Courbe des taux

l'utilité marginale décroissante II- La loi de l’ égalisation des unités marginales pondérées par les prix III- Difficultés de la théorie cardinale de l'utilité Section II : Utilité Ordinale I/Courbes d'indifférence ou d'iso-satisfaction A- Présentation B- Caractéristiques des courbes d'indifférences C- Le taux marginal de substitution (TMS) II- L’équilibre du consommateur A- La contrainte budgétaire : B- Les goûts C- Le choix du consommateur : Combinaison optimale III- Calcul de la combinaison

obligataire est le secteur dans la gestion d'actifs financiers qui traite des produits de taux d'intérêt. Ces produits financiers comprennent les bons de trésor, les obligations des entreprises, les T.C.N et divers produits dérivés. Avec la baisse des rendements obligataires des dernières années - suite à la situation de surliquidité du marché des capitaux au Maroc jusqu’en 2007- et la volatilité des taux d’intérêt - surtout avec l’appréhension née suite à la crise des subprimes et ses retombées

d’utilité marginale. L’utilité marginale serait décroissante. Le surplus d’utilité est lui-même décroissant. Utilité totale croit toujours, elle est positive et toujours croissante mais le rythme auquel elle évolue n’est pas constant, elle croit à taux décroissant, ie de moins en moins rapidement. Cette première loi de l’unité marginale décroissante, (on parle de la première loi de Gossen) permet de formuler que l’unité marginale décroissante ie qu’elle diminue à mesure que le besoin est partiellement

unité de travail). Q f(L , K0) PM = ------ = ----------L L Productivité marginale du travail C'est la variation du produit total induite par la variation unitaire de la quantité de travail utilisé. ΔQ Pm = ------- = f’(L) ΔL La forme des courbes de productivité Un facteur constant est un facteur variable homogène (i.e. chaque unité du facteur variable est identique aux autres facteurs de production). Si une production exige l'emploi de plusieurs facteurs de production et si l'on augmente

considérée comme le synonyme du taux de chômage, c'est-à-dire le niveau du taux de chômage où il n’y a pas d’inflation. L’auteur nous explique ici le rôle et l’évolution du NAIRU. Le rôle du NAIRU apparaît dans la construction macroéconomique, dans le but où certains auteurs comme Lucas ou Friedmann, conclut que l’augmentation de la masse monétaire influe sur l’augmentation du prix du travail, donc qu’il y a bien un impact sur l’économie de l’évolution du taux de chômage. De plus, la relation

S : épargne S : demande de monnaie M : offre de monnaie On met en relation le taux d’intérêt réel (r) (différent de i : taux d’intérêt nominal) et le revenu (y). Section 1 : représentation de l’équilibre keynésien I) La fonction d’investissement A) L’analyse de la relation entre I et r I= f(r) I=I(r) I’(r)= dI/dr c’est le taux marginal d’investissement E(I/r)= (delta I/I)/(delta r/r) élasticité II) L’analyse de la fonction d’investissement

vendent 5 euros chacune et 80 pizzas à 9 euros chacune (Enoncé commun pour les ques- tions 11,12,13,14). 2. Le taux de croissance du PIB nominal de la première année à la deuxième année est de : © 17% © 7% © 8% © 27% 3. En utilisant la première année comme année de base, le PIB réel de la deuxième année est égal à : © 1000 © 1080 © 1 270 © 1 380 4. En utilisant l’année 1 comme année de base, le taux de croissance du PIB réel de l’année 1 à l’année 2 est : © 7% © 8% © 17% © 27% 5. En utilisant l’année 1

Génération du baby-boom 5 Espérance de vie plus longue 6 Faible taux de fécondité 7 ANALYSE ÉCONOMIQUE 8 Vieillissement de la population au travail et productivité 8 Le produit intérieur brut (PIB) 9 Baisse de la population active 11 Les finances publiques 11 L’infrastructure 12 Vieillissement de la population et épargne 15 Marché des fonds prêtables 15 L’offre et la demande agrégées 17 La courbe de demande agrégée 19 La courbe d’offre agrégée 19 MESURES DE CORRECTION 20 Incitations financières

1. On mesure le temps en jours. 2. On mesure le taux d’anticorps présent dans le sang en mL. 3. GRAPHIQUE REPRESENTANT L’EVOLUTION Du taux d’anticorps dans le sang EN FONCTION du temps. 4. La courbe peut se découper en 6 parties. Indiquez-les sur le graphique (partie A, partie B, partie C, partie D, partie E, partie F). [pic] 5. On décrit la partie A de la courbe comme ceci: La quantité d'anticorps est nulle et reste constante pendant 1 semaine

.............. 9 MTBF .................................................................................................................9 Les probabilités d’ une défaillance .......................................................................9 courbe de fiabilité d’ équipement...................................................................11 un 6.5.1. 6.5.2. 6.5.3. 6.6. 6.7. La distribution de Weibull............................................................................... 12