,5M de NaCl (n°16 à n°25): fig 3 : absorbances des différentes fractions On note que les fractions n°1, n°12 et n°13 sont celles qui présente le plus fort taux d'absorbance aux UV à 280nm. La concentration en protéine y est la plus élevée. 2. Test d'activité de la prothrombine en utilisant un substrat chromogénique : tabl 2 : absorbance des différentes fractions d'intérêt en fonction du temps, pour

du début des années 2000 ; les prix de l’immobilier connaissaient à ce moment une très forte hausse. Les banques ont proposé à des clients qui n’avaient normalement pas les capacités d’accès au marché de l’emprunt « primes », un système de crédits à taux variable pour, par exemple, acheter leur maison. Les clients, qui n’avaient pas la capacité de rembourser leurs mensualités, voyaient leur maison saisie par les banques. Comme les prix étaient en hausse, les banques faisaient une plus-value en récupérant

• La zone de chalandise est une zone de peuplement qui se différencie des aires géographique voisines par l’importance de son potentiel de consommation. • La représentation de la zone de chalandise peut donner lieu à l’utilisation de courbes isométriques ou de courbes isochrones • La zone habituelle ou prévisionnelle (en cas d’ouverture d’un point de vente) de provenance de l’essentiel des clients de ce point de vente pour optimiser les investissements publicitaires (définition des zones de distribution

microéconomique du consommateur . 1.2. Objectifs spécifiques : À la fin du cours, les étudiants sont capables de : o définir ce qu’est la microéconomie et savoir la démarche d’analyse qu’elle implique o définir la notion d’utilité et savoir tracer les courbes d’indifférences o savoir déterminer le point d’équilibre du consommateur o analyser les effets de variations du prix de bien ou du revenu sur le comportement du consommateur 2 2. Contenu du cours 1. C’est quoi l’économie ? Micro2. Micro-économie

néglige la monnaie divisionnaire) 2- R=g x D R : montant ou volume des réserves obligatoires et libres D : volume des dépôts à vue ; g : paramètre constant à court moyen terme Si il n’y a pas de réserves libres, g correspond au taux de réserves obligatoires Base monétaire = R + B M1 = B + D M1 = b x M1 + D D = (1-b) M1 R = g x (1-b) x M1 (*) (en fonction de b et de (*)) R + B = g x (1-b) x M1 + b M1 M1 = 1 / g(1-b)+b x Base monétaire - Multiplicateur

besoin de ressources stables provenant des ménages. Or les ménages ne sont intéressés que par deux choses : - les instruments de paiements - les crédits immobiliers Les banques ont donc proposée ces services et cela a permis l’augmentation du taux de bancarisation des ménages. b- La désintermédiation La désintermédiation est le transfert des flux financiers depuis les flux intermédiaires. Elle a eu pour conséquence l’augmentation du nombre d’obligations émises par les entreprises