Couronne de Castille

Hernán Cortés,est né en 1485, à Medellin (un village d'Estrémadure) et mort à Castilleja de la Cuesta (près de Séville) le 2 Décembre 1547, est un conquistador espagnol qui s'est emparé de l'Empire Aztèque pour le compte de Charles Quint[->0], roi de Castille[->1] et empereur romain germanique[->2]. Cette conquête est l'acte fondateur de la Nouvelle-Espagne[->3] et marque le début de la colonisation espagnole des Amériques[->4] au XVIe siècle[->5]. Medellin se trouve sur la route de Cadix où les

RESUME Acte I L'action se déroule en Espagne, à Saragosse en 1519, de février à août. Le roi de Castille Don Carlos entre discrètement durant la nuit dans la chambre de Doña Sol dont il est amoureux : pour ce faire il se fait passer pour son amant, et paie la duègne pour qu’elle consente à le laisser passer. Doña sol réside au château de son vieil oncle à qui elle est promise en mariage, Don Ruy Gomez. Doña Sol est avec un homme, Hernani, un jeune noble proscrit. Don Carlos caché dans une armoire

ressources vont s’avérer bien plus importantes voire inépuisables, promettant prospérité et richesses pour plus de deux siècles autant aux exploitants qu’à la Couronne espagnole et favorisant ainsi l’essor d’une société coloniale. Pour le chroniqueur Felipe Guaman Poma de Ayala mort vers 1610, « c’est grâce à cette mine que se maintient la Castille, que Rome est Rome, que le Pape est le Pape et que le Roi (d’Espagne) est le monarque du Monde » ; pour Cervantès, l’auteur du Don Quichotte publié en 1615

toujours présent dans le Languedoc. Une mesure est donc prise suite au traité de Meaux : le renforcement de l’Inquisition. III- Sous l’inquisition A) Révolte contre l’autorité royale * Le traité de Meaux crée une importante soumission à la Couronne de France, notamment avec Raymond VII de Toulouse contraint de signer ce traité de paix. Celui qu’il l’avait accompagné lors de la reconquête occitane face à Simon de Montfort c’était depuis retiré en Espagne. Raymond II Trencavel voulait récupérer

effets jusqu'aux causes.Cela se termine par la locution « joiessans causes ». Ces trois mots disent le renoncement du poète à trouver quelque explication à ces états successifs : la béatitude semble absolue à cet instant et elle vient conclure, couronner une série de substantifs majoritairement connotés positivement, d' "enthousiasmes" à "apaisement" en passant par "élans".+ Passivité du poete (le verbe faire est ici employé avec le pronom réfléchie « se »)Troubles de la circulation du sang;

de souligner la légitimité de leur présence sur le sol américain en rappelant la contribution décisive de leurs ancêtres dans la construction de ces empires. Cette préoccupation des conquistadors et des colons est d’autant plus vive que, si les couronnes ibériques laissent la réalisation des conquêtes à des initiatives privées, elles cherchent rapidement à encadrer le processusLes conquistadors et les colons ont cherché à légitimer leur présence sur le sol américain et à enregistrer leurs exploits

feu roi, pour son fils, pour sa veuve, Pour tous les siens, ma haine est encor toute neuve! Lui, mort, ne compte plus. Et, tout enfant, je fis Le serment de venger mon pere sur son fils. Je te cherchais partout, Carlos, roi des Castilles! Car la haine est vivace entre nos deux familles. Les peres ont lutte sans pitie, sans remords, Trente ans! Or, c'est en vain que les peres sont morts. Leur haine vit. Pour eux la paix n'est point venue, Car les fils sont

ancien, pour l'ombre du feu roi, pour son fils, pour sa veuve, pour tous les siens, ma haine est encor toute neuve! Lui, mort, ne compte plus. Et tout enfant, je fis le serment de venger mon père sur son fils. Je te cherchais partout, Carlos, roi des Castilles! Car la haine est vivace entre nos deux familles. Les pères ont lutté sans pitié, sans remords, trente ans! Or c'est en vain que les pères sont morts, la haine vit. Pour eux la paix n'est point venue, car les fils sont debout, et le duel continue

l'État périra, s'il faut que je périsse. DON ARIAS Quoi ! vous craignez si peu le pouvoir souverain... LE COMTE D'un sceptre qui sans moi tomberait de sa main. Il a trop d'intérêt lui-même en ma personne, Et ma tête en tombant ferait choir sa couronne. ________________________________________ DON ARIAS Souffrez que la raison remette vos esprits. Prenez un bon conseil. LE COMTE Le conseil en est pris. DON ARIAS Que lui dirai-je enfin ? je lui dois rendre conte. LE COMTE Que je ne puis

absolue. I/ LE STATUT DE LA COURONNE Pendant la période féodale, les lois du royaume sont : * La loi d’hérédité au trône * La loi primogéniture (l’ainé du fils du roi qui doit régner) A partir du 16ème siècle, on ne parle plus de lois du royaume on parle maintenant de lois fondamentales du royaume. Ces coutumes constitutionnelles ont convergés dans 2 directions qui ont cependant en commun la « publicisation » du roi et de ses biens. La dévolution de la couronne 1 – La loi de masculinité